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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Une opération à sexe ouvert, un roman qui ne mâche pas les mots pornographiques, qui les crache, bruts, sales, sans détours et sans cosmétiques.

Fifty Shades of Grey peut aller se rhabiller. Ici, Rose n'est pas une jeune fille belle comme un coeur, vierge effarouchée qui tombe sur le jeune, beau, richissime et un poil torturé Mister Grey.
Elle ne passe pas son temps à se faire promener dans un jet privé et à se mordre la lèvre inférieure dans l'attente de quelques coups de martinet. Et ils se marièrent, etc…
On peut tout de même se questionner : pourquoi cette trilogie au petit goût d'interdit a tellement été lue et aimée par les femmes de 17 à 80 ans ?
Peut-être parce que, sans être fouillés à mains nues, retournés et jetés sans rond de jambe à la figure du lecteur, les fantasmes, ceux dont on ne parle pas, étaient envisagés comme libérateurs. Qu'on le veuille ou non, que l'on se dise choqué, que l'on ferme les yeux pour ne pas voir écrit ce qui occupe honteusement une part de notre esprit, nous sommes des humains équipés d'un imaginaire qui prend souvent les chemins de travers.
Cette chose sirupeuse à souhait était acceptable parce qu'elle emballait le tout dans du papier de soie.
Ici, rien de tout cela.

Rose a été violée par son père quand elle était enfant. Elle ose en garder des souvenirs de plaisir. Ça ne se dit pas. Ça ne se pense même pas. Et l'auteure a essuyé des tempêtes outrées, l'accusant de normaliser l'inceste, de l'encourager, même. Ils n'ont rien compris.
Ils n'ont pas compris que la nymphomanie qu'elle subit comme une addiction à une drogue dure est la résultante des abus dont elle fut la victime.
Ils n'ont pas compris que si elle tombe sur Alex, si elle tombe amoureuse d'Alex alors qu'elle refusait, jusqu'à lui, le sentiment amoureux, c'est parce que dans son processus de survie, cet homme a fait battre son coeur quand elle ne vivait qu'autour de son sexe. C'est un homme pervers, toxique, aimant, repoussant, jouant toute la palette des émotions encore inconnues de Rose.
Elle sortira de cette relation plus détruite, plus abîmée encore qu'elle ne l'était et retombera, dominée entièrement par la bête qui habite ses entrailles, dans l'enfer de sa boulimie sexuelle, livrant son corps comme un morceau de chair qui réclame d'exulter, jamais rassasié.

C'est un roman pour public très averti. L'auteure a prévenu. Et si, parfois, on peut ressentir un écoeurement, c'est parce qu'avec Rose, on vit ce gavage de tous les orifices, ce remplissage forcé, ce cercle vicieux infernal dans lequel elle a été plongée par le père, réduite à n'être que l'objet d'une force implacable qui braille sa faim inextinguible d'être remplie.

Outre une écriture peut-être trop peu travaillée (mais était-ce possible de faire dans l'exercice de style quand le sujet est si près de nos bas instincts), ce roman est d'une sincérité poignante qui ne peut pas laisser indifférent. Bukowski, Maïwen, Despentes, j'en suis certaine, le comprendraient et l'aimeraient pour ce qui n'avait plus été fait, je pense, depuis les Onze mille verges.

Lien : https://latoileciree.wordpre..
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Ce livre attendait quasiment depuis sa sortie dans ma liseuse.

J'ai lu le premier tome, Décousue, qui sans m'avoir déplu, ne m'avait pas non plus particulièrement emballée. Il était sombre et laissait mal à l'aise après sa lecture.

Dans Outrage, on retrouve le personnage de Rose et l'auteur détaille sa relation avec Alex, de sa naissance aux suites de sa rupture. Une relation à la fois passionnée et toxique qui pousse Rose dans ses retranchements.

Je ne vais pas dire que j'ai été complètement emballée par ce livre : il est bien écrit, avec un vrai style, un vocabulaire souvent cru mais aussi recherché. Mais certaines scènes deviennent assez vite répétitives et au final, on se lasse un peu au fil des pages, avec un goût de déjà lu.
Le vocabulaire est cru voire vulgaire mais ce n'est pas cet aspect qui m'a dérangé.

Il y a des scènes de sexe dans ce livre, souvent violentes, extrêmes et assez nombreuses même si pour ma part, elles sont passées après l'histoire et la psychologie du personnage. Ce ne sont clairement pas ces scènes qui vont me marquer mais plus la détresse de Rose, détresse que l'ont ressent de plus en plus au fil des pages.

