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Critique de PatriceG


Histoire vraie

Tout filait en quenouilles à l'entame du mandat de Nicolas Sarkozy. La politique n'avait pas de genre. L'idéologie de gauche de facto avait confisqué le pouvoir.

Le ton se durcit à l'arrivée du nabot -comme ils l'appelaient avec un mépris total -, qui appela Patrick Buisson réactionnaire bon teint pour muscler ses discours de campagne et pour considérer les électeurs de droite un peu moins pour les cons de l'histoire. La confrontation avec Ségolène Royal fut rude ; je voyais en elle une infirmière venant avec ses pansements pour tenter de cautériser les nombreuses plaies dont souffrait le pays. le passage de relais entre Chirac et Sarkozy s'effectua de manière bizarre, ils semblaient se tenir par la barbichette. Chirac savait qu'il aurait besoin du Président entrant pour circonscrire ses ennuis judiciaires, Ce dernier savait qu'il aurait besoin de celui qui l'a précédé pour de bas calculs politiques.

Le cartel du yaourt apparut, mais ce sont les infirmières bulgares prises en otage en Libye qui vont animer l'état de grâce du nouveau Président. Très vite, on va mesurer de quel bois se chauffe celui-ci, comme un jeune coq impétueux ! La première Dame de France va jouer les bons offices ; c'est la même dame qui va jouer les bourreaux du coeur et infliger un affront cinglant à l'époux aux commandes du pays en le trompant. En réalité on voyait qu'elle se prêtait de mauvaise grâce au protocole élyséen et qu'elle ne répondait plus au chant du coq ..
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