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Typhaine Ducellier (Traducteur)
EAN : 9782264076847
480 pages
10-18 (18/06/2020)
4.32/5   920 notes
Résumé :
Daisy Jones & The Six... Le groupe de rock le plus mythique de tous les temps. Leurs concerts remplissaient les stades aux quatre coins de la planète et ils ont enflammé les nuits de toute une génération. De leurs débuts dans les bars miteux d'un Sunset Strip écrasé de soleil californien à la gloire, leur histoire est celle d'une ascension fulgurante. De l'euphorie qui vient avec le succès, des excitants qu'on prend pour entretenir la magie et des calmants qu'on ava... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (210) Voir plus Ajouter une critique
4,32

sur 920 notes
Aimez-vous le rock ? Si oui j'ai une info, Daisy Jones & the six sont au sommet du billboard , raflé le Grammy Award avec le titre « Turn it off » mais rien n'est jamais simple avec le rock n roll, surtout avec Daisy et Billy Dunne. Bon tout ça vous le savez sûrement si vous lisez les fanzines du coin, si vous m'offrez une petite mousse je raconte ce que je sais sur le groupe, j'étais roadie sur leurs tournées , premier levé dernier couché. Merci pour la bière chef, donc les frères Dunne Billy l'aîné et Graham quitte la banlieue de Pittsburg avec une bande de potes direction la Californie, j'oubliais il y avait Camilla la copine à Billy une beauté qui nous faisait tourner la tête.Dans leurs combi qui avait connu des jours meilleurs direction Los Angeles avec des rêves pleins la tête, dit t'aurais pas une clope mec. J'en étais où ah oui la rencontre avec le groupe des frères Dunne c'était sur le strip, un bar miteux où ils jouaient tous les soirs,ça sentait la weed et la sueur, à l'époque il y en avait des dizaines et des dizaines de groupes qui jouaient dans les bars mais les six c'était autre chose, un autre niveau, ils leur fallaient un coup de pouce un producteur . Et puis v'la Daisy Jones une magnifique rousse avec son sourire de petite fille et une voix à faire fondre la banquise et puis ce qui devait arriver arriva.
La rencontre de Daisy et Billy c'est comme l'astéroïde et la fin des dinosaures si tu vois ce que je veux dire, l'explosion, Daisy était plutôt du genre « rentre dedans « elle n'avait pas froid aux yeux, faut dire que c'était pas évident d'être une femme dans ce milieu de requins. Si tu veux connaître la suite chef faudra revenir, j'ai du taffe qui m'attend je pars en tournée avec le grateful dead, et Jerry Garcia il aime pas trop les gens en retard …
Vous qui aimez la musique ce roman devrait vous plaire. Et cerise sur le gâteau on peut voir Daisy & the six sur une plateforme.

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♫ I love rock'n'roll ♫
Aussi , c'est tout naturellement , après avoir lu beaucoup de biographies de musiciens, que je me suis tournée vers cet étrange livre.
Etrange ? Oui, parce qu'il réussit à travers des interviews croisés à retracer l'essor et l'arrêt brutal en 1979 ( en pleine gloire ), du groupe de rock mythique Daisy Jones & The Six.
Et on y croit ... Oui, parce que le plus beau de l'histoire, c'est que ce groupe n'a jamais existé ! Et pourtant, après avoir lu le mot fin, j'ai entamé la lecture des paroles des chansons du groupe (dernières pages ) , et j'ai eu envie d'écouter leur musique , but, It's impossible...
De la jeunesse de Daisy Jones, qui fascine tout le monde par sa beauté, à ses addictions, en passant par sa créativité et son amour éperdu pour Billy , le chanteur de The Six , à qui des malins producteurs vont l'associer, vous saurez tout sur cette époque hallucinante qu'étaient les années 60/70.
Un duo explosif, charismatique, une lutte acharnée pour ne pas céder, un triangle amoureux .
[ " Quand tu penseras à moi/ J'espère que le rock'n'roll en mourra."]
La drogue/ L'alcool.
Les drogues...
Beaucoup...
Et puis l'arrêt brutal de ce groupe en pleine tournée mondiale, sans explication, jusqu'à ce que ...
Jusqu'à ce qu'un mystérieux intervieweur, des décennies plus tard, crée ce roman fascinant où les protagonistes racontent, (enfin) , leur vérité, sur ce qui s'est vraiment passé. Sur le début de la fin...
Car chaque fan avait son idée et chaque point de vue pouvait coller à sa vérité (imaginée)...
Une construction (sous forme de prises de parole qui alternent ) qui pourrait lasser ou être casse-gueule , mais qui fascine ; emportés par le suspens, nous suivons cette ascension jusqu'au crash . Crash qui ne met pas le point final, car les dernières lignes laissent penser que ...
Magnifique ode à la création : de l'élaboration des textes, aux doigts qui saignent à force de jouer de la guitare (Voir Autobiographie de Springsteen), à ce duo (qui m'a fait penser à un autre duo , celui de lady Gaga et Bradley Cooper à une émission de télévision pour A Star is born). Une perche que je me tend , afin de vous signaler une future adaptation audiovisuelle. Par qui, et avec qui ? Je ne sais pas, mais il va falloir du lourd car : " Elle attirait tous les regards. Si le reste du monde était en argent, Daisy était en or".
Alors si vous "lovez" le rock'n' roll, jetez vous sur ce roman car,♫ ex fan des sixties, où sont nos années folles?
Disparues toutes nos idoles...♫


