AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Les descendants de Merlin tome 1 sur 3
EAN : 9782757802700
798 pages
Points (21/02/2007)
4.11/5   23 notes
Résumé :
Elle s'appelle Wren : fille de Merlin et d'une grande prêtresse de Dana, mariée à un seigneur qu'elle ne peut aimer, obligée de partager sa demeure avec une sorcière, elle doit se frayer un chemin dans le labyrinthe sinueux de la magie et décrypter les visions apocalyptiques qui l'assaillent. Car à l'ombre des divinités anciennes, c'est le destin même du roi Arthur qui est en jeu.
Que lire après Les descendants de Merlin, Tome 1 : WrenVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Découvert une première fois en 2007 ou 2008, ce premier tome m'avait déjà enchantée. Je redoutais un peu que cette relecture, avec plus de maturité, me montre d'horribles défauts et donc que je sois déçue. Il n'en est rien et je crois même que c'est un encore plus beau coup de coeur que la première fois.
Si vous avez aimé le féminisme des Dames du Lac de Marion Zimmer Bradley, si vous vous intéressez à la légende arthurienne et si vous êtes sensibles aux questions de conflits entre anciennes et nouvelles religions, ce livre devrait vous plaire !

Irene Radford nous raconte l'histoire de Wren sur près de 800 pages. Mais qui est cette Wren ? Que fait-elle dans la légende arthurienne ? Arylwren, de son vrai nom, est la fille du Merlin et de Deirdre, une des anciennes prêtresses d'Avalon. Alors le célèbre enchanteur – ici grand druide – doit honorer son voeu de chasteté, les dieux le poussent volontairement dans les bras de la jeune femme, lors d'une nuit de Beltane. de cette seule et unique union nait la petite Wren dont la destinée est intimement liée aux héros arthuriens, à commencer par le célèbre roi Arthur. Wren doit naître et doit vivre, les dieux l'ont décidé ainsi.
Deirdre morte en couches, l'enfant est élevé par un Merlin attentionné et protecteur qui lui apprend toutes les ficelles du métier de druide et barde sur les routes de la Bretagne. Pieds nus, des feuilles dans les cheveux et des tâches d'herbe sur ses tenues, la petite Wren grandit, heureuse. le père et la fille passent régulièrement du temps chez Hector et ses fils adoptifs, notamment auprès de Curyll (Arthur), un jeune garçon brillant et habile au maniement des armes mais atteint d'un bégaiement handicapant. C'est le meilleur ami de la petite Wren qui, ayant la faveur des fées, les présente au jeune adolescent. S'il promet de toujours croire aux fées et ne renie jamais les anciennes traditions, alors l'avenir lui sourira. Malheureusement, alors qu'elle n'a pas 10 ans, la petite fille doit rejoindre l'île d'Avalon où les prêtresses de Dana lui enseigneront tout ce qu'elles savent.
Après quelques années d'apprentissage, Wren, adolescente épanouie, reprend sa place auprès du Merlin et des fils adoptifs d'Hector. Mais son avenir n'est pas celui qu'elle croit. Pion aussi bien pour les hommes de son entourage que pour les dieux qu'elle sert, la nouvelle prêtresse accepte – difficilement – ce qu'on lui impose. Et devra composer avec ce qu'on lui offre, malgré toutes les difficultés.

