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3,19

sur 72 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Au final, quelle déception !
Tout y était pourtant, mais la sauce ne prend pas, on n'y croit pas.
Si la mythologie et les l'histoire des fondateur se tient, le moins réussi de l'histoire, ce sont encore les histoires d'amour du héros : une pitié !
Bref, vous l'aurez compris, je zapperai les volumes suivants, puisque j'ai cru comprendre que suite il y aurait ...
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Quelle déception que ce livre-là! Anne Rice nous a pourtant habitué à des merveilles en matière de personnages, de fantastique, d'univers. Ici, Reuben est à peine crédible dès le départ. Infidèle à sa fiancée sans que ça lui pose le moindre problème de conscience, il semble bien peu surpris des changements qui s'opèrent chez lui. Il les accepte, les constate, mais ne s'en étonne ni ne s'en effraie pas. Et comme ils sont loin de se produire de manière progressive, l'arrivée du loup-garou dans cette histoire est faite avec de gros sabots, de grosses ficelles, qui m'ont complètement empêchée d'y accrocher. Je n'ai donc pas du tout eu de l'empathie pour ce personnage, j'ai assisté à son histoire sans réellement y croire.
De plus, je dois avouer que le principe d'un loup-garou super-héros m'a profondément agacé. L'intérêt de ces créatures est justement de mélanger leur humanité et leur côté sanguinaire, et Reuben se pose en effet la question. Mais quoi qu'il arrive, il ne tue que des personnes qui le méritent, il n'entend appeler que des victimes qui ont besoin d'être libérées de leur bourreau. Bien pratique pour passer pour un héros, ce qu'il fait d'ailleurs vu les journaux et l'opinion publique qui l'encensent. Or, cette attitude ambiguë n'est pas du tout exploitée dans le livre: on se contente d'un Reuben qui vole au secours des gens, et tombe amoureux d'une femme qu'il n'a jamais vue. Il reste donc relativement creux et peu intéressant.
J'aurai aimé qu'il réagisse plus comme Stuart, le second loup-garou de l'histoire, plus virulent dans son inquiétude, ou comme Grace sa mère, qui se démène pour trouver des solutions et des explications. Mais non, il faudra apporter d'autres personnages, encore moins approfondis, pour faire avancer l'intrigue qui n'aura pas su exploiter ses pions de départ.
Lien : http://mabouquinerie.canalbl..
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Je n'avais jamais lu Anne Rice en anglais, mais je n'ai pas eu beaucoup de plaisir à lire celui-là. Elle a voulu renouveler sa palette avec des loups-garous. . Malheureusement 'The Wolf Gift" est bien indigeste. Son héros, Reuben, mordu par erreur par un loup-garou, le devient lui-même. Rice en fait une sorte de vengeur masqué, ce qui lui donne l'opportunité de dévorer à tout crins une belle brochette de pourris de toutes sortes, la meilleure part du roman. Il est rejoint dans le dernier tiers par un newbie et toute une bande d'anciens, forme une meute avec eux. Et l'auteur tombe alors dans son péché mignon : un interminable verbiage qui mêle les époques, Erik Satie, Teilhard de Chardin (?) afin de tenter de donner une épaisseur philosophique à la chose. Raté.
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J'ai trouver ce livre par hasard et je l'ai acheté car il y avait un loup dessus que j'adore.
J'ai bien aimé l'histoire mais ce que j'ai le moins apprécié c'est qu'il rencontre Marche et que de suite il couche ensemble sans se connaitre ni rien alors qu'il est en couple et que sa copine quand elle l'apprend elle le prend plutôt bien lol. L'histoire est lente au début il faut bien attendre quelques chapitres avant que ça bouge et d'être dans l'histoire.
Je ne regrette pas mon achat mais m'attendais à quelque chose de moins banal.
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J'ai été un peu déçue par ce livre qui finalement nous laisse dans le flou sur beaucoup de sujets.