Loin d'être une incitation à la pédophilie, comme on a pu le lire dans les différents articles et appels aux boycotts à sa sortie, il dénonce plutôt ses ravages et ses conséquences sur l'adulte. Ses conséquences sur ses rapports aux autres, à l'amour, à la sexualité, à son estime de soi.
Certaines scènes sont choquantes (je ne veux pas spoiler et tout dévoiler) mais ce qui demeure le plus choquant, c'est la raison qui mène Rose à la pratiquer. Et pour avoir lu beaucoup de livres du marquis de Sade, je pense très sincèrement que certains passages du marquis sont beaucoup plus choquants et difficiles.

Donc pour résumer, c'est un livre qui n'est pas forcément à conseiller lors du café de dimanche après-midi chez tatie Paulette, qui n'est pas forcément à mettre entre toutes les mains et avec lequel il faut être prêt à être bousculé et a lire des choses dérangeantes. Il faut pouvoir s'en détacher pour avoir un second niveau de lecture et essayer de comprendre.
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Outrage est un roman signé Maryssa Rachel, une auteure française née à Valence, une femme qui s'épanouit dans sa vie de mère mais aussi de personne luttant pour la représentation des autres genres et sexualités dans les médias. En dehors de l'écriture, elle exerce le métier de photographe, depuis maintenant sept ans, ainsi que celui de chroniqueuse au sein de divers médias (Jeanne Magazine, ParisDerrière, Ladypaname). Sur sa page Facebook, on peut y lire qu'elle fréquente diverses communautés : LGBTQ, BDSM, Fetish et j'en passe. Rien qu'avec cette petite description on peut être certain que Outrage n'est pas un livre comme les autres.

Avant de passer à ma critique, j'aimerais souligner et mettre en gras le fait que Outrage n'est pas un livre à mettre entre toutes les mains. L'histoire qui y est racontée ne peut pas être lue par tout le monde, surtout par les plus jeunes. Il contient des scènes pouvant heurter la sensibilité, des pratiques sexuelles extrêmes, des moments très durs et doit être lu en connaissance de cause. Bien, maintenant passons à mon avis.

L'histoire est celle de Rose, une femme libre, indépendante, mais extrêmement torturée, traumatisée par son enfance, et qui depuis n'a eu de cesse de se forger une carapace de plomb pour se protéger des sentiments et du monde. Les seules personnes dans sa vie sont ses amis et S, celle qui partage sa vie, mais avec qui elle vit une relation libre. On entend par là, libre sexuellement, une vie de luxe, de vice et j'en passe. Mais, un soir, dans un bar, Rose rencontre celui qu'elle appelle l'Intrus, et qui porte le prénom de Alex. Lui est un artiste perdu, flingué, et qui s'en fout de tout et des on dit. Rose, malgré le fait qu'elle sache qu'Alex n'est pas un homme pour elle, va s'en rapprocher, s'égratigner, et entrer en osmose avec lui. Un amour aussi passionné, maladif, impulsif que destructeur et source de malheurs pour elle. Après cette rencontre la vie de Rose ne sera plus jamais la même…

Bon, vous avez le pitch. Maintenant par où commencer ? Il est très difficile de faire une chronique de Outrage tant c'est une lecture qui perturbe énormément, marque et qui détonne. Pour les moins présents sur les blogs livresques et sur les réseaux sociaux, lors de sa sortie le 18 août dernier, Outrage a fait parler de lui et pas de la plus belle des manières. En effet, un passage du bouquin a été partagé à de nombreuses reprises sur Twitter, et bien entendu je suis tombée dessus. Je ne parlerai pas du contenu de cet extrait, parce qu'il est facilement trouvable, et que si vous ne le trouver pas, il vous suffit de lire les premières pages du bouquin sur Amazon, par exemple, puisque le passage en question se trouve dans les premières pages. Après l'avoir lu j'ai été comme révulsé, mal à l'aise et j'en suis restée bouche bée. Ce n'est qu'après être tombée sur l'article de Bettie Rose Book parlant du livre et de son ressenti que je me suis mise à cogiter. Oui, le passage qui parle de pédophilie d'une façon très perturbante, choquante et répugnante. Personne de parfaitement constitué ne peut rester impassible face à ce passage, ni face à ce livre d'ailleurs. Je me suis alors mise à lire les premières pages du livre, ayant toujours en tête que j'allais tomber sur des choses pas très net, et puis là, arrive le fameux passage qui a tant fait réagir. Eh bien vous savez quoi ? Certes je ne cautionne en rien ce qui s'y passe, ne le tolère pas, ne l'accepte pas, mais je l'ai compris. Pourquoi ? Simplement parce que dès qu'on a le contexte qui mène ce moment-là, on se rend compte que ce passage est ce qui a façonné la psyché de Rose.

Pour mieux vous faire comprendre comment un tel passage peut « justifier » son existence surtout de la manière dont il est raconté ? Simplement parce que Rose a été brisée dès son enfance par celui qu'elle aimait tant, son père, celui que de nombreuses petites filles prennent en exemple pour imagé leur idéal masculin. Que l'on en soit conscient ou non à l'âge adulte, nos relations avec nos parents (et les autres aussi) nous construisent pour plus tard.

