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3,88

sur 464 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Malpertuis, manoir hanté dans lequel le diabolique Cassave en fin de vie a réuni ses héritiers, cousines cupides, oncle taxidermiste et autres parents à demi fous ainsi que le couple de domestiques et le neveux narrateur pour que soit lu son testament: une incroyable fortune sera léguée à celui ou au couple qui restera dernier en vie. Ne pourront en bénéficier que ceux qui s'installent à demeure au manoir. (Sacré confinement! ;-)

S'imbrique une autre histoire, l'origine du trésor, naufrage à proximité d'une île mystérieuse dans les Cyclades un soir de tempête...

L'ambiance est bien rendue mais la lecture (l'écoute) m'a parue un peu ardue et compliquée.
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Jean Ray ou le "père" de la littérature fantastique belge francophone. Malpertuis ou l'Histoire d'une maison fantastique parait en Belgique en 1943. C'est l'occupation allemande et les frontières fermées à la littérature française vont permettre enfin à Jean Ray de rencontrer le public belge.
Malpertuis ou l'Histoire d'une maison fantastique, avec un titre pareil comment de ne pas s'attendre à des évènements surprenants!. Comment et pourquoi l'oncle Cassave décide t' il de ne léguer sa fortune aux membres de sa famille à la condition qu' ils acceptent de rester vivre à Malpertuis tous ensemble. le dernier survivant touchera le pactole! L'appât du gain,les difficultés économiques , toutes ces raisons vont les convaincre de signer ....
Commence alors pour eux une vie alternant périodes de calme relatif et périodes où surviennent des phénomènes de plus en plus bizarres , des lumières qui s'éteignent toutes seules, des bruits de pas, des sensations de froid , de terreur qui vous assaillent... Nous sommes de plain pied dans Malpertuis avec Jean Jacques Grandsire ,le neveu de Cassave, dont le récit constitue le noyau principal de ce roman mais il n'est pas le seul narrateur ,ils sont en fait quatre.Quatre narrateurs, quatre regards différents, quatre récits qui s'emboitent les uns dans les autres, quatre je devrais dire cinq si l'on ajoute celui qui a "récupéré" les manuscrits et décidé de les mettre en pages avant leur publication...
Après un début de lecture un peu "poussif", je me suis retrouvée piégée !! Lecture fantastique certes mais quel contenu! Mêlant tour à tour mythologie, lycanthropie, les Roses-Croix, Jean Ray ne se transforme t' il pas en grand manitou de ce monde de lumières et de ténèbres ? Comme beaucoup l'on écrit avant moi, l'univers de Jean Ray ne peut pas s'appréhender en une seule lecture ... affaire à suivre ....

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La collection Marabout recèle bien des merveilles Fantastiques. Depuis que j'ai fait la connaissance de la mélodieuse plume de Jean Ray, je n'ai plus qu'une envie c'est de m'en abreuver. L'édition que je possède date de 1962 et sa superbe illustration – dont l'illustrateur m'y est inconnu – donne le ton.
Nous voici propulsés dans une vieille demeure au doux nom de Malpertuis. Si elle provoque la terreur chez Jean Ray, chez moi elle me donne l'envie d'en savoir davantage.

Tout commence avec un homme mourant. Sur son lit de mort, à la veille de son agonie, il souhaite dans un ultime soupir que sa maison reste intacte. Quiconque souhaiterait sa fortune devra rester vivre à Malpertuis. C'est bien connu, l'argent attire.

Le livre est découpé en trois parties :
→ « Inventaire en guise de préface et d'explication ». Ces deux ou trois pages démontrent toute la qualité onirique de Jean Ray. Il suffit de lire ces quelques lignes pour être embarqué par la plume extraordinaire de l'auteur. Il a l'art d'utiliser et d'associer les mots pour donner une musicalité douce et agréable.
→ « Alecta ». Voici par où l'histoire commence, en ce nom terrifiant d'Alecta. C'est la partie que j'ai le plus appréciée par son ambiance sombre, gothique et glauque. Fini les belles proses de la préface, ici c'est l'univers d'une étrange bâtisse qui prend le pas. J'ai beaucoup aimé cette atmosphère et ces étranges événements – mention “félicitation du jury“ au passage du grenier avec les rongeurs.
Je me surprends à prendre plaisir à lire ce livre, mais encore plus quand il faut que je le lâche pour des raisons personnelles. L'envie de poursuivre est parfois plus fort sur le reste.
→ « Euryale ». Si je me suis abreuvé des deux premières parties, cette troisième trame m'a laissé un goût âpre. Tout d'abord, le narrateur laisse la place à un autre et j'ai eu beaucoup, beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire. Malgré un sursaut d'intérêt le reste n'a été que difficulté dans la compréhension du récit tant l'auteur semble avoir mélangé les narrateurs et surtout l'apport de mythologie à son histoire. J'en suis même venu à me lasser de Malpertuis. J'ai ressenti l'envie d'en finir au plus tôt. J'ai eu beaucoup de mal à lire les dernières pages.