Le début est intéressant avec la découverte des nouveaux pouvoirs et leurs conséquences, mais globalement, je trouve que les 450 premières pages font un peu creuse, on y apprend pas grand chose de plus, on suit juste le rythme de la vie du personnage et c'est un peu ennuyeux.

La dernière partie est bien plus intéressante parce qu'elle comporte son lot de révélations, mais là aussi déception, je reste sur ma faim. Il reste encore plein de questions en suspens qui ne sont pas abordées... (j'espère qu'on en découvre plus dans la suite)

Bref je ne trouve pas que ce soit le meilleur livre d'Anne Rice... Je développe pas plus mon avis, c'est à l'image du contenu de ce roman: un peu creux.
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Je ne sais pas bien pourquoi je suis allée au bout de la lecture du Don du loup. Sans doute parce que j'avais beaucoup aimé la Saga des sorcières et que les histoires fantastiques me plaisent en général (Twilight, Saratoga Woods, etc.). A part le brin d'érotisme (pas vraiment torride), je n'ai pas retrouvé la magie des livres précédents d'Anne Rice.
Reuben, jeune journaliste, visite une vaste propriété à vendre afin d'écrire un article sur ce lieu atypique. Il est rapidement séduit (envouté ?) par la maison qui semble recéler des trésors et des secrets, mais aussi par Marchent, la propriétaire de la maison. Après qu'ils soient devenus amants, ils sont agressés durant la nuit. Marchent succombe, les agresseurs sont à leur tour attaqués par un animal qui les tue sauvagement, mord Reuben mais lui laisse la vie sauve. A partir de là, rien que de très classique : malgré de graves blessures, le héros se remet rapidement, il fait une poussée de croissance puis commence à se transformer. L'originalité de l‘histoire, mais finalement peu exploitée, est que notre loup-garou entend les appels au secours de personnes maltraitées ou attaquées et « sent » la méchanceté des agresseurs et autres psychopathes. Il n'attaque donc que des humains malfaisants. le questionnement, en filigrane du livre, qui s'incarne dans le personnage de Jim, frère de Reuben et prêtre de son état, est intéressant : tuer des personnes qui font le mal, est-ce pêcher ou pas ? Se substituer à la justice et/ou empêcher l'autre de s'amender, est-ce compatible avec un idéal social ?
Le récit est plein de longueurs, même sa romance avec Laura qu'il rencontre dans la forêt sous son apparence de loup ( ?) ne m'a pas tenue en haleine. Je passe le final, censé nous apporter des réponses – qui est donc vraiment Félix Nideck, ancien propriétaire des lieux ?- qui mélange plusieurs mythes mais qui ne convainc guère.
De la déception donc.
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Ne vaut pas la chronique des vampires... ennuyeux.
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Grande fan du film : Entretien avec un vampire adapté de l'un des romans d'Anne Rice, j'avais envie depuis longtemps de découvrir cette auteure. Je remercie les éditions Michel Lafon et Camille pour ce partenariat. Malheureusement, je n'ai pas apprécié ce roman, l'histoire et les personnages n'ont pas su me convaincre...

Au début du livre, Reuben, le personnage principal visite une maison dans le but d'écrire un article. Anne Rice nous décrit parfaitement cette vieille bâtisse et on comprend pourquoi Reuben en tombe amoureux. Même si j'aime les descriptions afin de visualiser les scènes, j'ai trouvé qu'il y en avait beaucoup trop. Je me suis ennuyée une bonne partie de ma lecture car l'auteure a préféré s'attarder sur le décor et les émotions du personnage plutôt que sur l'action. Attention, je ne m'attendais pas à ce que ça bouge à chaque chapitre, cependant, je préfère quand il y a davantage de rythme... le don du loup comporte bien trop de longueurs à mon goût.