Rose est une femme que l'on découvre de par les mots de Maryssa Rachel qui sont crus, violents, noirs mais aussi lyriques. Des Rose ils en existent des milliers voir des millions dans le monde, femmes, enfants et mêmes des hommes. Ces Rose sont toutes victimes de leurs vécus, de leurs relations avec les autres mais aussi de leur rapport avec eux-mêmes. le regard que l'on porte sur soit chaque jour est déterminant dans notre façon d'avancer dans la vie, si l'on va courber l'échine ou bien se redresser. Certaines Rose s'en sortent, survivent et arrivent à avoir une vie plus ou moins stable, à créer des liens avec les autres, sans pour autant oublier leurs parcours et garder une méfiance – même infime – de l'autre. Puis, il y a les Rose qui tentent de survivre, de rester la tête hors de l'eau et qui sont persuadées d'y parvenir. Elles rient, elles boivent, elles ont une vie sexuelle, s'amusent, bref… elles vivent comme n'importe qui. Mais, il suffit d'une seule rencontre, d'une odeur, d'un geste, d'un mot ou d'un regard pour que les secrets et les tourments les plus sombres remontent à la surface et nous replonge dans les recoins les plus obscurs de nous-même. Eh bien, la Rose de Outrage c'est elle. Elle est forte, intelligente et pleinement consciente de la relation destructrice qu'elle vit avec Alex, mais elle ne peut s'empêcher de se laisser emporter vers le fonds de l'abysse. Qu'on le comprenne ou non, la psychologie humaine est extrêmement complexe, variable et peut à n'importe quel moment contredire la partie bien-pensante de nous-même. Regardez les scientifiques quand ils parlent du cerveau. Un organe fragile, complexe et encore mystérieux. Eh bien, la psychologie humaine est la même chose.

Parlons un peu d'Alex, voulez-vous ? Lui, ce n'est ni le prince charmant, ni le beau gosse du campus, ni l'homme d'affaires à la Christian Gray. Non, Alex est l'intrus aux yeux de Rose, un loup, son mâle alpha celui qui abuse d'elle dans tous les sens du terme. Alex est aussi torturée que Rose, aussi compliqué qu'elle. Rien que physiquement rien ne semble indiquer qu'il peut plaire comme un Johnny Depp ou un membre des One Direction. Non, Alex est un sauvage, un dominant, un addict, un manipulateur, un jaloux, un pervers, mais aussi brisé, complexe et intelligent que Rose. Ce sont deux êtres qui se font du mal mutuellement mais qui persistent à vouloir se soigner l'un l'autre, se laissant consumer par les vices et leurs névroses.

Comme je l'ai dit plus haut, le style de Maryssa Rachel est cru, tranché, vif, dérangeant, mais intelligent de par le choix de ses mots. Les phrases sont écrites de manière saccadé, courtes, multipliant les adjectifs et synonymes, ce qui a accentué cette sensation de confusion dans mon esprit. Ce que j'entends pas là, et que plus Rose s'enfonçait dans la tourmente et dans ses démons personnels, plus je me sentais perdue dans mon propre esprit. Il est difficile, et presque semblable à du voyeurisme, de regarder un être se détruire autant que Rose. L'environnement qui l'entoure est aussi toxique à mes yeux que sa relation avec lui, et ses amis ne sont pas tous des plus catholique et prévoyants avec elle. Ça a beau être une fiction, je me suis retrouvée plonger dans une sorte de spirale qui m'a fait me demander, comme beaucoup de fois auparavant, où en serais-je si je n'avais pas eu l'attention et l'amour de ma mère ? Certainement que je serais une Rose, ou une demi-Rose. Mais cette dernière, elle, n'a même pas pu trouver du réconfort et de l'aide en sa mère, ni dans aucun autre adulte. Imaginez ce que cela peut donner sur un enfant. Ayant travaillé dans le milieu socio-éducatif, je peux vous assurer que les enfants imitent et prennent en modèles les adultes. Ce n'est pas pour rien qu'ils reproduisent nos comportements comme porter les sacs à main, marcher avec les talons de maman aux pieds, ou nettoyer les meubles avec un chiffon. Ce sont de véritables éponges, qui ne vont pas hésiter à répéter les mots que vous prononcez, dont les grossièretés. En ayant cela en tête, ce n'est pas étonnant de voir un enfant comme Rose devenir une jeune femme ayant une sexualité débridée, qui s'est construite une autre entité pour se protéger. D'ailleurs, elle l'appelle la Bête, la prédatrice, l'animale, et n'hésite pas à dire que c'est elle qui l'a encensé, qui lui a donné l'assurance qu'elle possède et ce sex appeal qui fait que les hommes la sifflent dans la rue.

