Cela commençait plutôt bien avec cette citation pleine d'humour :
« Réfléchir ne rapporte souvent rien, mais ne pas réfléchir coûte toujours très cher »
(vieux philosophe chinois qui n'a jamais voulu dire son nom même sous la torture…
L'auteur dit « bonjour » à son lecteur en lui expliquant qu'il était depuis toujours en colère
« Tout simplement contre tout le monde, puisque, somme toute, il est mal foutu. »
Ce livre comporte quatre parties dont les titres semblaient prometteurs, notamment la première : « la théorie des poissons rouges » : on met des poissons dans un aquarium, avec des plantes, des pierres ou coquillages et on voit ce qui se passe : s'ils ne s'entendent pas, doit-on modifier le contenu de l'aquarium ou séparer les poissons ? agir sur le contenant ou sur l'individu si on veut extrapoler.
Et par conséquent, comment faire le tri ? séparer ce qui revient à l'individu et ce qui revient au collectif, pour en arriver à la notion d'individu collectif : individu car entité unique, collectif, car ne pouvant pas se passer d'autrui…
Puis petite explication sur l'inné et l'acquis, considérations sur l'alimentation : manger pour vivre ou vivre pour manger, en gros, ou la nécessité d'autrui ou encore, la capacité de nuisance…
Et soudain, la phrase de trop :
La « mise en relation » crée donc une interaction entre tous les membres de « l'ensemble », d'où émerge une interdépendance absolue entre eux.
Là, stop, je n'avais pas envie de me prendre la tête avec ces élucubrations, et j'ai laissé tomber à la page 20 (117 pages en tout). Soit, je suis allergique à la « sociologie » soit ce n'était pas le bon moment, je ne vais même pas chercher à me poser la question.
Un grand merci à Netgalley pour cet acte (choix) manqué, une fois n'est pas coutume !
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