La série Tv sort sur Amazon Prime, avec la petite fille du King dans le rôle de Daisy...Mars 2023.

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Quelle prouesse ! Quel roman étonnant !

Je viens de passer trois jours à écouter en boucle un groupe qui n'existe pas !

Taylor Jenkins Red, dans ce roman atypique, invente un roman biographique qui raconte la montée vers le succès de Daisy Jones and The Six, un groupe de rock dans les années 70 !

A travers les témoignages des différents membres du groupe, des personnes qui ont croisé leur route, on se retrouve au coeur de la légende de Daisy Jones ! Construit comme un documentaire où s'entrecroisent les extraits d'entretiens, véritable plongée dans l'univers de la musique des années 70.

Daisy Jones ne veut pas se contenter d'être une muse. Elle veut briller au firmament des artistes inoubliables !

On tourne à toute allure les pages de cette saga musicale, où tout est faux et où tout, pourtant, semble vrai.

On est clairement sur un roman sexe, drogue et rock'n roll passionnant ! Les états d'âme de chaque membre du groupe les rend terriblement humains, fragiles. Ah, ces artistes !

Taylor Jenkins Red invente un univers entier ! Tout est romancé et pourtant, tout semble avoir existé ! Elle pousse le souci du détail jusqu'à proposer en fin d'ouvrages les paroles des chansons du groupe. Pourtant, j'ai eu beau arpenter les rayons des disquaires de la capitale, j'ai dû arriver à la terrible conclusion que je ne pourrai pas écouter ces albums mythiques!

Au-delà du récit captivant d'une montée vers le firmament de la gloire, un portrait de femme dans le milieu musical de l'époque, sexiste et réaliste.

Une série télé est déjà annoncée et il me tarde de voir le résultat car la matière est bel et bien là pour que vous deveniez fan !

Lien : https://labibliothequedejuju..
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« Daisy Jones & the sex, drugs et rock'n roll»

Nous interviewons aujourd'hui Fabienne2909, babéliote inscrite sur le site depuis plus d'une décennie, afin qu'elle nous donne son avis sur le roman de Taylor Jenkins Reid, « Daisy Jones & The Six ». Morceaux choisis.

Interviewer : « Daisy Jones & The Six » est un roman qui traite du thème désormais légendaire « sex, drugs et rock'n roll ». Encore un énième roman cliché ?
Fabienne2909 : En effet, ce roman se concentre sur l'ascension et la foudroyante, bien que brève, carrière de Daisy Jones, une groupie devenue artiste, et du groupe « The Six », dans les années 1970. Son originalité provient de ce qu'il ne s'agit pas d'un roman rédigé linéairement, mais d'une longue interview croisée des différents membres du groupe The Six, de Daisy Jones, et de leurs proches qui les ont assistés pendant ces années. Ce procédé est assez inégal car il induit une certaine lenteur quand les témoins se concentrent sur les débuts du groupe (les cent premières pages m'ont paru vraiment très longues), avant que le roman ne prenne sa pleine ampleur, en même temps que survient la célébrité du groupe. Il devient alors un roman turbine, comme un shaker qui remue ses personnages, leurs personnalités et leurs émotions, les essorant presque. C'est un roman qui va à 100 à l'heure une fois qu'il a atteint sa pleine puissance !
D'autant plus que Taylor Jenkins Reid n'hésite pas à charger le groupe en alcool et en drogues, à une époque où leur létalité n'était pas encore vraiment reconnue. Daisy Jones les gobe ainsi comme des bonbons, quitte à se brûler les ailes… l'autrice la dépeignant comme une jeune femme solitaire, en carence affective due notamment à des parents qui ne se sont jamais occupés d'elle.
[ndlr : l'abus d'alcool, et plus généralement, de substances illicites, est dangereux pour la santé. A consommer avec modération – voire pas du tout.]
« Daisy Jones & The Six » constitue donc un vrai-faux documentaire plus vrai que nature sur un groupe, qui n'a jamais existé mais qui aurait pu, tant les détails sont soignés (l'autrice est allée jusqu'à rédiger les paroles des chansons citées dans le livre). Outre cette forme originale, la pertinence et l'intérêt du roman proviennent selon moi du fait qu'il se concentre non pas seulement sur le succès d'un groupe, mais surtout sur les affres de la création de chansons, la construction d'un album pour en faire un tout cohérent et signifiant, bref, sur la création artistique, ses difficultés et les étincelles qui se produisent quand des visions artistiques différentes entrent en collision. Car Daisy Jones, la chanteuse écorchée, et Billy Dunne, le leader charismatique des Six, ne sont jamais meilleurs que lorsqu'ils travaillent et chantent ensemble, mais leur antagonisme rend les choses difficiles… d'autant plus quand les sentiments viennent semer la zizanie, alors que Billy est marié à Camila, qui est plus qu'un amour de jeunesse, mais un vrai soutien au quotidien, Billy ayant vaincu ses addictions pour elle. Et que parfois, il est plus facile de détester quelqu'un que de l'aimer…