Wren est clairement un personnage féminin que j'adore. Enfant, puis adolescente et enfin femme, j'aime tout de son évolution. C'est une héroïne forte et déterminée. Sa vie n'est pas un long fleuve tranquille – c'est le moins que l'on puisse dire – mais elle relève toujours la tête et trouve la paix et l'harmonie autour d'elle. Elle met à profit les enseignements qu'elle a reçus de la part de son père et des prêtresses d'Avalon pour faire le bien autour d'elle (ses proches, les gens de son domaine…) et, par extension, pour elle. de l'enfant espiègle naît une jeune femme résolue et une mère protectrice que j'admire beaucoup. C'est une nana sacrément puissante ! Elle m'émeut énormément et me touche profondément. Même si son histoire est plutôt triste (je ne vous en dis pas plus pour ne pas vous gâcher la surprise), c'est Wren l'héroïne que j'aimerais incarner si on me donnait le choix.
Beaucoup d'autres personnages gravitent autour d'elle mais ceux qui prennent le plus de place sur la scène sont sans conteste les autres figures féminines de l'histoire : Nimuë, Morgane et dans une moindre mesure Guenièvre. En fait, autour de tous ces chevaliers, du royaume et du Graal, ce sont les femmes qui « comptent ». Alors certes, elles n'ont pas forcément le beau rôle : séductrices manipulatrices adeptes de magie « noire » pour les deux premières, femme enfant hors du temps pour la troisième, on ne peut pas dire que Irene Radford les rendent très aimables. Mais ce sont des femmes de pouvoir, des femmes fortes qui laissent leur empreinte. On déteste la rousse Nimuë qui utilise son corps à tout va – même avec son père ! – pour arriver à ses fins (c'est la figure la plus « sexuée » de l'histoire… d'ailleurs en parlant de ça, attention, il y a quelques scènes assez « déshabillées », les rituels païens étant moins regardant sur la pudeur que la religion chrétienne), la brune Morgane qui délaisse complètement ses enfants par unique désir de vengeance et Guenièvre, la blonde et féérique Guenièvre qui ne voit pas Arthur, trop hypnotisée par Lancelot, ce qui causera la perte du royaume de Bretagne… Et pourtant, même si j'ai détesté ces trois femmes, je les « admire » d'une certaine façon, encore une fois parce qu'elles sont fortes. Pas de ces héroïnes que l'on trouve dans les romans Harlequin ou jeunesses un peu bas de gamme… non non, de vraies guerrières. Girls power !

Ce que j'aime aussi énormément dans ce premier tome, c'est son côté « mystique ». Irene Radford traite les anciennes traditions – notamment les rituels de Beltane, pour ne citer qu'eux – d'une façon que j'apprécie. Elle n'en fait pas tonnes, elle reste très ancrée dans les énergies élémentaires et il n'y aucune démonstration à la Harry Potter ; ça reste très crédible, très réel, très naturel… et j'apprécie parce qu'on y croit. le côté « celte » est donc bien présent et très bien mené.
Et puis j'aime les réflexions menées autour du conflit entre anciennes et nouvelles religions. Plusieurs personnages baptisés et résolument chrétiens entrent en scène à plusieurs reprises et se confrontent notamment à Wren, prêtresse d'Avalon. Arthur devra lui aussi composer avec ces deux religions qui l'accompagnent et lui ont toutes les deux permis d'accéder au trône. Je trouve que l'auteure équilibre assez bien son discours. On pourrait redouter qu'elle nous fasse l'apologie des anciennes traditions au détriment du Dieu unique… alors certes, avec une héroïne prêtresse, il y a un peu de ça (forcément), mais elle offre aussi de belles scènes de tolérance. le premier prêtre que rencontre Wren est auréolé de pureté et de bonté, c'est une figure aimante et convaincue par sa foi chrétienne. Il fait le bien autour de lui, il apporte l'équilibre, la paix et l'harmonie. Exactement comme l'indiquent les « préceptes » d'Avalon. A contrario, certaines anciennes prêtresses de l'île voient d'un très mauvais oeil l'ermite du coin et tiennent des propos extrémistes dangereux. Ce qui compte, ce n'est pas le nom de la religion ou du(des) dieu(x) que les personnages servent, mais le message véhiculé et la façon de faire (intimement liée à la personnalité de chacun). J'étais dans cette relecture au moment des attentats du 13 novembre et des messages de tolérance comme ça, ça fait du bien.