Le déroulement de l'histoire m'a semblé... facile. Reuben accepte bien trop rapidement sa condition de loup. de plus, il reste conscient à chaque transformation et devient une sorte de justicier. Il sort la nuit pour protéger les innocents et tuer leurs agresseurs. Je m'attendais à un combat plus virulent entre l'homme et la bête. J'ai été déçue car même si Reuben tue, il se domine. Malgré son apparence de bête, il reste "relativement" humain.
J'ai eu énormément de mal à m'attacher au héros. Dès le début, je l'ai trouvé inintéressant. Il est jeune mais sa façon de parler et de penser ne correspond pas à son âge. Il m'a semblé trop mature par moment, ce qui est paradoxal puisqu'il est traité comme un enfant par ses proches. Sa mère l'appelle en effet "bébé" et sa petite-amie (ex au bout d'un moment) : Rayon de soleil. A 23 ans... il y a de quoi se vexer! de plus, je pourrais le qualifier de "coureur de jupons" puisqu'il n'hésite pas à tromper sa copine Celeste sans une once de culpabilité. Celle-ci est encore plus détestable que lui, mais ce n'est pas une raison. Son histoire avec Laura qu'il rencontre un peu plus tard ne m'a pas fait rêver et manque de crédibilité. Leur rencontre (et ce qui suit) m'a fait lever les yeux au ciel tant elle est irréaliste.

Côté style, Anne Rice a une belle plume même si la description est trop présente par moment et alourdit le récit. de plus, les dialogues manquent de modernité et on se demande si Reuben ne vient pas d'une autre époque. L'intrigue du "Don du loup" ne m'a pas plu mais j'ai tout de même envie de découvrir ses précédentes oeuvres pour me faire un avis plus général, à commencer par ses célébrissimes Chroniques des Vampires.

En bref, le don du loup est une déception. Je me suis ennuyée et je n'ai ni apprécié le héros ni adhéré à l'univers. Je m'attendais à autre chose, j'aurais préféré que l'auteure sorte des sentiers battus. le don du loup n'a rien de bien original et n'apporte pas grand chose au genre. Dommage.

2/5

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[attention possibles spoilers !]
De Anne Rice, je n'ai lu que son célèbre Entretien avec un vampire. Férue de loups-garous, je me suis jetée sur The Wolf Gift (qui paraîtra bientôt en français sous le titre le Don du loup). Je me disais qu'après avoir révolutionné le genre vampirique, la dame ferait probablement de même avec les garous...
Effectivement, c'est parti très bien : une écriture riche, baroque, des indices quant aux possibles origines des loups-garous fort alléchants, un type idéal qui vire au loup agressif.. Bon, que le héros soit beau, riche, intelligent et tombe amoureux de chaque femme qu'il rencontre, passe encore. Que le loup-garou ne tue que des criminels parce que rendu fou par l'odeur du mal (?) qu'ils dégagent, là, je tique Si c'était pour nous rendre la bestiole plus sympathique, c'est raté, car trop gros, sans compter que cela véhicule une morale boiteuse, pour ne pas dire abjecte...
Passé le premier tiers, j'ai encore plus déchanté. Entre une romance dont le démarrage est tout sauf crédible (j'en cherche toujours la logique) et les réponses aux questions tant attendues qui n'ont au final rien du feu d'artifice qu'on attendait, j'ai été déçue.
D'autant plus déçue que tout n"est pas à jeter dans le roman. Il y a de très bonnes idées : l'érotisation de la métamorphose, la vie des garous dans le monde moderne et leur capacité à s'y fondre sans problème, les indices qui semblaient mener vers des pistes si intéressantes...
Dommage que l'auteur ait eu aussi de mauvaises idées, car il y avait pourtant matière à un excellent roman de loup-garou, ça se sent. Simplement, c'est comme si Anne Rice avait auto-saboté son potentiel chef d'oeuvre. Sans parler de cette idée de garous mangeurs de criminels - et qui n'en éprouvent que peu de remords, en plus, qui m'a laissé une désagréable impression de propagande pro-peine de mort en bouche, même si je pense que l'auteur n'y pensait pas du tout en écrivant son histoire. Je pense vraiment qu'elle a utilisé ce ressort pour faire de son garou un "gentil" garou, mais malheureusement, c'est tombé à plat.
Du coup je reste d'un avis mi-figue mi-raisin, car j'ai aimé certains aspects et détesté d'autres. Une suite est prévue - parution en anglais à la fin de cette année - mais je ne suis pas sûre de vouloir m'y plonger, du coup.
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Habituellement je ne publie pas de critique sur un livre pour lequel d'autres lecteurs.rices ont déjà posté des critiques, à moins que cela n'ajoute des éléments nouveaux.
J'avais lu les critiques sur Babelio avant de commander ce livre, et mon avis rejoint celles qui jugent ce roman pas complètement mauvais, mais décevant. Je n'avais donc rien à ajouter à ces critiques (vers lesquelles je vous renvoie) jusqu'à aujourd'hui. Alors deux questions se posent : « Pourquoi avoir lu ce livre ? » et « Pourquoi publier quand même une critique de plus, plus de deux ans après sa lecture ? »

