Reader's Digest
Sélection du Reader's Digest
(01/01/1900)
/5
7 notes
Résumé :
Des milliers d'hommes et de femmes se sont battus, tant dans les services secrets officiels que dans les organismes clandestins nés de la guerre. Comme sur les champs de bataille, les risques étaient énormes et le courage en proportion. Ce livre, à travers les épisodes les plus caractéristiques de cette forme de guerre, raconte l'histoire de ce qu'ils ont fait, du jour où Hitler donna à la Wehrmacht l'ordre d'envahir la Pologne, entraînant ainsi le monde dans le plu... >Voir plus
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Que lire après Dans les coulisses de la guerre secrète : 1939-1945Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (2)
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Plus de quinze ans que ce livre, don de mon grand-père, attendait, patiemment, que je me décide à le lire.
Dans ce condensé du Reader's Digest, le lecteur découvre pleins d'articles et de témoignages sur la Seconde Guerre Mondiale. Ça va des petits engagements individuels aux missions ultra secrètes. Il y a également ce que l'on pourrait nommer "les dessous de l'histoire", des révélations sur une bataille, une mission, les relations entre alliés ou ennemis.
Grâce à mes différentes lectures, j'étais déjà au fait de pas mal d'événements relatés. de plus, publié en 1966, j'imagine que certains sujets ont été enrichis de nouvelles données, ou au contraire, subis des controverses.
Dans tous les cas, c'est toujours intéressant, du moins pour moi, de lire sur cette terrible guerre.
Un bon moment de lecture, donc. A partager. A garder sous le coude, pourquoi pas. Histoire de garder en mémoire l'efficacité dont l'être humain sait faire preuve pour s'entretuer et trouver des techniques pour y parvenir.
Dans ce condensé du Reader's Digest, le lecteur découvre pleins d'articles et de témoignages sur la Seconde Guerre Mondiale. Ça va des petits engagements individuels aux missions ultra secrètes. Il y a également ce que l'on pourrait nommer "les dessous de l'histoire", des révélations sur une bataille, une mission, les relations entre alliés ou ennemis.
Grâce à mes différentes lectures, j'étais déjà au fait de pas mal d'événements relatés. de plus, publié en 1966, j'imagine que certains sujets ont été enrichis de nouvelles données, ou au contraire, subis des controverses.
Dans tous les cas, c'est toujours intéressant, du moins pour moi, de lire sur cette terrible guerre.
Un bon moment de lecture, donc. A partager. A garder sous le coude, pourquoi pas. Histoire de garder en mémoire l'efficacité dont l'être humain sait faire preuve pour s'entretuer et trouver des techniques pour y parvenir.
J'avais d'abord emprunté ce livre pour mon petit ami mais par manque de temps il n'a pas pu le lire du coup je m'en suis chargé. Une très belle découverte littéraire. Les personnes qui l'ont écrit nous confie des moments inconnus qui se sont passés pendant la guerre 39-45. Je peux notamment cité la contribution du patron du FBI de l'époque Hoover. Une personne que j'aimerais connaître un peu plus. J'ai vu sa biographie à la bibliothèque municipale
Citations et extraits (12)
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Pendant le raid allié, les nazis virent bien que quelque chose n'allait pas, et, aux postes d'écoute de la R.A.F., on put entendre l'officier de contrôle allemand dire à ses chasseurs de "se méfier d'une autre voix" et leur recommander de "ne pas se laisser égarer par l'ennemi". Après une explosion de paroles particulièrement violentes de la part de l'officier allemand, le "fantôme" dit tranquillement :
- Voilà que l'Anglais jure maintenant.
Ce à quoi l'Allemand répondit en hurlant :
- Ce n'est pas l'Anglais qui jure, c'est moi !
- Voilà que l'Anglais jure maintenant.
Ce à quoi l'Allemand répondit en hurlant :
- Ce n'est pas l'Anglais qui jure, c'est moi !
Pourtant, la guerre navale que le commandant Rogge poursuivit en solitaire fut, en fin de compte, aussi "civilisée" qu'il est possible à une guerre de l'être. À bord de l'Atlantis, il disposait d'assez de place pour recueillir ses prisonniers et il ne manqua jamais d'embarquer tous les naufragés qu'il pouvait sauver. En vingt mois de croisière, il abrita plus de 1 000 prisonniers des deux sexes, de tous âges et de 20 nationalités différentes. Il leur donnait les mêmes rations qu'à son équipage, les laissait monter sur le pont pendant la journée, sauf lorsque les marins de l'Atlantis étaient aux postes de combat, et les autorisait à se servir de la piscine aménagée dans une bâche.
- 2700, hein ? On croirait que c'est fait exprès. Ni trop ni trop peu. Juste de quoi satisfaire une des lubies de ce bon docteur.
On peut imaginer l'effet de cette "lubie" sur les 2700 hommes, femmes, enfants, 2700 squelettes en guenilles, quand, parvenus à destination, ils débarquent en trébuchant de leurs wagons à bestiaux. Les S.S. sont là, mais pourquoi, au lieu de les chasser à coups de crosse vers les chambres à gaz, pourquoi les saluent-ils, pourquoi présentent-ils les armes ? Et voilà 2700 juifs qui traversent la frontière, entrent en Suisse, où des infirmières de la Croix-Rouge les accueillent avec des sourires et des larmes.
On peut imaginer l'effet de cette "lubie" sur les 2700 hommes, femmes, enfants, 2700 squelettes en guenilles, quand, parvenus à destination, ils débarquent en trébuchant de leurs wagons à bestiaux. Les S.S. sont là, mais pourquoi, au lieu de les chasser à coups de crosse vers les chambres à gaz, pourquoi les saluent-ils, pourquoi présentent-ils les armes ? Et voilà 2700 juifs qui traversent la frontière, entrent en Suisse, où des infirmières de la Croix-Rouge les accueillent avec des sourires et des larmes.
L'attaque japonaise sur Pearl Harbor suivit, comme l'on sait, un plan savamment conçu jusque dans ses moindres détails. Ce que la plupart des gens ignorent, en dehors des milieux de la Marine américaine, c'est que ce plan ne fut pas préparé à Tokyo, mais à Washington et par le Bureau des opérations navales des États-Unis.
Déjà Kersten avait pu arracher une victime à Himmler, mais l'occasion avait été vraiment unique ; il avait, en fait, échangé le montant de ses honoraires contre la liberté d'un homme. Un homme qui n'était coupable que d'appartenir au Parti social-démocrate. Ici, quelle différence ! Bignell était accusé d'un crime de haute trahison, et par Rauter lui-même, le grand maître de la Gestapo de tous les Pays-Bas. Et il avait suffit à Kersten d'un mot pour le faire libérer.
Le médecin passa lentement une main sur son front. Il ressentait une sorte de vertige ; jusqu'où allait s'étendre ce pouvoir nouvellement découvert ?
Le médecin passa lentement une main sur son front. Il ressentait une sorte de vertige ; jusqu'où allait s'étendre ce pouvoir nouvellement découvert ?
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