Je ne suis pas une spécialiste de la légende arthurienne même si j'ai énormément lu sur le sujet pendant mon adolescence et j'apprécie le traitement qui est fait de celle-ci ici. Alors j'étais plutôt habituée au fait que Viviane – la Dame du Lac apparaisse auprès du Merlin et que Nimuë soit un autre nom pour celle-ci (ou carrément la soeur jumelle de l'enchanteur selon les versions) mais non. Cette légende est très ancienne et a surtout voyagé oralement… les versions sont donc nombreuses et même si certains éléments se recoupent, d'autres se modifient parfois selon les visions et convictions des auteurs qui les utilisent.
Je trouve pour ma part qu'Irene Radford a fait une utilisation intelligente de la légende et qu'elle a su très bien y faire entrer l'aspect anciennes traditions. Elle a inventé de nouveaux personnages (Wren évidemment) et a su les insérer avec brio dans un contexte que l'on connaît tous plus ou moins. Moi je suis convaincue par ces modifications et transformations et je remercie l'auteure d'avoir osé écrire cette trilogie après le succès des Dames du Lac de Marion Zimmer Bradley qu'elle ne copie pas mais sublime, à mon avis !

Je pourrais continuer de parler de ce premier tome des heures durant, jamais satisfaite de mes mots qui ne rendent pas assez justice au coup de coeur que m'a procuré cette relecture. Je dirais juste, pour terminer, que sitôt arrivée à la dernière page, j'avais envie de recommencer du début pour me replonger dans cette histoire auprès de Wren que j'ai vraiment eu du mal à quitter (ce que j'ai fait à contre coeur, avec les yeux embués tant c'est un personnage qui me touche)…
Lien : http://bazardelalitterature...
Commenter  J’apprécie          60
Découvert sur les bons conseils et l'avis extatique de Maureen du Bazar de la Littérature, je la remercie encore pour cette très belle lecture qu'a été ce premier tome des Descendants de Merlin.

La légende arthurienne et la matière de Bretagne sont sans doute les contextes et backgrounds qui ont été les plus utilisés en fantasy, et bon nombre d'auteurs y ont pioché sans vergogne de manière plus ou moins originale et pertinente. Qu'apportera une énième variation autour du thème (qui date tout de même de 1999) ?

Ce qui frappe tout d'abord, c'est le travail réalisé sur les personnages, dotés d'une véritable épaisseur – qu'ils soient féminins ou masculins, d'ailleurs.
Mais force est de constater que la part belle est faite aux femmes, et quelles femmes ! Que ce soit Wren, le personnage principal qu'on suivra d'enfant à mère, Nimüe la séductrice à la sexualité déviante et aux noires aspirations, Morgane adepte de magie noire, ou encore Guenièvre en femme-enfant un peu particulière qui rappellera les fées, elles seront creusées, fortes (y compris celles qu'on hait) et avec un vrai rôle important à jouer.
Autant dire que c'est un réel plaisir de lire des personnages aussi solides, soignés, avec leurs forces mais aussi leurs faiblesses (et déviances, pour certaines), et si bien mises en avant dans ce contexte pourtant souvent masculin, où elles sont reléguées en général à des rôles monolithiques.
L'occasion pour l'auteur d'aborder un féminisme qui traversera toute l'oeuvre, de façon diffuse tout d'abord avec ces rôles féminins très présents, et parfois de façon plus frontale avec des critiques sur un système patriarcale profondément injuste envers les femmes (qui sonnent malheureusement toujours d'actualité dans certains cas) et sur des comportements de personnages masculins, mais ce toujours de manière pertinente, intelligente et très juste.
L'oeuvre peut ainsi être placée aux côtés des Dames du Lac de Marion Zimmer Bradley, tant les deux en sont proches, que ce soit au niveau du contexte, des thématiques, ou de la qualité.

J'ai complètement adoré la Wren gamine et son espièglerie mais aussi son amour pour son père et ses proches, sa curiosité, et j'ai adoré suivre son évolution et découvrir la femme qu'elle est devenue, les choix qu'elle a fait. Une véritable affection se crée entre elle et le lecteur.
D'autres figures s'avèrent passionnantes à (re)découvrir, tout particulièrement Merlin, mais aussi un Arthur enfant à la faille assez inattendue.

