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EAN : 9782290340998
92 pages
Librio (01/02/2004)
3.61/5   1677 notes
Résumé :
Tyran sanguinaire, empereur féroce, despote criminel : le seul nom de Néron provoque des frémissements d'horreur. C'est ce que Racine a bien compris : pour sa première tragédie romaine - terrain traditionnel de son vieux rival Corneille- Néron tombe à point nommé pour provoquer la crainte et la pitié. Il choisit donc d'en faire son héros maléfique, le double ignominieux de son frère Britannicus, innocent bientôt immolé à la formation machiavélique du jeune empereur.... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (104) Voir plus Ajouter une critique
3,61

sur 1677 notes
Britannicus est probablement, des pièces de Jean Racine, ma favorite. Les ingrédients de cette recette de qualité : un somptueux méchant, deux beaux machiavéliques, un brave muselé, deux tourtereaux au nid le tout revenu dans un fond d'histoire antique.

Ajoutez à cela amour et politique, rythme et poétique et vous aurez l'exemple canonique d'une magnifique tragédie. Alors, bien sûr, tout comme on peut ne pas aimer le safran, l'ail ou le melon, on peut ne pas aimer du tout ce type de pièce, ce style d'écrit, mais dans ce type et dans ce style, avouons que c'est du grand art.

Et d'ailleurs, rendons à ces arts ce qui appartient à Racine : la dramaturgie et le lyrisme. Ce n'est pas un champion de la formule fracassante comme peut l'être Corneille, mais quel verbe mes aïeux ! quel niveau ! quel style ! quelle homogénéité d'ensemble ! quelle construction !

Britannicus peut être perçu comme le pendant français de MacBeth avec dans le rôle titre Néron. Comme pour la tragédie de Shakespeare, le point central en est le basculement du souverain de l'intérêt général vers l'intérêt particulier, la chute du statut de chef d'état, père de la nation à celui de vulgaire tyran ou dictateur.

Comme chez Shakespeare, même si les ferments du mal sont en germe et très présents chez Néron, il faut un catalyseur : c'était Lady Macbeth là-bas, c'est Narcisse ici, c'était le truchement des événements là-bas, c'est l'amour pour Junie ici. La mécanique est la même à la différence que le titre là-bas est MacBeth, c'est-à-dire qu'on s'intéresse plus particulièrement au héros maléfique, c'est Britannicus ici, c'est-à-dire la principale victime du souverain ayant basculé dans la tyrannie et l'horreur.

Britannicus est un personnage assez insipide et naïf mais vis-à-vis duquel l'auteur parvient à nous faire ressentir beaucoup d'empathie parce qu'on le sent fragile, parce qu'on constate qu'il a subi beaucoup d'injustices, parce qu'il ne pense pas à mal et qu'il se montre prêt à pardonner à ses oppresseurs. Dans le fond, il est un peu couillon, mais on l'aime bien, on le chérie, on a envie de le dorloter, un peu comme le chiot boiteux d'une portée qui se fait toujours avoir et qui regarde les autres manger dans sa gamelle, la larme à l'œil.

L'autre personnage fantastique de Britannicus c'est bien évidemment Agrippine, la terrible mère de Néron ; celle-là même qui par ruse et vilenie s'est glissé dans les bras de l'empereur Claude et l'a manipulé, l'a usurpé, l'a plus ou moins castré et finalement, l'a assassiné. Le tout dans le dessein de placer son propre fiston, Néron, à la tête de l'empire, en lieu et place du légitime prétendant, Britannicus.

Elle espère qu'elle pourra castrer son fils comme elle a castré son mari, mais…, mais…, les chiens ne faisant pas toujours des chats, Néron tient bien plus d'elle qu'elle ne le souhaiterait.

Il faut certainement dire quelques mots encore de Burrhus et de Narcisse, respectivement gouverneurs de Néron et de Britannicus. Racine aime bien les compositions symétriques inversées. Il avait déjà fait le coup dans Andromaque ; il récidive ici.

En deux mots et très schématiquement cela donne : Néron (illégitime, immoral, fort, méchant, etc.) vs. Britannicus (légitime, moral, faible, gentil, etc.) et Burrhus (fidèle, honnête, soucieux du peuple, etc.) vs. Narcisse (traître, hypocrite, impitoyable, etc.) et l'on obtient dans la balance l'inéquation suivante :
NÉRON + BURRHUS > BRITANNICUS + NARCISSE, d'où le résultat final. Les 2 B sont BattUS et les 2 N sont les Nantis (ou les Nababs).

