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EAN : 9782376220411
480 pages
Tohu-Bohu (06/04/2018)
2.67/5   21 notes
Résumé :
Le chef gendarme y va de son laïus. Ils ont toutes les raisons de penser qu’il est arrivé quelque chose au fils de la femme ici présente et il précise qu’il serait dans l’intérêt de tous de collaborer. Aucune réponse. Silence de mort. Le jour se lève. Les yeux de la femme s’agrandissent d’horreur, ceux de Serge et de Marie-Hélène de stupeur. Dans le jardin, flottant sur des lambeaux de brouillard, scène d’épouvante, un homme est crucifié. On voit qu’il est encore vi... >Voir plus
Que lire après Sekt : L'origine du veninVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (18) Voir plus Ajouter une critique
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« « Un cauchemar. Oui, la vie sur Terre est peut-être un cauchemar. » le mauvais rêve d'un être qui n'est plus. L'origine du Venin. C'est ça le problème. le poison est en chacun de nous. Mais à dose différente. »

Crucifixions, sacrifices humains, envoutements, sectes chrétiennes, cérémonies néo-sataniques, séances inspirées du chamanisme, gourous, tatoueurs, messes rouges, magie noire, sur fond d'attentats islamistes en plein Paris, toutes les dérives religieuses d'une humanité en perdition sont passées en revue dans ce roman un peu touffu mais plein d'humour de Vincent Ravalec.

Un début d'enquête pour un nouveau département au sein de la Justice, sous la responsabilité du premier ministre, la MIOLDS, Mission Interministérielle d'Observation et de Lutte contre les Dérives Sectaires est confié à Marie-Hèlène, ancienne juge d'instruction mise au placard et Serge, flic déchu, un peu facho. Tous deux ont failli et doivent faire leurs preuves, supporter des vies personnelles plutôt ternes, voire carrément calamiteuses, source supplémentaire de frustration. L'une obsédée par le sexe, élève seule sa fille ado. L'autre doit accueillir une belle-mère qui sème la zizanie dans une famille déjà bien remontée contre lui. Sous la direction d'un certain Tirson, homme politique prêt à tout pour sa carrière…

Et nous voilà entrainés dans une sarabande satanique, mêlant des pratiques d'un autre âge à l'usage des dernières technologies post-modernes sur les traces de l'homme du XXIème siècle et les tentations d'un pouvoir absolu. Quel est le nouveau visage de Satan, de ce maître du monde qui prétend tirer les ficelles pour prendre le pouvoir ? Quel est ce mystérieux programme dans lequel sont intégrés nos héros à mi-chemin entre la potion magique et le transhumain ?

Dans ce roman qui mélange les genres, policier, politique, science-fiction, études de moeurs, Ravalec explore pas mal de zones sombres de notre société, de l'antre d'un tatoueur diabolique à la piaule dévastée d'un toxico en passant par les coulisses de la politique, les misères des beaux quartiers, les tentations des gosses de riche, les néo ruraux amateurs de plantes hallucinogènes, l'irrationnel besoin de se raccrocher à des charlatans de toute espèce…Et même si on s'y perd un peu, il nous tient en haleine, curieux de découvrir la suite…
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Voilà un livre qui divise quelque peu… En effet, il s'avère difficile d'intégrer l'équipe du MIOLDS… La plume de l'auteur a ceci de particulier, qu'il faut du temps, peut-être un peu trop, pour que le lecteur arrive enfin à rentrer dans l'intrigue.

Cette difficulté, aurait pu être un réel obstacle, mais l'auteur a réussi à m'entrainer avec ses personnages, dans cette intrigue particulière, au bout de 160 pages, j'avoue que je commençais à désespérer…

Je suis contente de m'être accrochée, soit je me suis habituée à la plume particulière de l'auteur, soit l'histoire a éveillé ma curiosité… Certainement un peu des deux…

C'est une plume singulière que l'on découvre, qui va osciller entre le floue et un style parfois pompeux… Comme si l'auteur se perdait dans sa construction, pour autant, une fois qu'on s'approprie la plume, on arrive à visualiser la trame, mais cela reste quelque peu en façade. En même temps, la plume cadre bien avec cette sensation de floue diffus, puisque l'auteur nous entraine à la limite du réel et de l'irréel… Ou du fantasmé… du coup, on se demande justement, si cette opacité, n'est pas voulue, pour que le lecteur soit perdu…

N'oublions pas que nous sommes dans les bases d'une première enquête du MIOLDS, qui vient de se constituer, pour lutter contre les dérives sectaires et que parfois notre quotidien peut se révéler parsemé de détails incompréhensibles… Cette incompréhension ne voulant pas dire que la chose n'existe pas…

