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Citations sur Au-delà de l'affaire de la chloroquine (19)

Dans l’expérience que nous avions en juin 2021 à l’IHU de Marseille, documentée par PCR, qui portait sur près de 600 patients vaccinés et néanmoins infectés par le COVID, NOUS N’AVONS PAS NOTE QUE LE VACCIN DIMINUAIT LA GRAVITE DE LA MALADIE, la mort étant aussi fréquente chez les gens vaccinés que chez les gens non vaccinés, de même que l’hospitalisation.
[…]
L’effet potentiel de la vaccination n’est ISSU QUE DE MODELES MATHEMATIQUES DONT L’EFFICACITE NE S’EST PAS REVELEE DU TOUT DURANT CETTE EPIDEMIE.
En effet, une partie de la terreur liée à cette épidémie a été associée, dès le départ, à la REALISATION DE MODELES DRAMATISANTS, qui ont été brandis d’abord par le Conseil scientifique, puis sur tous les plateaux de télévision, sans que personne n’est jamais rien pu prédire de réaliste.

(Ch. 11, LE PRINCIPE DE PRECAUTION INVERSE en particulier dans les vaccins, p. 142-143)
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[...] il y a des gens qui reçoivent des financements [de l’industrie pharmaceutique] inférieurs à 5 % de leurs revenus, et sont probablement peu enclins à changer leur point de vue par rapport à ceux qui en perçoivent 50 %.
Les conflits d’intérêts sont parfois difficiles à identifier quand les financements ont été réalisés d’une manière internationale, évitant les déclarations nationales sur le tableau, ou quand il ne s’agit pas de médecins, comme madame Castagliola, qui a déclaré avoir TOUCHE DE L’ARGENT DE GILEAD.
Elle a été grand prix de l’INSERM, COMMENTATRICE HABITUELLE DES MEDIAS SUR LE COVID-19 et SIGNATAIRE DE TRIBUNES HOSTILES.

(Ch. 3, FRAUDES, ERREURS, NEGLIGENCE, « SCIENTIFIC MISCONDUCT », ET LE BIAIS NEGLIGE DES CONFLITS D’INTERETS, p. 73-74)
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[…] alors que quand on mettait le doigt sur une manipulation, dans le passé, on vous traitait de paranoïaque, actuellement, on vous traite de « complotiste ». LE FAIT DE NE PAS ETRE D’ACCORD AVEC LA MAJORITE N’EST PAS UNE TARE.

Il n’y a pas d’évidence historique que ce que pensaient la majorité des gens à un moment donné, si tant est qu’on le sache, ait représenté une réalité plus claire que ce que pensait la minorité.

Enfin, DANS LES CIVILISATIONS EN PLEIN BOULEVERSEMENT, il est temps de laisser s’exprimer les voix qui sont divergentes, au départ, afin de prendre le temps de trier, parmi celles qui se sont exprimées, celles qui auront un intérêt pour la société et celles qui n’en auront pas.

(Ch. 6, LE LANCETGATE. La manipulation de l’information, p. 113-114)
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[…] j’ai eu la mauvaise surprise de voir tous mes articles concernant le COVID (compte-tenu de mes stratégies thérapeutiques) être SYSTEMATIQUEMENT REFUSES, sans révision, par le journal « Clinical Infections Diseases » (dont j’avais été l’auteur le plus publiant au monde).
LE NOUVEAU REDACTEUR EN CHEF A UN LIEN D’INTERETS AVEC GILEAD, puisqu’il fait partie du « board » de cette entreprise.
Dans ces conditions, il paraît difficile de demander aux auteurs leurs conflits d’intérêts quand le rédacteur en chef qui décide du sort des papiers qui sont envoyés a, lui-même, un conflit d’intérêt financier.

(Ch. 3, FRAUDES, ERREURS, NEGLIGENCE, « SCIENTIFIC MISCONDUCT », ET LE BIAIS NEGLIGE DES CONFLITS D’INTERETS, p. 74-75)
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Pour les vaccins, la situation aussi est complexe. Sous prétexte qu’on avait affaire à une maladie d’une gravité extrême, pour laquelle « aucune solution thérapeutique n’avait été proposée » ( !), il a été considéré comme normal de griller toutes les étapes, et en particulier de NE PAS EVALUER LA TOXICITE ET L’EFFICACITE DES VACCINS sur une échelle de temps raisonnable. […]

Il a été découvert, d’ores et déjà, a postériori, que le vaccin Astra Zeneca entraînait des THROMBOSES (les vaisseaux sanguins se bouchent) PARFOIS MORTELLES, et que son bénéfice chez les femmes qui sont le plus atteintes par cette complication du vaccin mais qui, si elles moins de 50 ans, n’ont PRATIQUEMENT AUCUNE CHANCE DE MOURIR DE LA COVID, était probablement modeste.