Je savais que je prenais le risque d'être déçue en lisant ce livre, mais que voulez-vous, j'adooooore les histoires de loups-garous. Comme ce thème est très -mais alors très très- propice aux nanars (que ce soit en matière de littérature ou de cinéma), alimenter sa bibliothèque lycanthrophile revient donc souvent à chercher des pépites d'or dans une fosse septique. A ceci près qu'un nanar peut parfois se révéler rigolo, ce qui en vaut alors la peine. Je ne ferai pas durer le suspens : non, ce roman n'est ni bon ni rigolo, hélas.

Et donc pourquoi publier cette critique ? Eh bien voyez-vous je viens de réaliser que j'en voulais à Anne Rice, l'auteure de ce roman, et que je devais soulager ma conscience avant de remiser son ouvrage dans la boîte à livres la plus proche.

Oui, je lui en veux, parfaitement ! Pas pour avoir écrit un roman médiocre, non, cela arrive aux meilleurs. Non, je lui en veux MAIS ALORS TERRIBLEMENT d'avoir utilisé dans son roman quelque chose que je crois n'avoir jamais vu dans un livre avant celui-ci : LE PLACEMENT DE PRODUITS !!! Ca m'a gâché la lecture, Madame Rice, vous devriez avoir honte !

Mais enfin quel besoin aviez-vous de nous indiquer que (je cite !) : « Il avait visionné sur Youtube les reportages consacrés à North Beach (…) il tapa « homme-loup » sur Google.» ? Bon, admettons que sur cet exemple vous ayez voulu « ancrer votre personnage dans son époque », bien que ça semble assez ridicule en réalité, et que tout cela semblera sûrement bien daté dans 20 ans. Mais plus loin, vous aggravez votre cas : « (…) qu'il avait composé sur l'écran d'un iPhone. » (marque à nouveau citée plus loin). Etait-ce vraiment nécessaire de préciser la marque ? Ou était-ce pour tenter de recevoir un nouveau smartphone gratuit ? Et attendez, le pompon arrive ! « La voiture emplie de vêtements, d'un ordinateur d'appoint, de vieux lecteurs de dvd Bose (...) » (c'est vrai que si ce sont des Bose, ça change toute l'histoire...) puis « Il commanda sur internet une imprimante laser pour la bibliothèque et un Mac de bureau (…), ainsi que plusieurs lecteurs de CD Bose et toute une série de Blue-Ray. Il déballa les deux lecteurs Bose qu'il avait déjà achetés (…) ».

N'en jetez plus ! J'espère donc qu'Anne Rice a maintenant une excellente visibilité sur les moteurs de recherche, qu'elle est parfaitement équipée d'appareils numériques haut de gamme, et qu'elle en profitera pour écrire des romans de meilleure qualité. Quant à moi, je croise les doigts vraiment fort pour que le placement de produits ne devienne pas courant en littérature comme il l'est devenu au cinéma. Imaginez... « Aujourd'hui Maman est morte, dans son lit Ikea 180x200cm. », « Longtemps je me suis couché de bonne heure, grâce à ma montre Breitling Endurance Pro. ». Non, par pitié !

Pardonnez-moi ce pavé, mais il fallait que ça sorte, et ça va mieux !
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