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Critique de saigneurdeguerre
Une BD ? Non ! Plutôt un « comic strip ». Autrefois, présents dans quasi tous les journaux, les comics strips se composaient généralement d'une bande de trois dessins assurant un gag. (Wikipédia : « Ce nom provient de la juxtaposition des termes anglais « comic » (comique, amusant, drôle) et « strip » (bande, bandeau).)
Vous y retrouverez le boeuf à salopette rouge comme personnage principal… Et il faut bien le reconnaître, l'humour de ces bandelettes est plutôt vache.
J'ai longtemps hésité avant d'acheter cette BD puisque ce n'est pas une bande dessinée à proprement parler… J'ai eu tort ! Je me suis bien détendu les zygomatiques en savourant chacun de ces gags, pas toujours compréhensibles au premier abord car les auteurs, Thijs Wilms, le scénariste, et Wil Raymakers, le dessinateur, font travailler nos méninges (ou ce qu'il nous en reste, je parle pour moi) avant d'enfin assimiler les gags. Il n'est pas impossible qu'après une première lecture, vous n'ayez pas compris certains gags. Laissez passer quelques jours, reprenez le livre et sans doute découvrirez-vous ce qui vous avait échappé lors de votre premier «visionnage».
Si vous avez des amis ne comprenant pas le français, Japonais ou Ouzbeks, ou s'ils viennent de Llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch, village de l'île d'Anglesey au pays de Galles (Royaume-Uni) n'hésitez pas à leur proposer la « lecture » de Môeuh!... Tout se comprend par le seul dessin et l'on a donc ici une « BD » universelle susceptible de réduire au chômage bien des traducteurs.
J'en « lirai » d'autres, c'est certain !
Vous y retrouverez le boeuf à salopette rouge comme personnage principal… Et il faut bien le reconnaître, l'humour de ces bandelettes est plutôt vache.
J'ai longtemps hésité avant d'acheter cette BD puisque ce n'est pas une bande dessinée à proprement parler… J'ai eu tort ! Je me suis bien détendu les zygomatiques en savourant chacun de ces gags, pas toujours compréhensibles au premier abord car les auteurs, Thijs Wilms, le scénariste, et Wil Raymakers, le dessinateur, font travailler nos méninges (ou ce qu'il nous en reste, je parle pour moi) avant d'enfin assimiler les gags. Il n'est pas impossible qu'après une première lecture, vous n'ayez pas compris certains gags. Laissez passer quelques jours, reprenez le livre et sans doute découvrirez-vous ce qui vous avait échappé lors de votre premier «visionnage».
Si vous avez des amis ne comprenant pas le français, Japonais ou Ouzbeks, ou s'ils viennent de Llanfairpwllgwyngyllgogerychwyrndrobwllllantysiliogogogoch, village de l'île d'Anglesey au pays de Galles (Royaume-Uni) n'hésitez pas à leur proposer la « lecture » de Môeuh!... Tout se comprend par le seul dessin et l'on a donc ici une « BD » universelle susceptible de réduire au chômage bien des traducteurs.
J'en « lirai » d'autres, c'est certain !
