Trop long.
Je pense qu'à les lire tous les uns après les autres, je me suis lassée. Celui-là m'a paru vraiment très long, très très long, avec des rebondissements artificiels à n'en plus finir, et j'avoue que ça m'a gavée.
L'auteur a voulu "boucler la boucle", mais j'ai trouvé ça assez laborieux, pour le coup.
Les personnages se perdent et se retrouvent à grands coups de "hasards" qui sont trop nombreux pour être honnêtes, les "Deus ex machina" ne se comptent plus, j'en passe pour pas spoiler, et je finis la série plus agacée qu'autre chose. C'est pas parce que c'est du jeunesse qu'il faut abuser de la facilité, quand même, non mais sans blague...
J'aurais du m'arrêter au 3, c'était pas une bonne idée de vouloir la finir à tout prix, en fait, lol.
Après, c'est toujours plaisant à lire, et pas prise de tête.
Pour info, à propos du film : beaucoup trop édulcoré par rapport aux livres, ma fille l'a trouve nul. Le point le plus important, c'est que, dans les livres, Hester est réellement défigurée (il lui manque un bout de nez) et borgne. C'est pas pour rien qu'elle passe pour morte. Ce qui n'est pas le cas dans le film, et on voit mal comment on aurait pu la croire morte avec cette jolie cicatrice d'un coup qui, manifestement, n'a fait que lui entailler la joue et le menton, chacun sait que ce genre de blessure n'est pas mortel. ... Mdr. Par ailleurs, le méchant du film n'est pas le vrai méchant du livre. Ce qui est un choix bizarre de scénario...
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Très clairement le meilleur livre de la saga, ce dernier tome est imprévisible du début à la fin. Les rebondissement sont présents aussi souvent que l'action. Ce roman vous fera passer par l'angoisse, la peur, la tristesse et l'amusement au fil des pages. Si vous avez aimé les premiers tomes, [Je vous conseille de lire celui-ci]. Attention, si les livres précédents n'ont pas été lus, l'histoire pourrait ne pas être comprit.
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Toujours aussi facile à lire et beaucoup plus rythmé aussi. Les personnages se perdent, se retrouvent, se reperdent, et se retrouvent, un peu trop souvent mais ça ne dénature pas l'histoire en elle même. En fait le film, qui correspond au T1 de la série, est complètement à côté hors sujet. Il est trop lisse, trop manichéen, trop gentil. Les livres sont beaucoup plus sombres, l'univers, les personnages, la guerre, etc. Ce tome 4 est un peu long à se mettre en route, mais quand tout s'emballe, c'est génial à lire, avec une fin magnifique à lire.
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Déjà la fin du troisième tome me paraissait un peu bâclée, mais le quatrième tome entier m'a paru bâclé, il y avait tellement de rebondissements presque irréalistes et il étaient tellement nombreux que ils paraissaient encore plus irréalistes. Je regrette un peu de l'avoir lu, je l'ai lu surtout pour finir la série et je n'aime pas avoir un livre que je ne lirai jamais dans ma bibliothèque. Les personnages et leur évolution ne m'ont pas du tout plu. Cependant la saga ma tout de même plu, malgré une fin bâclée et déplaisante j'en garde un bon souvenir.
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p.597.
- Il faut voir cela à long terme, Tom, répondit-elle. Il n'y a pas que les locomopoles qui empoisonnent l'air et labourent la planète. Toutes les villes le font, mobiles ou statiques. Le problème, ce sont les êtres humains. Tout ce qu'ils entreprennent pollue et détruit. Les Assaillants Verts n'ont jamais voulu l'entendre. Voilà pourquoi je ne leur ai pas fait part de mes plans concernant Odin. Si nous voulons vraiment protéger le monde, nous devons avant tout le débarrasser de votre race.
Oh ! Qu’est-ce que c’est ? Au large du désert, là où les horizons mouvants semblent plus relever du domaine aqueux que terrestre, quelque chose de solide est apparu. Au début, rien qu’un point ; un triangle sombre qui chatoie au-dessus des mirages argentés flottant sur les dunes. Il est de plus en plus visible et acéré au fur et à mesure des minutes. Une étrave, un aileron de requin, une voile noire que gonfle le vent du désert. Écoutez ! Vous entendez le chant du sable sous des pneus qui roulent vite. Regardez ! Vous distinguez le reflet du soleil sur la ligne des hublots, pareils à des diamants.
p.307.
- Tout cela n'aura donc servi qu'à ça ? grommela-t-il. À ce que des types comme Adley Browne fasse du territoire des Assaillants Verts un énorme buffet à volonté ? Pourquoi ne pas les laisser vivre en paix ?
Eschenbach fronça les sourcils, dérouté par ces mots.
- Mais parce que ce sont des Moussus, monsieur.
- Pauvre Naga ! soupira son supérieur en repartant vers la mairie.
p.63-4.
Quant à l'amour... tout le monde a besoin d'aimer quelqu'un, et Fishcake n'avait que son Traqueur. Elle l'avait sauvé, dans le désert, en lui disant ce qu'il avait à faire, en lui expliquant comment la reconstruire. Elle était une compagne étrange, parfois effrayante, mais qui valait mieux que la solitude.
Mortal Engines (film 2018) - Bande Annonce