Ce livre est d'abord paru au Québec en 2014 sous le titre le voyage (avec une couverture dont je doutais beaucoup) et n'avait pas eu le retentissement qu'il méritait. Parce que cette histoire est extraordinaire. J'étais donc ravie de le voir réapparaitre au Rouergue, cette fois avec une couverture à la hauteur du récit, à la fois mystérieuse et fascinante, et un travail d'édition extraordinaire qui a permis de mettre en valeur la plume de
Pascale Quiviger tout en éliminant certaines inégalités. Ne restent donc que sa forte capacité d'évocation, ses métaphores (nombreuses, si vous n'aimez pas, fuyez) et ses répliques incisives.
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