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Critique de Crossroads
Tu aimes les grab ?
Tu es foufou du quad cork ?
Tu kiffes trop d'la boule le shifty ?
Oui ?
Alors piste (hou l'habile jeu de mot) devrait te parler.
Perso, c'est pas que j'aime pas, c'est plutôt que j'entravais que dalle.
Mais ça, c'était avant.
Avant de me lancer tout schuss, pleine balle, (environ 3,8 km/h, position aérodynamique de rigueur sur piste verte, en ce qui me concerne) dans ce thriller hivernal.
Je vais faire simple et court, j'ai pas aimé.
Lorsqu'au bout de 40 feuillets on commence à jeter un oeil impatient sur le nombre de pages restant, ça fleure pas vraiment le gros panard de lecture une fois la ligne d'arrivée franchie. Ligne d'arrivée d'autant plus difficile à situer en mode hors-piste, on va pas s'mentir.
Allie Reynolds devait toucher sa bille, enfin sa planche de snowboard, dans le domaine floconneux, rien à redire sur le côté technique de la chose.
Mais pourquoi s'évertuer, chapitres après chapitres, à remettre sur le tapis (de poudreuse) les sempiternels questionnements existentiels à base de Dale sortait-il avec Heather avant d'avoir des vues sur Saskia qui, elle-même, en pinçait grave pour Brent avant que ce dernier ne flashe à donf' sur Milla...et vice et versa.
Ajouter à cela une écriture vraiment pas enthousiasmante, la coupe glacée (tartiflette, croziflette, fondue savoyarde, saison hivernale oblige) est pleine.
Je lâche l'affaire sans regret, pas envie de faire mariner mon prof' de luge attitré.
Tu es foufou du quad cork ?
Tu kiffes trop d'la boule le shifty ?
Oui ?
Alors piste (hou l'habile jeu de mot) devrait te parler.
Perso, c'est pas que j'aime pas, c'est plutôt que j'entravais que dalle.
Mais ça, c'était avant.
Avant de me lancer tout schuss, pleine balle, (environ 3,8 km/h, position aérodynamique de rigueur sur piste verte, en ce qui me concerne) dans ce thriller hivernal.
Je vais faire simple et court, j'ai pas aimé.
Lorsqu'au bout de 40 feuillets on commence à jeter un oeil impatient sur le nombre de pages restant, ça fleure pas vraiment le gros panard de lecture une fois la ligne d'arrivée franchie. Ligne d'arrivée d'autant plus difficile à situer en mode hors-piste, on va pas s'mentir.
Allie Reynolds devait toucher sa bille, enfin sa planche de snowboard, dans le domaine floconneux, rien à redire sur le côté technique de la chose.
Mais pourquoi s'évertuer, chapitres après chapitres, à remettre sur le tapis (de poudreuse) les sempiternels questionnements existentiels à base de Dale sortait-il avec Heather avant d'avoir des vues sur Saskia qui, elle-même, en pinçait grave pour Brent avant que ce dernier ne flashe à donf' sur Milla...et vice et versa.
Ajouter à cela une écriture vraiment pas enthousiasmante, la coupe glacée (tartiflette, croziflette, fondue savoyarde, saison hivernale oblige) est pleine.
Je lâche l'affaire sans regret, pas envie de faire mariner mon prof' de luge attitré.