Cependant, vous conviendrez avec moi que j'ai commencé en vous parlant de poésie, de lyrisme et que j'en suis arrivée à de la mathématique ; c'est désolant, désespérant et je m'en excuse. Il me faudrait encore dire deux ou trois mots de Junie, expliquer le rôle purement fonctionnel d'Albine, méditer sur l'ambition d'Agrippine mais c'est comme d'expliquer la composition et la construction musicales : ça casse l'émotion qu'on éprouvait pour le morceau et en fin de compte, ça gâche un peu le plaisir.

Donc, jouissez sans théorème, vibrez sans connaître la formule, savourez sans chercher à trouver l'inconnue de l'équation car ceci n'est qu'un malheureux avis, sujet aux erreurs de calcul, c'est-à-dire, bien peu de chose face à l'émotion, d'un texte, d'une langue, d'une représentation.
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Néron est encore un jeune souverain frais émoulu sorti de l'école des Césars, une école probablement pas trop éloignée de Poudlard l'école des Sorciers chère à Potter, car ce brave jeune homme bien sous tous rapports va se faire contaminer par la mégalomanie paranoïaque de Voldemort.
Il gère donc son principat sans faire de vagues jusqu'au jour où il apprend que son demi-frérot Britannicus a craqué pour Junie, descendante d'Auguste en personne. Parano : cette situation risque de trop favoriser le frérot qui pourrait menacer son pouvoir. Donc il fait arrêter la jeune femme pour l'éloigner du frérot. Ironie du destin, il en tombe amoureux à son tour.
Là-dessus voilà que la mamma de Néron, Agrippine, s'en mêle. Si Junie approche trop prêt du fiston, elle risque fort de le libérer de son emprise de boa constrictor. Ni une ni deux elle se rapproche de Britannicus et lui promet de l'aider à retrouver Junie, façon de faire passer un message au fiston : « tu vois je t'ai fait roi, je peux te défaire aussi sec ».
La parano de Voldemort titille Néron. Il a tous les pouvoirs, il peut balayer large s'il veut. Mais il hésite car suivre les bons préceptes de Poudlard, honneur, dignité, compassion, etc. lui assurerait une place héroïque dans l'Histoire. Donc : place d'Infâme ou place de traitre. Il est conseillé dans un sens puis dans l'autre, change d'avis comme une girouette. Mais à la fin ce sera l'Infâme. Britannicus est empoisonné et Agrippine doit se tenir au garde-à-vous si elle veut sauver sa peau.

Bon j'ai résumé la pièce sur un ton badin mais c'est pour cacher mon admiration du style de Racine. Les vers sont pure musique sous l'oeil et l'auteur capte et restitue à merveille les affres, angoisses ou doutes des coeurs amoureux.
Même s'il connaît son Tacite, Racine s'accorde quelques licences poétiques. Selon Tacite (on pourra lire aussi le Néron de Roger Caratini) ce n'est pas Junie dont le jeune Néron tombe amoureux mais d'une affranchie nommée Actée. Britannicus prend deux ans de plus afin que son amour pour Junie soit vraisemblable. Narcisse, qui joue le rôle d'un agent double travaillant pour Britannicus mais en fait pour Néron, n'a rien à faire dans cette histoire selon l'historien romain. Bah ! du moment que l'on est averti dans les commentaires du livre (et dans les préfaces mêmes de l'auteur) il n'y a pas de mal.
Malgré tout, je ressens moins d'attrait pour cette pièce que pour Horace de Corneille. J'ai pour l'instant lu deux tragédies de chaque auteur et je préfère Corneille. Pourquoi ? Je pense que c'est parce que la romance (le style galant en vogue à son époque) de Racine prend trop le pas sur sa politique. L'équilibre passion-politique est mieux conservé chez Corneille, aboutissant aux situations qualifiées de cornéliennes. Chez Racine j'ai parfois l'impression de tomber dans le mélo.
Cela se joue sur un fil cependant.
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Loin des grandes figures féminines issues des tragédies grecques telles qu'Andromaque, Iphigénie ou encore Phèdre, cette fois c'est dans la Rome de l'Antiquité que le célèbre Jean Racine est allé chercher l'inspiration pour son « Britannicus ». On reste bien évidemment dans le genre tragique avec cette pièce de 1669 relatant la triste fin du fils naturel de Claude, assassiné par son « demi-frère » Néron, qui commence alors tout juste à régner. Outre la figure de Britannicus c'est ainsi également à celle de l'empereur que s'intéresse l'auteur, et plus précisément au tournant qui révélera sa véritable nature : son amour pervers pour Junie, la femme de son demi-frère.