Les deux personnages principaux, même s'ils sont parfois caricaturés, sont assez crédibles dans leurs interrogations, leurs sentiments… Serge, le flic se retrouve largué au MIOLDS après avoir perdu du galon… Marie-Hélène, a perdu la reconnaissance de ses pairs lorsqu'elle a fait libérer un tueur. Une possibilité pour eux de garder un pied dans leur boulot, mais surtout une possibilité de se racheter. le MIOLDS, avant d'être une mission ministérielle est la possibilité de consécration pour un gars qui a les dents longues et qui ne veut qu'une chose, faire sa place en politique…

Même si au départ, l'enquête démarre de manière classique, les différents croisements, vont les mener que les traces d'une organisation bien particulière, qui va mettre en exergue, certaines pratiques occultes, qu'elles soient démoniques ou simplement liées à une élite qui souhaite atteindre les plus hautes sphères…

Le lecteur se projette dans cette enquête où des forces mystérieuses semblent décider à influencer le cours des choses et à décider du sort du monde…

L'intrigue est très intéressante, sensible et actuelle, puisque l'on se demande souvent, si certaines actions ne sont pas faites au détriment de l'intérêt général… Chacun tire la couverture à soi… Mais surtout les ficelles qui lui seront le plus profitable…

J'ai beaucoup aimé, les révélations qui renvoient à notre quotidien, à la politique, tout en finesse et cela sous couvert d'une enquête qui frôle le fantastique, mais qui ne relève, pour moi, que de la suggestion, permettant au lecteur de s'interroger.

Je ne dirais pas que c'est un page-turner, car la plume reste difficile à appréhender, avec une certaine lenteur. Pour autant, j'ai terminé ma lecture il y a plusieurs semaines et je dois dire que je ne pouvais dégager mon ressenti, alors que aujourd'hui, j'ai réussi à prendre du recul et surtout à voir où l'auteur voulait m'emmener… J'ai digéré les informations, je me suis appropriée le livre et l'intrigue a fait son chemin dans mon cerveau torturé…

C'est un livre qui se digère, dont l'intrigue doit se reposer pour prendre son sens.
Lien : https://julitlesmots.wordpre..
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La quatrième de couverture était prometteuse le début également il y a tous les éléments pour que j'aime ma lecture l'ésotérisme, le côté policier, le côté mystique mais la mayonnaise n'a pas pris.

Et pourtant qu'es ce que j'ai aimé lé début cette homme qui est retrouvé sur une croix crucifié par une bande d'allumés au milieu des bois.

Je crois en premier lieux que je n'ai pas du tout adhérer aux personnages chargés de mener l'enquête tous deux têtes à claque Serge le flic muté dans ce service après avoir tué un homme (mais à aucune moment du récit il ne regrette son geste même au contraire) et Marie-Hélène très coincée qui dans le récit devient plus chaude que la braise....


Le côté fantastique m'a laissé pantoise et certains faits m'ont parus plus qu'énormes du coup ma lecture a stagné, sans compter le côté très cru et vulgaire de Marie-Thérèse.

J'ai eu beaucoup de mal à terminer ma lecture ce qui est dommage car j'en attendais beaucoup.

Un roman qui plaira sans doute aux personnes appréciant les thrillers ésotériques fantastique.
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J'étais assez enthousiasmée à l'idée de découvrir ce roman dont la couverture, sanglante à souhait, me semblait vraiment prometteuse ! Ainsi, lorsque j'ai eu le plaisir de voir ma demande acceptée par l'éditeur TohuBohu (que je remercie chaleureusement !) via la plateforme NetGalley, j'ai rapidement décidé de plonger la tête la première dans ce qui s'annonçait comme un thriller ésotérique…

Je vais préciser que mon expérience dans ce domaine est quasi nulle ! Donc, je partais sans a priori, mais aussi sans avis quant au respect des codes du genre !

L'histoire démarre sur les chapeaux de roues ! On fait la connaissance de deux personnages anciennement acteurs, lui en tant que flic et elle en tant que juge, du maintien de l'ordre à Paris. Mais, l'un et l'autre, ils ont été responsables d'un drame qui a précipité leur chute. Engagés par un nouveau département nommé MIOLDS (pour « Mission Interministérielle d'Observation et de Lutte contre les Dérives Sectaire »), ils voient là, si pas une voie de garage, au moins une chance de se racheter une conduite et, surtout, une réputation. Si, au départ, ce nouvel organisme sorti de terre plus par dessein politique que par vocation, la MIOLDS n'était vouée qu'à lever de petits lièvres (extorsion de fonds, manipulation mentale, …), Serge et Marie-Hélène, nos deux protagonistes déchus, se retrouvent rapidement au coeur d'une histoire aussi sordide que sensationnelle, laquelle démarre donc, pour en revenir à ce départ « à fond les ballons », sur la découverte d'un crucifié !

