« Pour parler des plantes avec une certaine intimité, je ne suis, je l’avoue, ni botaniste, ni jardinier. Mais de temps à autre, j’ai pu m’échapper loin de la grande ville, dans les prés, dans les sentiers perdus. Plus d’une fois, dans l’ombre de la forêt sacrée, j’ai reposé des yeux fatigués par l’étincelant et bigarré tohu bohu de la vie parisienne. Au sortir de la bruyante Babylone, l’oreille se délecte au clapotis du ruisseau murmurant, au doux bruisselis des fe...
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