Marie-Anne Adélaïde Le Normand mena une vie digne des plus grandes héroïnes de roman. Orpheline très jeune, elle fut placée au couvent des Bénédictines où elle eut ses premières visions.
Arrivée à Paris, elle découvrit l’étude des nombres de Pythagore, la Kabbale et les Tarots, mais surtout la nécromancie qui, toute sa vie, restera sa mancie préférée.
Installée à Londres, des émigrés français vinrent la consulter, ouvrant la voie à l’aristocratie londo... >Voir plus
Louis Stanislas Xavier comte de Provence n'avait rien d'une stature royale. Courtaud, obèse, son visage sanguin reflétait la bonne chère et les vins capiteux qu'il aimait tant. Seuls, deux yeux fureteurs et intelligents émergeaient des plis de graisse de son visage bouffi.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.