Yes, c'est parti, j'adore : on a du sang, de l'horreur, de l'action ! Mais pas de chance, le tout est, pour moi, j'insiste sur ce point, très vite retombé comme un soufflé ! D'abord, parce que le crucifié n'est pas mort et parce qu'en plus, il s'est crucifié volontairement (pas de spoil, on le sait dans les toutes premières pages !). Mais pour la MIOLDS, la découverte de cette secte d'allumés à laquelle appartient le crucifié ouvre la porte vers la traque d'une secte sataniste adepte du sacrifice de jeunes vierges.

Si vous aimez le genre, foncez, bien sûr… Moi, mon enthousiasme a fait un virage à 180 degré avec une rapidité déconcertante… Point numéro un : On crache à n'en plus finir sur mes sacro-saints Rockers… Je déteste, mais alors je DE-TES-TE !! que l'on réduise les rockers aux images démoniaques qu'ils collent sur leurs couvertures d'albums ou leurs T-Shirts ! Merde, je ne crois pas qu'Axl Rose, tout défoncé qu'il soit, s'amuse à kidnapper des jeunes vierges après chaque concert histoire de les sacrifier sur l'ampli de Slash en récitant des incantations démoniaques… (Et puis d'abord, le sang, ça tâche, et les amplis Marschall, ça coûte cher !) Et moi, personnellement, je suis une respectable dirigeante d'entreprise, mère de famille, mais qui troque volontiers le tailleur pour le pull à capuche couvert de tête de mort alors que je prépare gentiment le dîner pour ma smala dans le fond de ma cuisine où vous ne trouverez ni coeur de biche, ni viscères de pucelles ! Bon, voilà pour le coup de gueule numéro un, où il faut vraiment comprendre la différence entre image, folklore et actions… Non mais sérieusement… Bref. Coup de gueule numéro deux : Trop de sexe tue le sexe ! Si je ne suis pas tombée dans la liesse populaire pour les cinquante nuances de conneries de Gray, c'est parce que ce n'est vraiment pas le genre de truc qui m'intéresse en littérature (c'est l'effet Mc Cain, ça… c'est ceux qui en parlent le plus… #vantarde) Bref, dans le cas présent, satanisme et sexe honteux sont indissociables, transformant notre pauvre ex-juge tout simplement célibataire depuis de longues années en succube assoiffée… Donc, si ce sont les codes du genre et que c'est l'usage, je m'incline, préférant admettre que, voilà, je n'aime pas ça et l'auteur n'y peut strictement rien si je suis une vieille psychorigide, hippie de surcroît ! Ça n'a pas fait mouche pour moi…