(Ch. 11, LE PRINCIPE DE PRECAUTION INVERSE en particulier dans les vaccins, p. 141)
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[…] un papier avait été écrit, dans les bonnes années du « New England Journal of Medecine », montrant qu’il n’y avait PAS DE DIFFERENCES SIGNIFICATIVES ENTRE LES ESSAIS RANDOMISES ET LES ETUDES COMPARATIVES.
Les essais randomisés sont censés éviter les biais, mais en réalité LE BIAIS LE PLUS IMPORTANT EST LE CONFLIT D’INTERETS.
Dans les autres cas, on ne voit pas trop quelle signification ou quel intérêt il y aurait à biaiser les résultats.
En revanche, dans les études randomisées multicentriques, un seul groupe a accès à l’ensemble des données, et il peut définir les méthodes d’analyse.
Eventuellement, quand il s’agit de l’industrie pharmaceutique, c’est CE MEME GROUPE QUI ECRIRA LE TRAVAIL, ET DONNERA AUX JOURNAUX SCIENTIFIQUES UN DROIT DE PREEMPTION SUR LA PUBLICATION DE CET ARTICLE.

(Ch. 7, LES METHODOLOGIES ET LES ESSAIS. Impossible d’y débusquer les conflits d’intérêts, p. 118-119)
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La presse scientifique a un problème majeur d’autorité et de crédibilité. Depuis plusieurs années, elle est devenue la cible, pour les journaux les plus cités, d’un FINANCEMENT VRAIMENT SPECTACULAIRE PAR L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE.
Parmi les modes utilisés par l’industrie pharmaceutique, l’achat massif de bons à tirer (articles sur papier que l’on peut distribuer indépendamment du journal), qui ne seront probablement jamais utilisés, peut constituer jusqu’à 50 % des revenus d’un journal comme le « Lancet » dans l’année.
La liberté des journaux, dans ces conditions, est extrêmement compromise.
Ainsi, la presse scientifique traditionnelle a, dans l’ensemble, présenté une hostilité considérable vis-à-vis de l’hydroxychloroquine.

(Ch. 6, LE LANCETGATE. La manipulation de l’information, p. 103-104)
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J’ai ainsi eu l’occasion de mettre au point, pour la première fois, les diagnostics moléculaires sur la pulpe dentaire de squelettes anciens, pour y faire le diagnostic de la peste, dans un papier publié en 1998.
Ce papier a soulevé encore une fois une hostilité importante (en particulier sur les réseaux sociaux et sur Wikipédia), laissant penser que cela pouvait être une erreur due à un artefact que j’avais réalisé, et que la pulpe dentaire ne représentait pas un bon prélèvement pour traiter ce sujet.
En réalité, depuis, la pulpe dentaire est le prélèvement le plus utilisé partout dans le monde, pour les études génétiques anciennes.

Tous les travaux réalisés par des laboratoires, familiers avec les techniques moléculaires, ont confirmé que la peste du Moyen Age était bien due à « Yersinia pestis », et non pas au fantasme, qui circulait à l’époque, d’une fièvre hémorragique qui reviendrait de façon cyclique.

(Ch. 3 : FRAUDES, ERREURS, NEGLIGENCE, « SCIENTIFIC MISCONDUCT », ET LE BIAIS NEGLIGE DES CONFLITS D’INTERETS, p. 65-66)
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[…] nous avons déposé quatre projets scientifiques successifs, permettant d’évaluer, en particulier dans les EHPAD, notre protocole thérapeutique. En effet, parmi nos travaux, l’un avait été fait en EHPAD, comparant la mortalité chez les sujets non traités et chez les sujets traités.
Chez les sujets non traités, dans cette tranche d’âge, LA MORTALITE était de 28 %, et de 14 % chez les sujets traités, donc DIVISEE PAR DEUX.

Récemment, nous avons eu l’occasion de faire une méta-analyse sur les traitements chez les sujets d’EHPAD ou de leur équivalent dans le monde, et de montrer que toutes les études allaient dans le même sens. CES ETUDES ONT ETE REJETEES PAR LES COMITES DE PROTECTION DES PERSONNES, dont l’une (la plus étonnante) où il n’y avait aucun universitaire.

Le comité a jugé que le professeur Brouqui et le professeur Million n’avaient pas suffisamment d’expérience de la recherche clinique pour mener ce type de travaux. Il est facile de regarder les épreuves de titre, sur PubMed, de Matthieu Million et de Philippe Brouqui pour comprendre jusqu’à quel point le délire a pu aller dans ce domaine.

(Ch. 5, L’AGENCE NATIONALE DE SECURITE DU MEDICAMENT (ANSM) ET LES COMITES DE PROTECTION DES PERSONNES. Des jugements à l’emporte-pièce, p. 97-98)
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Nous avons demandé à l’ANSM, après avoir publié 3 000 cas de traitement du COVID par l’hydroxychloroquine, d’avoir une AUTORISATION TEMPORAIRE DE TRAITEMENT, usage qui nous a été REFUSE.
La même autorisation a été ATTRIBUEE au Remdesivir de Gilead, en dépit du fait qu’AUCUNE ETUDE N’AVAIT MONTRE SON EFFICACITE, et qu’il ne se prescrivait que par perfusion pendant dix jours (ce qui est accompagné dans toute la littérature d’au moins 5 % de complications sévères), et qu’il était ASSOCIE AUSSI A DES INSUFFISANCES RENALES.

(Ch. 5, L’AGENCE NATIONALE DE SECURITE DU MEDICAMENT (ANSM) ET LES COMITES DE PROTECTION DES PERSONNES. Des jugements à l’emporte-pièce, p. 94-95)
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