AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782226027030
291 pages
Albin Michel (27/08/1986)
2.92/5   13 notes
Résumé :
Ce roman nous envoûte. Peu à peu il nous mène dans le labyrinthe le plus secret de cette ville imaginaire où va se perdre le narrateur qui y est consul de France.
Ville d'art, de palais, de musées, de jardins et de villas, de comtesses et de femmes du monde, de réceptions et de mondanités, où se commettent les crimes les plus atroces.
De mystère en mystère, le lecteur glisse doucement, tendrement même, dans un étrange inquiétant, jusqu'aux délices, jus... >Voir plus
Que lire après Une ville immortelleVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Je me souviens d'avoir lu ce livre à sa sortie. Souvenir d'un diplomate nommé consul de France dans une ville d'art qui semble bien être Florence même si ce n'est jamais clairement dit. Il y sera le témoin de multiples intrigues, digne de la Florence des Médicis. Je me souviens de descriptions très précises, d'une langue précieuse, en accord avec les intrigues. Dans mon souvenir, l'art et les complots sont omniprésents.
Peut-être à relire...
Commenter  J’apprécie          230
La quatrième de couverture est une plaisanterie. Ce livre serait, à en croire son éditeur, "troublant, profond". C'est en réalité un roman incroyablement ennuyeux, pour rester poli, et le fait que l'auteur soit académicien n'est sans doute pas étranger à la complaisance dont il a pu bénéficier. Ce roman a même reçu le "Grand prix du roman de l'académie française". On se pince.

Jugez donc : il faut 151 pages (sur 281) pour qu'un crime soit commis. de fait, tout le début du roman est assommant, à tel point que même le héros, un certain Julien Wiener qui vient d'être nommé consul dans une ville d'Italie, passe les premières dizaines de pages à somnoler et à s'ennuyer dans cette ville envahie par la neige et la glace.

Le roman aurait dû commencer au moment de l'entrée du nouveau consul dans l'aristocratie locale, qui ne survient qu'à la page 100. On se dit que le roman va enfin devenir autre chose qu'un étalage de la culture artistique de son auteur, mais patatras ! Il s'ensuit des réceptions entre gens de la haute société, pendant lesquelles le héros fait la rencontre de tellement de personnes qu'on passe d'un personnage solitaire à une bonne quinzaine, vingtaine peut-être, de noms et prénoms à apprendre, sans qu'on ne sache jamais qui est un personnage important ou totalement anecdotique pour la suite.

Il me reste cent pages à lire, mais je sais déjà que je ne recommande pas ce roman, très mal construit et même pas bien écrit. J'en retiens une chose : après ma lecture déçue du "Jeune homme vert" de Michel Déon, je me méfierai à l'avenir des romans écrits par des académiciens français.

Mise à jour : quelques heures plus tard, ayant terminé ce roman, je comprends enfin, juste à la fin, où voulait en venir l'auteur. Malheureusement, la lecture a été lente et pénible, et comme j'ai même failli abandonner, je maintiens ma note de 0,5 étoile.
Commenter  J’apprécie          22
INCOMPLET : le 1ère partie m'a ennuyée, manque de rythme, des phrases tarabiscotées ont gêné, l'intérêt est arrivé à la seconde partie, le récit et le fond se devine, mais la 3ème partie est décevante car l'auteur finalement n'explique rien sur le déroulement des crimes et les coupables ne sont finalement pas dévoilés, bref on ne comprend rien à la fin
Commenter  J’apprécie          21

Citations et extraits (2) Ajouter une citation
Elle lui fit ensuite visiter l'intérieur de l'ancien couvent. Il n'y avait que les tableaux anciens, des maîtres siennois ou florentins du XIIIème siècle, une Vierge enceinte de Taddeo Gaddi, des cassoni peints de motifs profanes, une noce, un tournoi. Au mur d'une pièce nue qui semblait n'être faite que pour l'accueillir, se trouvait une Annonciation anonyme. Les paroles qui s'échappaient en lettres d'or de la bouche de l'Ange étaient non pas des mots de paix, mais des mots de douleur, et la Vierge enfantine qui l'écoutait ramenait à demi son voile devant son visage en un geste de frayeur. Comme Lionella Schönberg, elle avait le regard très pâle, mais ses yeux étaient fendus à la manière des primitifs de Bologne.
Commenter  J’apprécie          01
Encore devait-il dîner le plus souvent en compagnie de Despins, dont il ne s'était pas encore rendu compte qu'il supportait de plus en plus mal l'arrogance froide et déterminée.
Commenter  J’apprécie          11

Video de Pierre-Jean Rémy (9) Voir plusAjouter une vidéo

Ah vous écrivez : émission du 27 août 1976
Au sommaire de ce magazine littéraire de Bernard PIVOT, trois écrivains:Pierre SCHOENDOERFFER pour "Le crabe-tambour"André STIL pour "Romansonge"Pierre Jean REMY pour "La figure dans la pierre".
autres livres classés : romanVoir plus
Les plus populaires : Littérature française Voir plus


Lecteurs (51) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (2 - littérature francophone )

Françoise Sagan : "Le miroir ***"

brisé
fendu
égaré
perdu

20 questions
3660 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , littérature française , littérature francophoneCréer un quiz sur ce livre

{* *}