En guise de bonus, les Étions Marabout donne un épilogue “très bizarre“ à la rencontre de l'auteur, mais aussi une explication – comme ce fut le cas de « La guerre des mouches » de Jacques Spitz. Je regrette cette troisième partie qui alourdit le récit. Malpertuis n'est pas mauvais en soi, il lui manque plus de clartés dans sa conclusion, mais aussi plus d'action pour être un véritable chez-d'oeuvre de la littérature Fantastique. À noter que Malpertuis fut écrit durant la Seconde Guerre mondiale en 1943.
Sept ans après la disparition de Jean Ray, (1971), Harry Kümel a adapté ce roman au grand écran sous le même nom. Ce film a par ailleurs été nominé au festival de Cannes l'année suivante.
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Cassave est sur le point de mourir, et dévoile à sa famille son testament : ils héritent de son importante fortune à condition de vivre pour toujours à Malpertuis. Au vu de la somme, personne n'hésite, bien que l'entente ne règne pas : un empailleur un peu fou, un ami de la famille qui court rallumer les lampes qu'une mystérieuse créature prend plaisir à éteindre, … chaque personne semble avoir de lourds secrets à cacher.

L'ambiance de ce roman est une vraie réussite : une vieille maison maléfique, des personnages hauts en couleur qui cachent tous leur part de mystère, des événements étranges et terrifiants qui surgissent sans crier gare, … Difficile d'y trouver à redire !

J'ai eu un peu plus de mal avec le mélange des genres cependant : à côté de passages très fantasy, on retrouve du fantastique plus classique, avec exorcisme ou loups-garous. J'ai parfois eu l'impression de lire une série de nouvelles rassemblées un peu par hasard.

Si ce roman me laisse un petit goût de déception, je n'hésiterai pas à relire cet auteur qui semble avoir un univers très riche à partager.
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Cassave est à l'article de la mort, en même temps qu'à la tête d'une immense fortune à léguer. Il convoque la famille et leur propose un marché : tout sera à eux à sa mort, à la condition qu'il viennent vivre dans sa chère et vieille maison.
Qui se doute alors que cette vieille maison n'est autre qu'un sas ouvrant sur…sur je ne sais quoi, en fait…
On verra surgir des monstres des greniers, des meubles…des murs, même… Et que viennent bien foutre ici les Dieux de l'Olympe, comme ressuscités…

Horreur, malheur… Décidément, j'ai bien du mal avec ce type de littérature… Mais il faut bien essayer pour le savoir…
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Admirateur inconditionnel de Louis-Ferdinand Céline - et d'ailleurs auteur d'une plaquette sur Céline - et de Robert Brasillach (Jean Ray était un membre éminent de l'Association des Amis de Robert Brasillach), l'auteur de Malpertuis a écrit un roman ésotérique qui pourra difficilement plaire à un lectorat standard, mais séduira sans aucun doute les néo-païens par ses présupposés idéologiques, son atmosphère envoûtante, et une écriture d'une morbidité capiteuse. On ne se laisse pourtant pas captiver entièrement par le délire obsidional des personnages. L'ensemble est trop déstructuré: le "pli dans l'espace" devait ouvrir un diptyque dans le livre, une réflexion en miroir. Mais comme Jacques van Herp nous l'apprend - expliquant par là l'illisibilité de l'ensemble et son caractère péniblement décousu - il s'agit d'une oeuvre qui a été mutilée et amputée par l'éditeur, qui a trahi l'original et l'a rendu méconnaissable. Dommage. On s'amuse en tout cas à lire que certains ont "compris le livre", alors que selon Ray lui-même, amputé de la sorte, "on n'y comprenait plus rien"...
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Comment parler de ce livre sans révéler tout ou partie de la fin ? Car c'est bien dans la fin que réside toutes les clés de cette histoire… Après s'être perdu dans les méandres de l'histoire, après s'être demandé où l'auteur veut l'emmener, le lecteur finit en effet, à la fin, par rassembler les fils de l'histoire, et par rester un peu ébahi. « Comment me suis-je retrouvé là ? », voilà la question qui lui vient à l'esprit au moment de refermer ce livre…

Pourtant, en chemin, on peut douter. La construction de l'histoire est, comme le domaine de Malpertuis, labyrinthique. On s'y perd, on s'y égare, la même porte ne donne jamais accès à la même pièce. On hésite, on s'égare, on tremble de ce que l'on pourrait découvrir au bout de tel ou tel passage que l'on a pourtant emprunté cent fois sans surprise.