Pour terminer sur la plume de l'auteure, je l'ai apprécié. Ce n'est en aucun cas un roman qui, à mes yeux, a été écrit « avec les pieds ». Après, ce style peut ne pas plaire à certains lecteurs, ce qui est compréhensible. Moi-même si je reconnais que Maryssa Rachel possède un certain talent, j'ai eu des moments où j'ai simplement dû mettre ma lecture en pause. Mais cela était surtout dû à l'histoire, ou au mélange des deux…

Je ne peux pas dire que j'ai aimé Outrage ni que je l'ai détesté. Il possède ses qualités comme le style lyrique de l'auteure, mais l'histoire a été dérangeante pour moi car cela me plongeait dans des moments de confusion totale. J'ai eu de l'empathie pour Rose, tout en ne la comprenant pas parfois. Outrage est un livre qui ne laisse pas indifférent. C'est un voyage glauque dans la psyché et la déchéance humaine, dans les pratiques sexuelles que je ne pensais même pas possibles, dans les méandres dégueulasses des êtres humains de par la thématique de la pédophilie, de la zoophilie, du viol et j'en passe.

Encore une fois, Outrage est une lecture qui n'est pas adapté aux personnes les plus sensibles. de ce fait, je peux dire et l'écrire noir sur blanc que, oui, Outrage aurait mérité un avertissement sur la couverture où au dos, en mentionnant que c'est un livre pour public averti. Il est possible qu'après cette longue chronique certains d'entre vous n'iront pas le lire, et que d'autres le liront. Je pense que chaque personne se doit de réfléchir mûrement à son choix. Est-ce que je suis prêt à me jeter dans cette histoire ? Est-ce que je suis conscient qu'il est possible que je n'aime pas ? Oui et encore oui. Je ne peux pas dire que je regrette ma lecture. Ce livre me laisse le même sentiment que j'ai eu après avoir regardé le film Requiem for a Dream (2008). le fond m'a dérangé, la conclusion ma dérangé, l'histoire m'a dérangé, chaque détail de l'âme humaine et de ses fracas m'ont dérangé. Mais est-ce que le film de Darren Aronofsky en est pour autant mauvais dans sa réalisation, son message et sa construction ? Non. Personnellement, Requiem for a Dream reste un film qui me laisse le cul entre deux chaises. C'est pareil pour Outrage.

Je peux également citer d'autres exemples qui ont choqué et dérangé, comme par le groupe de métal Marilyn Manson, qui même s'il s'est assagi depuis, a durant les années 90 et 2000 provoqué, heurté la société et l'opinion publique. Son chanteur, de son vrai nom Brian Warner avait également été « crucifié » après la tuerie dans le lycée de Columbine en 1999, où sa musique avait été tenue pour responsable des actes des deux ados barbares, simplement parce qu'ils possédaient des disques de Manson chez eux. Est-ce pour autant que ses textes n'ont pas mis en lumière plusieurs contradictions dans le monde ? Je peux citer « Love Song » qui parle de l'amour du peuple américain envers les armes, « The Fight Song » pour la glorification de la violence en utilisant le football américain comme image, ou encore « The Nobodies » qui évoque la détresse des adolescents face au monde qui les entoure, la violence par les armes et par les mots.

De plus, en réfléchissant à mon opinion sur ce livre avant de le lire, et pendant, je me suis souvenue de la biographie de Manson (The Long Hard Road out of Hell – 1998) où il raconte que son grand-père Jack descendait souvent à la cave faire tourner un petit train électrique, dont le jeune Brian et son cousin vont découvrir est l'antre d'un être quelque peu dérangé. En effet, ce dernier possède une collection de revues pornographiques, de vieux jouets sexuels, de sous-vêtements féminins, de perruques et de photos zoophiles. Il avait même tendance à se masturber en regardant le petit train électrique. Alors, ne me dîtes pas que des Rose et des Alex ne peuvent pas exister dans ce monde.

En bref, ce n'est pas la première fois que des ouvrages, artistes, chansons, films dérangent. Certains dérangent de façon inutile simplement pour faire le buzz, et d'autres tentent de démonter une facette de l'humain que nous avons tendance à masquer.

En conclusion, Outrage est une lecture dont je ne peux donner de note pour toutes les raisons que je viens d'évoquer en long et en large. Outrage est un ouvrage que l'on décide de lire en son âme et conscience, en se disant que l'on n'en ressortira pas indemne. le style de Maryssa Rachel peut déranger et/ou plaire, mais ne laisse pas de marbre. Je suis tout de même satisfaite d'avoir donné sa chance à ce livre, j'ai pu me faire mon propre avis et passer outre la polémique. Et puis, je sais que je n'oublierai pas Rose, et Outrage de sitôt. C'est simplement impossible.

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