Généralement peu attirée par les auteurs dits « classiques » et encore moins par le théâtre, c'est pourtant avec toujours autant de plaisir que je me plonge dans les oeuvres de Racine. Comme à son habitude, l'écrivain excelle dans le genre tragique et nous offre avec « Britannicus » ce qui reste à mon sens l'une de ses meilleures pièces. Néron, empereur rendu fou par un désir qu'il ne peut assouvir, Agrippine, mère castratrice et ambitieuse, Britannicus, victime de manigances politiques qui le dépassent..., sous sa plume ce sont quelques-unes des plus grandes figures historiques de la Rome antique qui prennent vie et parviennent à nous émouvoir ou nous révolter. Une très belle oeuvre, à lire et relire, sans aucune modération.
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Lire Racine, quelle lubie !
Pour beaucoup, le théâtre classique et plus encore les tragédies en alexandrins font résolument partie du passé et pas seulement du passé historique mais, plus proche d'eux, de leur passé d'étudiant.

Moi j'avais neuf ans quand je suis tombée sous le charme d'"Esther" que je faisais répéter à mon grand frère qui devait déclamer une réplique dans sa classe de collège. Fascinée par la langue et la musicalité des vers, c'est avec un plaisir tout aussi grand que je me suis plongée dans "Britannicus".

Une tragédie en cinq actes qui ne manque pas de panache. Sous l'empereur Néron, Rome lutte pour rester grande mais c'est sans compter sur les visées et complots des éminences grises ou encore sur la simple jalousie qu'inspire un heureux mortel lorsqu'il aime et qu'il est aimé de sa belle en retour.

Au-delà de l'histoire, c'est la beauté des vers qui m'enchante. La solennité des paroles, si elle ne s'accorde pas avec notre temps, va comme un gant à ce décor antique. C'est grand, c'est beau, c'est immortel, c'est Racine !


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Challenge SOLIDAIRE 2020
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"J'embrasse mon rival, mais c'est pour l'étouffer" , ce vers assez célèbre m'a rappelé la scène où Michael Corleone embrasse son frère Fredo pour le tuer à la fin de la deuxième partie de la trilogie du Parrain.
En effet, il s'agit ici de deux frères, le tyrannique Néron (on assiste dans cette pièce à sa naissance comme tyran) et demi-frère Britannicus. Mais, si dans le Parrain les affaires primaient, ici c'est un imbroglio de sentiments forts et de recherche du pouvoir. Et puisque Britannicus, le doux, le tendre a ce à quoi Néron aspire, il doit comme Caïn commettre ce fratricide. Mais l'aura-t-il? Peu importe! En tragédie peu importe la fin, c'est le parcours, le développement des sentiments et de la personnalités des personnages qui importe.
En cinq actes et en alexandrin, c'est une pièce qui se lit avec un grand plaisir, et les vers en les prononçant, nous donnent un sentiment indicible. Faut-il parler de style en ce qui concerne Racine? le style c'est Racine. On admirera aussi la diversité des caractères (mère protectrice, traître, amante fidèle...etc).
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Citations et extraits (252) Voir plus Ajouter une citation
Ah ! Narcisse ! Tu sais si de la servitude
Je prétends faire encore une longue habitude.
Tu sais si pour jamais de ma chute étonné
Je renonce à l'empire, où j'étais destiné.
Mais je suis seul encor. Les amis de mon père
Sont autant d'inconnus que glace ma misère.
Et ma jeunesse même écarte loin de moi
Tous ceux qui dans le cœur me réservent leur foi.
Pour moi depuis un an, qu'un peu d'expérience
M'a donné de mon sort la triste connaissance,
Que vois-je autour de moi, que des amis vendus
Qui sont de tous mes pas les témoins assidus,
Qui choisis par Néron pour ce commerce infâme
Trafiquent avec lui des secrets de mon âme ?
Quoi qu'il en soit, Narcisse, on me vend tous les jours.
Il prévoit mes desseins, il entend mes discours.
Comme toi dans mon cœur il sait ce qui se passe.
Que t'en semble, Narcisse ?
(Britannicus, Acte I, Scène IV)
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BRITANNICUS : Rome met-elle au nombre de vos droits
Tout ce qu'a de cruel l'injustice et la force,
Les emprisonnements, le rapt et le divorce ?
NÉRON : Rome ne porte point ses regards curieux
Jusque dans des secrets que je cache à ses yeux.
Imitez son respect.
BRITANNICUS : On sait ce qu'elle en pense.
NÉRON : Elle se tait du moins : imitez son silence.
BRITANNICUS : Ainsi Néron commence à ne plus se forcer.
NÉRON : Néron de vos discours commence à se lasser.
BRITANNICUS : Chacun devait bénir le bonheur de son règne.
NÉRON : Heureux ou malheureux, il suffit qu'on me craigne.
BRITANNICUS : Je connais mal Junie ou de tels sentiments
Ne mériteront pas ses applaudissements.
NÉRON : Du moins, si je ne sais le secret de lui plaire,
Je sais l'art de punir un rival téméraire.