Chaque personnage semble tour à tour bizarre, curieux, étrange, menaçant, protecteur, brutal. Aucun point fixe auquel se raccrocher ne nous est proposé, accentuant encore la double sensation, d'étrangeté et de malaise.

Rajoutez à cela un texte érudit, non seulement dans ses sources – Jean Ray, visiblement, connait bien la mythologie, les religions, les mythes -, mais aussi dans son vocabulaire. Cryptogames, spagyrie, rudéral… il ne m'arrive pas si souvent que cela de devoir consulter un dictionnaire pour comprendre ce que je lis, mais voici quelques exemples pour lesquels il m'a fallu sacrifier à l'exercice.

On se sent comme une souris, ou un lapin, entre les griffes d'un félin, comme un humain pris dans les complots des dieux. La seule chose évidente, c'est que l'on ne parvient pas à percevoir la situation d'ensemble, que nous sommes chahutés par les vents sur une surface dont nous ne pouvons qu'essayer de deviner les contours. Tout tangue, tout est mouvant. le seul élément probable, c'est l'inévitable aboutissement. le destin ?

Est-ce que j'ai aimé ? Pas complètement. Mais, ce qui est certain, c'est que j'ai été emporté dans cette bourrasque, baladé comme un fétu de paille. Quel art de la construction, quel sens de l'articulation : on croirait un horloger organisant le mouvement de précision d'une montre, pour que chaque détail tombe précisément au bon endroit au bon moment. Il faut cependant être prêt à se laisser promener, ce n'est donc pas le livre que je choisirai pour faire découvrir le fantastique à un esprit cartésien… j'aurais trop peur de provoquer l'effet inverse de celui attendu…
Lien : https://ogrimoire.com/2020/1..
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Un livre sympa mais qui m'a été mal vendu…

J'avoue que j'étais très curieuse de découvrir cet auteur dont j'entendais beaucoup parler. Il faut dire que son oeuvre fantastique est en cours de réédition.

J'ai beaucoup aimé ce récit fantastique, avec ces personnages malsains enfermés, « séquestrés » par un oncle bizarre dans une maison afin de toucher un héritage faramineux. Très vite, j'ai eu des doutes sur certains d'entre eux, mais les bords restent souvent flous.
L'ambiance dans la maison est terrible. Mon Dieu ! Entre ça et ses habitants, n'importe qui se croirait dans un asile ! C'est superbe !

La construction du livre est particulière. En effet, ce sont des récits qui se complètent les uns les autres, qui dévoilent des pans d'histoire jusqu'à ce que la vérité nous soit révélée. Cela ajoute à l'atmosphère malsaine qui émane du récit.

Une petite déception cependant. En effet, on me l'avait vendue comme un archétype de la maison hantée. Or, et bien que la maison ait un rôle important, elle n'est pas hantée (genre avec une entité qui veut du mal à ses habitants).
Mais bon, c'est très relatif.

J'avoue ne pas trop quoi savoir dire de plus sur ce grand classique. J'ai apprécié et j'aimerai bien découvrir les autres textes (des nouvelles ; Malpertuis est le seul roman) de cet auteur.
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On trouve dans ce roman paru en 1943 plusieurs ingrédients des classiques de l'horreur et du fantastique : une maison hantée et ses fantômes ; une entame à la fois mystérieuse et destinée à donner au récit qui va suivre une caution de réalité, puisqu'il serait la transcription de manuscrits trouvés par un premier narrateur, dont l'enchâssement confère au texte une dimension labyrinthique.
Cela débute avec l'agonie de l'abject "oncle Cassave", dont le testament perpétue post mortem l'expression de son autorité malveillante. Sont présents à sa lecture les trois soeurs Cormelon, portant les voiles d'un sempiternel deuil ; le cousin Philarète, toqué de taxidermie ; le couple Dideloo et leur fille Euryale, dont la rousse et condescendante beauté obsède le deuxième narrateur, le jeune Jean-Jacques Grandsire. La soeur de ce dernier -la fière et rebelle Nancy- ainsi que Mathias, le commis avec lequel elle tient le magasin de couleurs accolé à la maison, complètent l'assemblée, que consterne la lecture des dernières volontés du défunt. Il y impose à l'ensemble de ses héritiers d'habiter Malpertuis, où, en plus du gite, le couvert leur sera assuré. Aucun changement ne pourra être apporté à la maison. L'intégralité de la colossale fortune du vieux Cassave reviendra au dernier vivant, ou aux derniers survivants s'il s'agit d'un homme et d'une femme, qui devront alors se marier.

Malpertuis est une demeure sinistre et glaciale, dont la seule évocation, avec le recul, provoque la terreur du narrateur. Il la dépeint comme le "point final de destinées humaines", comme une entité vivante suscitant cauchemars nocturnes et imposant, le jour, la cohabitation avec "d'atroces ombres de suppliciés".

