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Critique de tchouk-tchouk-nougat
Paul Miller est un professeur d'astrophysique à la retraite. Dans sa maison au fond des bois, proche de Melvile, son univers ce compose des collines boisées, d'un couple de voisin et de Mia, à qui il donne des cours pendant que sa mère, Paz, travaille. Mais un jour deux chasseurs entrent sur sa propriété, sous-entendent des choses désagréable et c'est la spirale infernale qui commence.
Après, Melvile l'histoire de Samuel Beauclair, Romain Renard récidive donc avec ce nouveau roman graphique tout aussi beau. Cela se passe dans la même ville, à la même période, mais les histoires sont complétement distinctes et peuvent donc tout à fait se lire séparément.
On commence par ouvrir ce bel ouvrage de 206 pages par des pleines pages splendides. Faite pour être admiré, l'espace, les étoiles, puis la terre et ses forêts, ses arbres. 30 pages sans texte mais qui donnent le ton!
Et puis on rentre dans l'histoire de ce retraité. de prime abord il semble en paix, calme et heureux. Mais il suffit d'un événement anodin pour que cette belle façade se craquelle et que resurgisse les blessures du passé.
Le scénario a quelque chose d'angoissant, de tendu. On n'arrive jamais vraiment ce qui est vrai et ce qui est un délire d'ivrogne, vision onirique ou hallucination d'un solitaire. La tension ne fait que croitre, nous mettant parfois mal à l'aise.
Encore une fois un très beau roman graphique qui explore les fêlures de l'âme humaine. le tout avec des planches dans les tons sépias ou bleus pleines de poésie, de douceur ou d'angoisse pour certaines. La nature est magnifiquement retranscrite. Les étoiles aussi...
Après, Melvile l'histoire de Samuel Beauclair, Romain Renard récidive donc avec ce nouveau roman graphique tout aussi beau. Cela se passe dans la même ville, à la même période, mais les histoires sont complétement distinctes et peuvent donc tout à fait se lire séparément.
On commence par ouvrir ce bel ouvrage de 206 pages par des pleines pages splendides. Faite pour être admiré, l'espace, les étoiles, puis la terre et ses forêts, ses arbres. 30 pages sans texte mais qui donnent le ton!
Et puis on rentre dans l'histoire de ce retraité. de prime abord il semble en paix, calme et heureux. Mais il suffit d'un événement anodin pour que cette belle façade se craquelle et que resurgisse les blessures du passé.
Le scénario a quelque chose d'angoissant, de tendu. On n'arrive jamais vraiment ce qui est vrai et ce qui est un délire d'ivrogne, vision onirique ou hallucination d'un solitaire. La tension ne fait que croitre, nous mettant parfois mal à l'aise.
Encore une fois un très beau roman graphique qui explore les fêlures de l'âme humaine. le tout avec des planches dans les tons sépias ou bleus pleines de poésie, de douceur ou d'angoisse pour certaines. La nature est magnifiquement retranscrite. Les étoiles aussi...