Interviewer : Mais alors, « Daisy Jones & The Six » porte-t-il plus sur l'amour que sur la musique ?
Fabienne : Non, sur les deux, assurément ! Mais il s'agit également d'un bel hommage à la création artistique et au rock'n roll ; aux dynamiques qui réunissent des personnes ou au contraire qui les séparent (la séparation de Daisy Jones & The Six, décidée sur un seul éclatement final, n'est pas seulement le fait de Daisy et Billy, mais aussi des mouvements internes au groupes, qu'on voyait largement venir) ; mais également à l'honneur et à la fidélité aux promesses que l'on se fait aussi bien à soi qu'aux autres.

Interviewer : Un dernier mot pour la fin ?
Fabienne2909 : Malgré un premier tiers poussif, ce qui m'a un peu inquiétée (j'avais tellement aimé « Les sept maris d'Evelyn Hugo » que mes attentes étaient peut-être un peu hautes), ce roman, une fois qu'on entre dedans, devient addictif, malgré les quelques clichés autour de la relation artiste/drogue. Pour les amateurs de rock'n roll (mais pas que) !
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On a beaucoup entendu parler de "Daisy Jones & The Six" ces dernières semaines -la série sortie sur Amazon n'y est sans doute pas pour rien- et j'ai fini par me laisser tenter. A vrai dire, je me méfie toujours un peu des engouements soudains, des livres encensés sur les réseaux sociaux parce que je m'y retrouve très rarement mais j'ai craqué pour celui-ci.
Son univers me tentait: les années soixante-dix, le milieu de la musique... Et cette musique là fait partie de celles avec lesquelles j'ai grandi. Tous jeunes, mes parents écoutaient Joan Baez, Janis Joplin, Bob Dylan, les Stones, Fleetwood Mak, The mamas and the papas, The Doors et j'ai adoré m'emparer de leurs trente-trois tours pour les écouter sur la vieille platine de la maison quand j'ai eu seize ans, un teeshirt Che Guevara, des foulards arc-en-ciel, des premières causes à défendre, le droit de faire brûler de l'encens dans ma chambre et des premières manifs à organiser... Clichés d'une adolescence française au temps de la Guerre en Irak et du CPE. Il n'empêche que cette musique là m'est restée (contrairement au teeshirt Che Guevara) et avec elle une forme de fascination pour la culture hippie (avec ses lumières mais ses ombres aussi!), le rock de ces années-là et cette atmosphère complètement libre, excessive, créative...
J'ai lu peu de roman sur tout ça étrangement, parce que j'en ai peu trouvé et je l'ai toujours un peu regretté. Aussi, j'ai pensé combler ce manque (tout à fait acceptable au demeurant) avec le roman "Daisy Jones & The Six" qui m'a d'autant plus attirée lorsque j'ai lu dans la presse qu'il s'inspirait librement de l'histoire, franchement torturée mais romanesque, du groupe Fleetwood Mac.

Le roman de Taylor Jenkins Reid, dont c'est ma première lecture, entreprend de faire le récit de l'histoire mythique, des débuts miteux à l'apothéose gigantesque, d'un des groupes les plus mythiques des années soixante-dix, les "Daisy Jones and The Six", d'autant plus mythique qu'après quelques années d'un succès monstre et fulgurant, le groupe s'est séparé sans que nul ne sache pourquoi.
Le narrateur, qui ne révélera son identité qu'à la toute fin du roman, annonce dès les premières pages que son projet étant de retracer le parcours du groupe, il a entrepris d'interviewer les différents protagonistes de l'époque (membres du groupe, entourage...) afin de remonter le fil de l'histoire. Il nous livre là, de manière brute, le contenu de ses interviews. Libre à nous lecteurs de démêler le vrai du faux, l'objectif du subjectif dans les différents témoignages qui forment un ambitieux et vaste patchwork dont les morceaux ainsi rassemblés racontent une seule et même histoire dans une multiplicité de points de vue.

