«
La vie ne danse qu'un instant » ne m'aura plu… qu'un instant. le temps de goûter à la puissante reconstitution des scènes de guerres, de violences, d'angoisse et d'urgence dans une Ethiopie en proie à l'Italie mussolinienne. le temps de découvrir cette journaliste, Alice Clifford, son métier si compliqué à l'orée de temps bien sombres.
Puis il y a eu l'histoire d'amour, les dialogues cinématographiques au milieu de décors splendidement reconstitués, les femmes toutes Garbo, les mecs tous Gable, soit plutôt hitlériens, soit plutôt beaux gosses. le cadre était parfait. le tableau malheureusement déjà vu. le roman de
Theresa Révay n'aura finalement été qu'un point dans l'océan de mes lectures ce mois-ci. J'ai un peu manqué de perspective.
Demeurent un souffle romanesque « à l'Américaine », un lyrisme hollywoodien qui transporte. Pas moi, c'est bien dommage.
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