Le mysticisme et la magie celtiques (on est bien loin d'un déferlement d'effets spéciaux, on reste en général ancré dans des rituels et énergies élémentaires dotés d'un certain réalisme tout en restant fortement mystique) imprègnent totalement l'oeuvre, lui donnant une atmosphère et un cachet proprement formidables, envoûtant. Et quand la religion chrétienne gagne l'île, on peut s'attendre à des étincelles.
Les conflits de religions y sont traités sans fard, et nombre de personnages devront composer entre anciennes et nouvelles croyances. On pourra voir l'extrémisme auquel peut mener la religion, et ce des deux côtés, mais le propos régulièrement distillé comme quoi elles peuvent également s'accorder sur des bases communes, prêchant après tout un même message, est fortement appréciable et très juste.

En revanche, la fin s'avère un peu précipitée, on nous la résume plus qu'on y assiste, c'est dommage. Mais surtout, le point qui pourra agacer, c'est l'aveuglement de certains personnages face aux agissements d'autres, qu'on sait pourtant particulièrement mauvais ou dangereux, et le côté un peu répétitif du schéma que çela entraîne : un coup le danger vient de Nimuë, un coup de Morgane, un coup des deux, et Wren et le Merlin semblent régulièrement s'en étonner ou ne rien faire pour prévenir les mauvais coups.
Rien de dramatique, mais face à un récit de très haut niveau, on aimerait qu'il atteigne la perfection.

Alors, cela n'a pas été un coup de coeur absolu et inconditionnel, mais ça a été un joli coup de coeur tout de même, sincère.

Ainsi, la légende arthurienne est certes "revisitée" (sans grands bouleversements non plus, on y retrouve bon nombre d'éléments bien connus), mais c'est fait de manière totalement organique et naturelle, tout fonctionne très bien.

Le petit plus du livre :
A noter qu'il s'agit d'un tome 1 qui peut se lire comme un one-shot, de manière autonome, donc, ce qui s'avère agréable (surtout après un récit riche et dense).
Commenter  J’apprécie          10
Les Dames du Lac, puis les Brumes d'Avalon sont un des premiers romans de "grand" que j'ai lu, au sortir de l'enfance. Ma mère me l'avait conseillé, sachant mon attirance pour les contes, la mythologie et les légendes. J'avais été époustouflée, à tel point que j'ai encore du mal à différencier maintenant ce qui sort de l'imagination de Marion Zimmer Bradley, et ce qui est issu réellement de la Légende du Roi Arthur traditionnelle.
Autre manière de le dire, j'ai tellement aimé ces deux romans, que je me suis tapé avec enthousiasme toutes les préquelles, dont la qualité est ... inégale, soyons tendres.
Tout ça pour dire que, quand j'ai vu une série appelée "Les descendants de Merlin", mon coeur à chaviré : allais-je retrouver les même émois qu'avec Les Dames du Lac ?

Oui, et non.
Commençons par ce que je n'ai pas aimé. J'ai regretté la comparaison inconsciente que je fais avec MZ Bradley. J'ai regretté la comparaison consciente que fait l'éditeur avec MZ Bradley. J'ai regretté la comparaison (consciente ou inconsciente, I don't know) que fais l'auteur avec son prologue totalement bradleyien : le Merlin prophète se laisse envoûter par la Haute Prêtresse d'Avalon en une nuit de Beltane langoureuse, et compromet avec elle son voeu de chasteté, pour engendrer l'enfant voulu par la Déesse Dana.

Ceci passé, rien dans la narration n'est comme dans Les Dames du Lac. Et j'ai tôt fait d'oublier les remarques de l'éditeur et mes préjugés pour me plonger dans une fort sympathique histoire de fantasy.
On suit Gwen, fille de Merlin, ou plutôt du dernier merlin, qui parcourt les routes avec son bâton de voyageur pour accomplir les volontés des dieux (très très bien trouvés, d'ailleurs : j'ai cru parfois me retrouver dans des passages de l'Iliade, avec ces dieux querelleurs !) et mettre Arthur sur le trône.
Qui est Arthur ? A nous, lecteurs qui connaissons la fin, la réponse est assez évidente. Mais pas pour la petite Gwen, une petite furteuse adorable, qui parle aux chats et à leurs démons, qui espionne les secrets de tous et de toutes, et qui aime son papa d'un amour grand comme le ciel (oui, j'avoue, j'adore cette petite). Bien sûr, tout ne va pas être drôle dans sa vie, elle va même croiser des vilaines méchantes qui jouent avec le feu (ou plutôt les démons de Cernunos), répondant au nom de Nimuë et Morgane. Et une Guenièvre dont on nous explique enfin la fadeur et l'imbécillité !