Cependant, je me dois de souligner les points positifs : beaucoup d'actions, des scènes à mi-chemin entre la science-fiction et l'épouvante rondement menées, des personnages qui évoluent et dont on suit avec attention l'acharnement malgré la descente aux enfers dans laquelle leur enquête les entraîne ! Gageons que les personnages ont effectivement un bel avenir dans les tomes suivants qui sont attendus puisqu'il s'agirait d'une trilogie… Mais la suite de leurs aventures, ce sera sans moi…
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Vincent Ravalec, j'ai toujours bien aimé. Déjà avec son Cantique de la racaille, Un pur moment de rock'n'roll, et ses nouvelles, Vol de sucettes, recel de bâtons. Son style décalé, bien ancré dans son époque, du réalisme dans un monde onirique, voire, horrorifique.
Là, avec Sekt, c'est un nouveau style, un style un peu journalistique, pour conter une histoire digne d'un block buster américain : une secte sataniste a pour projet de se servir d'une entité malveillante vieille comme le monde afin de potentialiser les effets du transhumanisme… Oué, dis comme ça, c'est pas très probant. Mais la sauce prend. Enfin, pas complètement en ce qui me concerne.
L'histoire folle, alambiquée, mêlant sciences nouvelles et ésotérisme, est bien pensée, mais là où ça pêche, c'est dans le style, ce fameux style journalistique, qui met trop de distance entre le lecteur et les protagonistes. Ça manque de… de proximité, de vécu, de vie en fait.
A trop vouloir prendre de distance avec son sujet, parce que je crois que sinon Ravalec aurait eu peur de sombrer dans le grand Guignol, de tomber dans le cliché à la Dan Brown, il perd de la puissance dans son propos. On n'arrive pas à s'identifier, ou à entrer dans la tête ou la vie des personnages, on les observe simplement, de loin, se dépatouiller avec cette énorme affaire. C'est un peu dommage.
Mais j'ai passé un bon moment, le suspens est là, un certaine fluidité, une histoire bien étrange, avec une pointe d'anticipation sur les éventuelles dérives du transhumanisme, l'humain augmenté +++ en connexion avec les forces telluriques et magnétiques de possibles entités venues de l'espace… C'est vrai qu'il aurait été compliqué, et long, très long, de traiter un tel sujet avec plus de détails, plus d'implications dans les charactères.
J'espère que Ravalec va retrouver un style plus personnel pour ses prochains bouquins, car il a toujours du jus, il y a toujours de la matière bien noire à exploiter chez le bougre…
Je remercie chaleureusement Babelio et les éditions Tohubohu pour l'envoi de ce livre dans le cadre du dernier Masse critique romans.
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Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
De nouveau on en revenait à la même explication. Des cinglés qui pensaient qu'ils allaient réécrire l'histoire en zigouillant des pauvresses. Serge ne s'en offusque pas. Il a intégré le paramètre. Cela ne le choque plus. Il est dépucelé. Marie-Hélène aussi. Certaines personnes vivaient en bordure du monde. Sur des concepts, des façons de voir, qui étaient de la pure folie. Un monde invisible, de la sorcellerie, des lignes de code et des meurtres. Des gens dont certains pensaient pouvoir devenir Empereur d'Occident. Qui poursuivaient une guerre démente entamée il y a des siècles (et peut-être sur d'autres planètes, dans d'autres galaxies). A vrai dire, il s'en fiche. Cela n'a pas vraiment d'importance. Tout ce qu'il voit, c'est que ce n'est pas bien. Aussi simple que ça. Et tout Serge qu'il est, avec ses défauts, son racisme primaire, sa psychologie de chien de chasse, cela finissait par forcer son respect. Le Diable était devant eux - pas un délinquant lambda, un petit trafiquant, non Satan lui-même - et Serge sortait son insigne et lui disait : "Eh, gros, je crois que ça ne va pas être possible. " Finalement, c'était précieux.
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« Mais c’est pas vrai, putain ! Ils ont crucifié quelqu’un ! C’est quoi l’idée, plus c’est des ordures, plus on leur fait des bisous ! »
Comme il lui était difficile de répondre, aussi bien parce qu’il n’y avait pas grand-chose à dire, que parce que son propre cas s’inscrivait de façon si précise dans ce reproche que la moindre parole eut été malheureuse, elle se contenta de hocher la tête, dans une cadence qui venait épouser les circonvolutions de la route, en pensant à cette croix que les humains portaient, et qui, même lorsqu’ elle semblait s’alléger, se rappelait à eux sans espoir jamais de rédemption.
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"Nous sommes des aveugles et des sourds, à qui une partie seulement de cet océan infini qui nous entoure est accessible. Le sens commun n'est rien d'autre qu'une barrière qui nous empêche de saisir l'immensité du Mal."
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«Le chef gendarme y va de son laïus. Ils ont toutes les raisons de penser qu’il est arrivé quelque chose au fils de la femme ici présente et il précise qu’il serait dans l’intérêt de tous de collaborer. Aucune réponse. Silence de mort. Le jour se lève. Les yeux de la femme s’agrandissent d’horreur, ceux de Serge et de Marie-Hélène de stupeur.

Dans le jardin, flottant sur des lambeaux de brouillard, scène d’épouvante, un homme est crucifié. On voit qu’il est encore vivant.»
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Comme il lui était difficile de répondre, aussi bien parce qu'il n'y avait pas grand chose à dire, que parce que son propre cas s'inscrivait de façon si précise dans ce reproche que la moindre parole eut été malheureuse, elle se contenta de hocher la tête, dans une cadence qui venait épouser les circonvolutions de la route, en pensant à cette croix que les humains portaient, et qui, même lorsqu'elle semblait s'alléger, se rappelait à eux sans espoir jamais de rédemption.
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Videos de Vincent Ravalec (19) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Vincent Ravalec
https://www.laprocure.com/product/1412535/petitfils-jean-christian-jesus
Jésus Jean-Christian Petitfils, Vincent Ravalec (illustrateur) Éditions Fayard
« J'en ai profité pour actualiser le livre [Jésus, 2011] avec les derniers travaux, notamment dans tout ce qui a été fait à Nazareth par l'archéologue Ken Dark – on a retrouvé, on en est à peu près certains, la maison de Marie et Joseph, là où Jésus a vécu, donc à Nazareth – et puis, donc, de l'ouvrir à un public différent, peut-être plus vaste, par ces illustrations. Alors ces illustrations, en effet, elles sont nombreuses. Elles accompagnent le texte et elles ont pour but d'immerger le lecteur dans le texte, et ça a été conçu de cette façon-là par Vincent Ravalec [Illustrateur] et son équipe, qui travaille avec une équipe et qui a utilisé les mécanismes de l'intelligence artificielle. Mais je dirais que c'est une intelligence artificielle contrôlée, très contrôlée… »
©Jean-Christian Petitfils, pour la librairie La Procure Animation, Guillaume Vanier, libraire à La Procure
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