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Critique de fnitter


On ne change pas une équipe qui gagne la monotonie.
Nous sommes en 1808, rien de spécial sur les eaux. L'action se passe au Portugal et en Espagne, et on n'ira pas.

Après la débâcle de Copenhague, Herrick doit passer en cours martiale. Après ce petit intermède sympathique nous voguerons sous de meilleurs cieux avec Bolitho et sa maîtresse, la délicieuse Catherine, direction le cap, et puis finalement non, les péripéties maritimes feront que nous irons aux Antilles.

Adam Bolitho, désormais Capitaine de Vaisseau confirmé prend quelques chapitres. L'auteur introduit doucement son nouvel héros, nous préparant à la disparition du désormais trop haut gradé Richard Bolitho pour qu'il lui arrive moult aventures palpitantes. (Mais encore quatre livres avant la délivrance).
Allez, je suis taquin. Ce nouvel opus est une douce berceuse maritime. le clapotis de l'eau nous emmène langoureusement pour un charmant petit voyage romantique à travers les océans à peine ponctué de quelques cadavres bien sanglants de marins découpés par des boulets assassins.

Instructif ? Non, épique ? Non. Éblouissant, saisissant ? Non. Oui, c'est monotone, mais finalement j'aime bien la monotonie, c'est reposant.
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