Bref, j'ai trouvé que c'était un divertissement très agréable et léger, qui s'adapterait merveilleusement au cinéma d'ailleurs. le style est agréable à lire, parfois même très bon. L'univers qu'elle crée est riche, complexe (peut-être même plus que celui des Dames du Lac), cohérent, et montre que l'auteur possède une très très riche culture en mythologie celte.
Même si ma jolie petite héroïne meurt à la fin (et que je ne vois pas comment l'histoire va pouvoir rebondir), j'ai quand même envie de continuer et de lire le destin de ses enfants !
Commenter  J’apprécie          20
Après un prologue où lors de la célébration de la fête de Beltane le grand druide Merlin à des relations avec la grande prêtresse d'Avalon malgré l'interdit des dieux, l'auteure met dans cette fantasy arthurienne plus particulièrement en scène les femmes. Si l'on retrouve Guenièvre, Morgane et Nimue, c'est plus particulièrement un personnage inédit que l'on suit : Arylwen la fille de Merlin.

Cette fantasy est une réadaptation des textes que l'on connaît déjà mais cette fois-ci à travers les yeux de l'héritière du grand druide. Ce récit mystique va surtout s'attacher à mettre en lumière l'évolution de la religion, la montée de la chrétienté qui va supplanter les croyances traditionnelles des celtes. En effet au tout début du récit l'on assiste à l'extinction des prêtresses d'Avalon et la perte lente d'influence de Merlin au profit de son jumeau l'évêque. Une réinterprétation assez particulière du récit que l'on connaît bien et qui va surtout mettre en exergue la lutte de Wren contre Nimue la fille de son mari avec laquelle ce dernier à des relations contre nature et Morgane.

Les personnages de premier plan sont soignés, mais on a, hormis Wren, un peu de mal a accrocher aux autres rôles féminins qui n'ont pas le beau rôle. En effet elles nous apparaissent séductrices, manipulatrices et adeptes de la magie ou encore pour Guenièvre une femme-enfant qui ne semble pas vivre la réalité du monde.

Un récit aussi auquel on a du mal à adhérer du au style lourd de l'autrice, et aux nombreuses répétitions qui émaillent le texte.

Le final aussi interpelle : au lieu de nous faire vivre l'histoire celle-ci nous est rapportée ce qui a comme résultat d'éloigner le lecteur de l'histoire, on est spectateur et on ne la vit pas.

Au final si l'idée première était très intéressante elle s'avère malheureusement mal exploitée dans sa forme.
Lien : http://imaginaire-chronique...
Commenter  J’apprécie          70
J'ai adoré ce premier tome. J'ai adoré le personnage de Wren, adoré la voir grandir, devenir femme, devenir la "mère" dont on se souviendra malgré tous ses autres visages. En règle générale, j'aime ce qui touche au mythe arthurien. Il semblerait que j'aime encore davantage ceux écrits par des femmes et mettant en scène des personnages féminins. Pour dire, j'ai aimé ce livre comme j'avais aimé celui des Dames du Lac de Marion Zimmer Bradley. Je pense qu'il est assez méconnu et c'est bien dommage
Commenter  J’apprécie          50


autres livres classés : légendes arthuriennesVoir plus
Les plus populaires : Imaginaire Voir plus


Lecteurs (87) Voir plus



Quiz Voir plus

Les plus grands classiques de la science-fiction

Qui a écrit 1984

George Orwell
Aldous Huxley
H.G. Wells
Pierre Boulle

10 questions
4869 lecteurs ont répondu
Thèmes : science-fictionCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..