AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782703311430
176 pages
Editions Dangles (26/02/2016)
3/5   1 notes
Résumé :
La communication n'a pas pour seule fonction la transmission d'informations. Elle sert avant tout à nous relier les uns aux autres. Communiquer, c'est mettre en commun, mais c'est aussi et surtout être ensemble... La première partie de cet ouvrage précisera tout d'abord les différentes formes de relations : l'influence, la manipulation et la domination. Qu'est-ce que la communication et comment intervient-elle dans la création, l'évolution ou le maintien des relatio... >Voir plus
Acheter ce livre sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten
Que lire après Mieux communiquer grâce à la morphopsychologieVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique

Encore un de ces livres qui à la fois sont insupportables et à la fois sont de petites bases pas inintéressantes pour réfléchir voire être le début d'une passion pour un sujet. Je ne pense pas que ce deuxième cas de figure (c'est bien le cas) me concerne. Je pense et je rigole déjà - puisque actuellement en Belgique nous sommes en plein dans des débats et du législatif - aux problèmes du charlatanisme, de l'aspect peu scientifique, au possible manque de rigueur, à l'utilisation scandaleuse de cet outil... Il est clair pour l'auteur que son livre ne fera pas de ses lecteurs des morphpsychologues, il met d'ailleurs en avant tous les prérequis, les principes qu'on attend d'un psychologue, et tout le monde ne l'est pas (même si beaucoup se pensent l'être) et tout le monde ne pourra pas non plus être morphopsychologue.
Bien que l'auteur explique que cette artisanat (il tient à ce mot) et cette méthode thérapeutique et de compréhension de l'humain est la plus ancienne, elle est inhérente à la naissance en fait. L'enfant observe le visage des autres personnes, pour y déceler danger ou soutien. C'est naturel. Plus que ne peuvent l'être les autres formes : graphologie, généalogie, que sais-je encore.

Sur la forme le livre est facile à lire, assez clair. Quelques petits exemples et exercices pour assimiler un peu la théorie. Pas mal fait. Il n'est pas trop long non plus donc accessible à beaucoup. Et c'est l'objectif, donc c'est réussi sur ce point.
Néanmoins le fait de réduire, de résumer entraîne une foule de clichés assez pénibles voire ridicules et insupportables. (Cf. les quelques citations que j'ai faites et qui parfois m'ont laissé sur le c..)

Pour moi les idées tiennent la route, les principes. Il est évident que les émotions, ce qui nous fait, ce qui fait qui on est agit sur le corps et le modèle, le sculpte, et un accord, une cohérence peut s'en dégager et l'un permet de comprendre l'autre. Et donc la personne. Je ne suis donc pas du tout en désaccord avec la morphopsy. Par contre une fois encore on réduit tout à des clichés, certes il faut bien passer par là pour être pédagogique, mais bon, faire attention un peu quand même, quoi.

Des explications générales sur la communication, un vrai cours en fait, sur les besoins, les fonctions, les modèles communicationnels etc etc. Mais très basiques.
Pour ensuite replacer dans ce contexte le champ qui nous importe ici. OK.

Puis on passe à la théorie plus précise et mêlée à - comme je le disais exemples et quelques exercices pratiques. Je ne vais pas détailler et déflorer la théorie, qui est déjà assez résumée dans ce livre.

On dit que la première impression est la plus importante, en tout cas on le répète dans le livre, et bien ce livre m'a donné une impression mitigée, pas exceptionnelle, parfois à m'arracher les cheveux face aux clichés, parfois à me dire que oui bon ok pas con.

Faites-vous votre avis, et ensuite je lirai sur votre visage si ma critique vous semblait [choisissez le mot adéquat] Et puis je finis par un smiley, le bon gros sourire pur (de toutes interprétations équivoques). :-)

Commenter  J’apprécie          10

Citations et extraits (58) Voir plus Ajouter une citation
L'intuition est souvent la première impression, du moins elle se manifeste presque toujours dans les tout premiers instants. Mais l'intuition est-elle toujours juste ? La première impression est-elle toujours la bonne ? Pas si sûr ! Tout le monde n'a pas d'intuition, ou du moins ne la développe pas et ne l'utilise pas, mais tout le monde a une première impression. Et cette première impression détermine toutes les autres. C'est pourquoi tous les professionnels de la communication – acteurs, chanteurs, présentateurs, politiciens, commerciaux – soignent leurs apparitions : ils savent qu'ils n'auront jamais deux fois l'occasion de faire une première bonne impression. Le look, les premiers gestes, les premiers mots, les premiers regards déterminent cette impression.
Commenter  J’apprécie          40
… une des raisons pour laquelle le vocabulaire de la morphopsychologie est spécifique, car les mots du vocabulaire courant qui permettent de décrire le corps ou le visage sont bien trop connotés. Comment décrire le corps d’une femme occidentale dilatée (« ronde ») aujourd’hui sans craindre de la blesser ? C’est mission impossible ! Comment le sujet interprète-t-il le portait morphopsychologique ? Comment s’arrange-t-il avec son image et son ego ? Tel est le mystère et la limite absolue du portrait morphopsychologique.
 
 
Commenter  J’apprécie          40
Aujourd’hui, on connait bien le mécanisme du jugement : c’est la toute première impression qui détermine toutes les autres. C’est pourquoi, d’après une enquête faite parmi les recruteurs, on saut qu’ils jugent les candidats en… dix-sept secondes en moyenne.
 
 
Commenter  J’apprécie          40
La barbe est [...] une forme de rétraction naturelle chez les hommes, au niveau de l'étage instinctif [...]. Il s'agit donc d'un frein de la partie animale (sexualité, agressivité et territorialité), mais aussi de l'action concrète. Ce frein a pour conséquence de faire monter l'énergie vers le haut du visage (étages relationnel et surtout cérébral). Il est facile de constater que les professions à barbes valorisent l'intellect (professeurs, chercheurs, etc.) ou la spiritualité (moines, prêtres, etc.). A contrario, les soldats sont presque tous rasés... Et les « barbus » utilisent la barbe pour indiquer leur appartenance religieuse (musulmane).
Commenter  J’apprécie          11
Commençons par relativiser : il est impossible de tout percevoir et de décrire toute la personnalité de quelqu'un, car c'est un ensemble d'une complexité sans fin. Il faut donc être humble et avoir un objectif limité à votre interlocuteur […].
Commenter  J’apprécie          40

Video de Patrice Ras (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Patrice Ras
La Morphopsychologie -- Patrice Ras
autres livres classés : developpement personnelVoir plus
Les plus populaires : Non-fiction Voir plus
Acheter ce livre sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten


Lecteurs (1) Voir plus



Quiz Voir plus

Ecrivain et malade

Marcel Proust écrivit les derniers volumes de La Recherche dans une chambre obscurcie, tapissée de liège, au milieu des fumigations. Il souffrait

d'agoraphobie
de calculs dans le cosinus
d'asthme
de rhumatismes

10 questions
282 lecteurs ont répondu
Thèmes : maladie , écriture , santéCréer un quiz sur ce livre

{* *}