Acte III, Scène 8 : (v. 1046-1060).
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NARCISSE : Grâces aux dieux, Seigneur, Junie entre vos mains
Vous assure aujourd'hui le reste des Romains.
Vos ennemis, déchus de leur vaine espérance,
Sont allés chez Pallas pleurer leur impuissance.
Mais que vois-je ? Vous-même, inquiet, étonné,
Plus que Britannicus paraissez consterné.
Que présage à mes yeux cette tristesse obscure
Et ces sombres regards errant à l'aventure ?
Tout vous rit : la fortune obéit à vos vœux.
NÉRON : Narcisse, c'en est fait, Néron est amoureux.
NARCISSE : Vous ?
NÉRON : Depuis un moment, mais pour toute ma vie,
J'aime, que dis-je, aimer ? j'idolâtre Junie !
NARCISSE : Vous l'aimez ?
NÉRON : Excité d'un désir curieux,
Cette nuit je l'ai vue arriver en ces lieux,
Triste, levant au ciel ses yeux mouillés de larmes,
Qui brillaient au travers des flambeaux et des armes,
Belle, sans ornements, dans le simple appareil
D'une beauté qu'on vient d'arracher au sommeil.
Que veux-tu ? Je ne sais si cette négligence,
Les ombres, les flambeaux, les cris et le silence,
Et le farouche aspect de ses fiers ravisseurs,
Relevaient de ses yeux les timides douceurs,
Quoi qu'il en soit, ravi d'une si belle vue,
J'ai voulu lui parler, et ma voix s'est perdue :
Immobile, saisi d'un long étonnement,
Je l'ai laissé passer dans son appartement.
J'ai passé dans le mien. C'est là que, solitaire,
De son image en vain j'ai voulu me distraire.
Trop présente à mes yeux je croyais lui parler,
J'aimais jusqu'à ses pleurs que je faisais couler.
Quelquefois, mais trop tard, je lui demandais grâce;
J'employais les soupirs, et même la menace.
Voilà comme, occupé de mon nouvel amour,
Mes yeux, sans se fermer, ont attendu le jour.
Mais je m'en fais peut-être une trop belle image,
Elle m'est apparue avec trop d'avantage:
Narcisse, qu'en dis-tu ?

Acte II, Scène 2.
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BURRHUS : C'est à vous à choisir, vous êtes encor maître.
Vertueux jusqu'ici, vous pouvez toujours l'être :
Le chemin est tracé, rien ne vous retient plus ;
Vous n'avez qu'à marcher de vertus en vertus.
Mais si de vos flatteurs vous suivez la maxime,
Il vous faudra, Seigneur, courir de crime en crime,
Soutenir vos rigueurs par d'autres cruautés,
Et laver dans le sang vos bras ensanglantés.

Acte IV, Scène 3 : (v. 1339-1346).
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JUNIE : Hélas ! dans cette cour
Combien tout ce qu'on dit est loin de ce qu'on pense !
Que la bouche et le cœur sont peu d'intelligence !
Avec combien de joie on y trahit sa foi !
Quel séjour étranger et pour vous et pour moi !

Acte V, Scène 1 : (v. 1522-1526).
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Vidéo de Jean Racine
Rencontre proposée par Yves le Pestipon. Jean Racine, Lettre à La Fontaine, 11novembre 1661, de «De Lyon» à la fin.
On lit, on joue, on voit, on étudie beaucoup les tragédies de Racine. On a raison, mais on oublie parfois qu'il eut une vie, des amis, et qu'il écrivit des lettres. Ce qui nous reste de sa correspondance occupe presque tout un volume de la Pléiade. C'est passionnant, et c'est admirablement écrit. Parmi ces lettres, celle qu'il écrivit d'Uzès, le 11novembre1661, vaut par son ton, son humour, ses anecdotes, et son destinataire, le célèbre fabuliste qui ne l'était pas encore. On y découvre des complicités, presque de «loup» à «loup», une pratique de la langue, des styles, et du voyage, qui nous en apprend beaucoup sur le xviiesiècle français, et fait rêver. Très petite bibliographie Racine, Oeuvres complètes, II, Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard. Georges Forestier, Jean Racine, Gallimard, 2006.
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04/03/2024 - Réalisation et mise en ondes Radio Radio, RR+, Radio TER
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