Cette vraie fausse introduction étant posée, on peut alors se lancer dans le récit constitué de témoignages plus ou moins longs qui donnent au roman un aspect très documentaire. C'est assez réussi même si c'est au départ un peu déstabilisant et si je déplore un peu la facilité de ce style de narration qui semble un peu facile au moment d'aborder des sujets complexes... Ce que je veux dire par là, c'est cette sensation d'un manque de profondeur qui m'a accompagné tout au long de ma lecture, me faisant dire que Daisy, Billy, Graham, Karen et les autres auraient mérité plus de profondeur, bien plus.
Il n'empêche que le récit fonctionne, qu'il est très immersif et qu'il restitue avec sensibilité l'atmosphère ravageuse des années soixante-dix ainsi que ses excès.
Parce que oui "Daisy Jones & The Six", c'est "sex, drugs and rock'n roll", c'est glamour parfois mais c'est souvent glauque aussi. La drogue circule comme les touristes en juillet sur l'autoroute du soleil et l'alcool coule à flots, jetant les personnages dans un quotidien effréné, violent, coloré, jouant avec leurs nerfs et leurs vies, leurs relations et leur musique aussi. Parce que c'est bien de cela dont il est question: de la formation d'un groupe de rock à l'enregistrement de leur album, de leurs liens à leur tournée, de ce qui les unis et de ce qui les sépare, de leurs égos et de leurs coeur. En ça, le roman est une réussite, en ce qu'il dissèque le fonctionnement d'un groupe et la composition d'un album, en ce qu'il en ausculte les fondements, en ce qu'il ne dissimule pas que ce les paillettes et les applaudissements dissimulent. Pour ça, je l'ai adoré.
J'ai beaucoup aimé également la tension qui se met progressivement en place et qui monte tout au long du roman jusqu'à la révélation ultime, la raison de la séparation... qui m'a déçue. Toute cette tension, ce poids, cette oppression... pour si peu?
Dans la liste des "j'aime" aussi pêle-mêle: la présence des paroles des vraies fausses chansons d'"Aurora" à la fin de l'ouvrage tout comme celle de la play list de l'auteure que je valide complètement; le personnage de Karen et ses réflexions sur la place des femmes dans le milieu du rock; le discours sur l'amour que j'ai trouvé d'une beauté poignante...
Et ce truc qui me poigne à chaque fois, sans que je ne puisse vraiment l'expliquer, ce truc indéfinissable qui rend si bien le passage du temps et la nostalgie qui va avec, ses regards sur le passé qui ne reviendra jamais... ça, ça m'a touché plus que le reste.

Peut-être bien finalement que je vais me laisser tenter par la série...
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Citations et extraits (128) Voir plus Ajouter une citation
La passion, c'est... C'est un incendie. Et c'est très bien, les incendies. Mais on est surtout constitué d'eau. C'est l'eau qui nous maintient en vie. On a besoin d'eau pour survivre. Ma famille était mon eau. J'ai choisi l'eau. Je choisirai toujours l'eau. Et je voulais que Daisy trouve la sienne. Parce que je ne pouvais pas être son eau.
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A la première écoute, c'est un album qui permet de passer du bon temps. On peut le passer pendant une fête. On peut se défoncer dessus. On peut l'écouter en piquant une pointe de vitesse sur l'autoroute.
Mais après, en écoutant les paroles, on se rend compte que c'est aussi un album sur lequel on peut pleurer. Et également un album sur lequel on peut s'envoyer en l'air.
En 1978, Aurora pouvait être la bande originale de tous les moments de votre vie.
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Daisy : Les drogues ne te paraissent plus très sexy quand tu te réveilles tellement souvent avec du sang séché sous le nez, que le nettoyer fait partie de ta routine matinale au même titre que te brosser les dents. Ou quand tu as sans arrêts de nouveaux hématomes et que tu ne sais pas pourquoi. Ou quand tu as des noeuds dans les cheveux parce que ça fait des semaines que tu as oublié de les démêler.
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Quand un homme est en train de menacer une femme, ça m’étonnerait qu’il passe en revue toutes les mauvaises décisions qui ont fait de lui le connard qu’il est devenu. Il faudrait pourtant.
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Un tas d'adolescentes voulaient être comme moi à la fin des années 1970.J'en étais tout à fait consciente. Mais si les gens croyaient que j'avais tout, c'était uniquement parce que j'avais toutes les choses qu'on pouvait voir.
Pour le reste, je n'avais rien du tout.
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