L'horreur s'installe et se concrétise, sous la forme de créatures minuscules et horribles séjournant dans le grenier, d'une chose indéfinissable soufflant systématiquement les lampes que l'étrange et repoussant Lampernisse, ancien gérant du magasin de couleurs occupant les angles morts de Malepertuis, s'obstine à rallumer. Un premier mort est bientôt retrouvé pendu, inaugurant une série macabre.

J'étais très impatiente de découvrir ce titre, défini comme un classique méconnu de la littérature fantastique, et à propos duquel le Bouquineur a écrit beaucoup de bien.

Et j'ai vraiment apprécié le début de ma lecture, l'écriture à la fois précise et éloquente de Jean Ray, l'atmosphère étrange et angoissante qui pèse sur le récit, et même cette construction enchevêtrée qui peut perdre le lecteur. Ce qui m'a perdue moi, ne réside ni dans la forme, ni dans une problématique liée à la compréhension de l'ensemble : c'est le sens final donné à l'histoire, qui verse dans une sorte d'ésotérisme délirant empruntant à la mythologie, et qui selon moi fait perdre toute crédibilité au texte. Non pas que je croyais aux manifestations surnaturelles précédemment décrites, mais il me semble que de garder le mystère quant à leur origine aurait permis de me maintenir dans ce vague état d'angoisse que la résolution dudit mystère, grossière, a fait s'évaporer.
Lien : https://bookin-ingannmic.blo..
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Raymond Jean Marie de Kremer (1887-1964) est un écrivain belge. Il écrit en français principalement sous le pseudonyme Jean Ray et en néerlandais souvent sous le pseudonyme John Flanders mais a utilisé plusieurs dizaines d'autres pseudonymes et a, selon les éditions et rééditions, utilisé indifféremment l'un ou l'autre pseudo. Il est connu en français pour s'être largement consacré à la littérature fantastique, dont il est un des maîtres mais il a aussi beaucoup écrit pour la jeunesse.
Malpertuis, roman devenu un classique de la littérature fantastique, date de 1943. Il a fait l'objet d'une adaptation au cinéma par Harry Kümel en 1971 avec Orson Wells et Michel Bouquet.
Fin du XIXème siècle, l'oncle Quentin Moretus Cassave est mourant, neveux et nièces à son chevet prennent connaissance de ses dernières autant qu'étranges volontés : pour toucher l'énorme héritage qu'il va laisser, ils doivent tous dès à présent habiter sa grande et sombre demeure – Malpertuis - et le dernier survivant raflera la mise.
Jean-Jacques Grandsire, vingt ans, est le héros et principal narrateur de cette effrayante histoire dont je ne vais que survoler les rebondissements, tant ils sont mystérieux et, pour reprendre une réflexion de l'un de ceux qui l'ont vécue, « Je n'ai pas toujours compris, hélas… ! Mais qui pourrait m'en vouloir ? » Car effectivement, le lecteur est entrainé dans une angoissante série d'évènements : morts, bougies qui s'éteignent sans cesse et sans raison, dangers mal identifiés (« L'ombre se rapprochait de moi, en tapinois, déjà les hauteurs de la cage d'escalier étaient d'encre et de poix »), j'en passe et des meilleures…
Notre J.J. ne peut guère compter non plus sur les bizarres autres membres de la famille, le cousin Philarète taxidermiste toujours à la recherche d'une nouvelle proie, Lampernisse qui geint en permanence quand les lumières s'éteignent et y voit une main diabolique derrière ce mystère, etc.
Le lecteur donc, n'y comprend rien mais se laisse porter par le mystère ambiant et la très belle écriture de Jean Ray au vocabulaire somptueux pas avare de mots peu connus (médianoche, spagyrie…). Heureusement, dans une seconde partie du roman constituant un long épilogue, tout va s'éclaircir et les explications nous être fournies. Je peux vous les donner, elles ne gâcheront pas votre lecture, au contraire mieux que les lignes précédentes, elles vous donneront peut-être envie de lire ce bouquin : l'oncle Cassave avait en fait réuni sous son toit prisonniers, les dieux de l'Olympe lessivés et au bout du rouleau et qu'à la base de ce drame mystérieux, une Euménide et une Gorgone se disputaient le coeur d'un pauvre garçon de vingt ans qui, sans doute ne se savait pas fils de dieux.
Avec cette clé de lecture, le roman prend tout son sens, les locataires de la demeure, ce qui leur arrive, tout s'insère dans la logique de la mythologie grecque, Jean Ray la bousculant néanmoins et la confrontant au croyances chrétiennes.

Pas mal du tout !
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