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Le maître de peinture tome 1 sur 3

Michel Faure (Illustrateur)
EAN : 9782723440110
48 pages
Glénat (18/06/2003)
3.43/5   29 notes
Résumé :

Frédéric Cyprian est peintre. Personnage froid et posé, il a l'habitude de provoquer en duel au pistolet ses confrères dont il juge l'art indigne. Il en a déjà tué plusieurs. Son ami Nicolas l'entraîne dans une réunion de son groupe occulte « les Frères Géniaux », bande d'allumés jouant à la roulette russe. Frédéric y fait preuve d'un courage incroyable, comme s'il n'avai... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Le Maître de Peinture, nous emmène en Pologne dans les années 20.On y fait la connaissance de trois personnages principaux : Adam Zinguleski, un peintre célèbre ainsi que sa jeune et jolie femme, Eliza, et enfin Frédéric Cyprian, un jeune peintre qui mène une vie faite de duel et d'arme a feu.

Ce premier tome est la pour installer l'intrigue, nous faire découvrir les personnages mais est aussi fort prometteur. Niveau intrigue, j'ai de suite accroché et est vite envie de découvrir la suite.

Les dessins m'ont eu aussi beaucoup plu, les couleurs sont bien choisies et l'ensemble se marie tres bien.

Bref, c'est une bonne découverte, et il me tarde de lire les deux tomes suivants.
Lien : http://missmolko1.blogspot.i..
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Il est des choix de lecture en médiathèque qui entrainent sur des chemins non prévus.

Ce titre était pour moi accrocheur. Cela devait parler de peinture et ce fut aussi une ambiance et un contexte social. Au final, je me suis laissée prendre par cette mystérieuse histoire dans la Pologne des années 20, où il est plus question de triangle amoureux et artistique que d'art pictural.

Un jeune et romantique artiste brule sa vie dans la neurasthénie, les duels au petit matin et les expériences extrêmes de prise de risque. Une quête de soi et du succès entre doute et aigreur qui va le confronter à un peintre reconnu, et surtout à son magnifique modèle d'épouse.

La rencontre des deux tempéraments artistiques, de deux talents dans une histoire de passion, d'amitié et de recherche d'inspiration sur fond du contexte politique de la Pologne, secouée par des courants contestataires.

Le graphisme très réaliste et la colorisation sont les points forts de cette trilogie, avec certains dessins de toute beauté, avec des couleurs chatoyantes variant en fonction de la luminosité des scènes, une précision dans les décors et l'élégance des personnages.
Ca se laisse lire bien agréablement...

(Avis donné pour l'ensemble des trois tomes)
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Pologne, années 1920. On baigne dans une atmosphère "fin de siècle" en évoluant tour à tour dans l'atelier d'un peintre célèbre, dans les cercles anarchistes ou dans les cabarets fréquentés par la jeunesse oisive, voire dans le calme d'une église.

Le peintre, c'est Adam. Bien établi, il est en panne d'inspiration. Et son épouse, la splendide Eliza, ne suffit pas comme muse. L'anar, c'est Nicolas. le jeune désoeuvré qui tue son ennui en duels, c'est Frédéric. le prêtre, c'est son frère, Josef. Ajoutons Agnès, une belle prostituée qui aimerait se caser, mais qui voudrait que ce soit avec Josef...

Frédéric tombe amoureux d'Eliza. Nikolas aussi. Mais ils ne savent pas que leur ami a succombé. Frédéric montre une de ses toiles à Adam afin d'intégrer son cours. Pour Adam, c'est une révélation. Il découvre dans la toile de Frédéric ce qu'il n'arrive plus à créer depuis longtemps. C'est un portrait d'Eliza...

Les auteurs arrivent à saisir l'atmosphère d'une époque bouleversée. Ils rendent bien le processus de création, et les dures relations humaines dans les courants anarchistes. Il m'a manqué un peu plus de cohérence, mais cela se lit avec avidité quand même.
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J'ai eu un peu de mal à accrocher à cette histoire. Les 20 dernières pages du premier tome m'ont cependant séduites. Il y a quelque chose d'indéfinissable dans ce récit qui m'attire littéralement.

Le monde de la peinture dans la Pologne des années 20, les duels façon clip de Mylène Farmer, l'affrontement de la mort, le désir charnel donnent toute sa force à ce récit d'une grande originalité.

Les dessins sont sympas mais rien d'extraordinaire. le trait pourrait être encore amélioré. Cependant, certaines planches sont vraiment belles alors que d'autres laissent à désirer. Il y a une grande différence de traitement qui est perceptible. Cette irrégularité graphique va de pair avec un scénario qui s'éffrite surtout au troisième tome.
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Makyo est un scénariste que j'ai aimé dans ma jeunesse (la ballade du bout du monde, le cycle des 2 horizons) mais que, à la différence d'un Yann par exemple, ne me plait plus trop.
Cette série de 3 tomes laisse un peu sur sa fin. Les personnage sont assez attachants, l'arrière plan de Pologne d'entre 2 guerres assez dépaysant. C'est une histoire d'amour romantique comme je les aime d'habitude mais... ça manque de fond. On s'ennuie un peu.
C'est un peu court en somme.
Le dessin de de Faure est original, mais il fait régulièrement des erreurs de perspectives ou de proportion dès qu'il ne s'applique pas. Ca fonctionne, mais ce dessin "moyen" ne rattrape pas une histoire faible.
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Je tiens de moins en moins à la vie, je n'y arrive plus... Je veux revoir cette lumière de l'autre côté... Ici, tout me paraît tellement sombre, tellement terne... Tellement triste... Sans intérêt !
Réfléchis bien. La lumière aveugle et les ténèbres finissent toujours par se dissiper. N'y a-t-il vraiment rien qui te retienne à la vie ?...
Si. Peut-être... Une image... Un visage de femme... Sa beauté a quelque chose à voir avec ce que j'ai vécu quand j'étais entre la vie et la mort. Et je... Si je ne la rencontre pas... Je finirai là-bas...
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Sa beauté a quelque chose à voir avec ce que j'ai vécu quand j'étais entre la vie et la mort. Et je... Si je ne la rencontre pas... Je finirai là-bas... Et je me rends compte que... Finalement, elle n'existe pas... Et j'ai peur...
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La peinture s'apprend dans les musées.
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Le désir de bien faire anéantit l'inspiration !
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Vidéo de Frédéric Richaud
SECONDE PARTIE TABLE RONDE Samedi 22 janvier 2022 14h30 - 17h30 Librairie A. Pedone - 13, rue Soufflot - Paris Ve
Les chefs-d'oeuvre de la littérature sont si divers qu'il paraît impossible d'en donner une définition générale pertinente. Outre l'intérêt durable qu'ils suscitent, la plupart partagent cependant au moins deux caractéristiques : leur lecture demande un effort et ils transforment la vie du lecteur. On n'est plus le même après avoir lu Proust, Musil ou Joyce. Arrêtés par l'effort à fournir, beaucoup passent à côté du plaisir qu'apporte cette expérience. Peut-on la faciliter en contractant ou en transposant l'oeuvre ? le sujet fait débat. Chaque fois qu'un grand classique est porté sur la scène ou à l'écran, on entend des voix s'insurger contre l'inévitable simplification de l'ouvrage. Et lorsque les mêmes chefs-d'oeuvre font l'objet d'une bande dessinée ou d'une édition abrégée, d'aucuns vont jusqu'à crier au sacrilège ! À l'occasion de la parution de la substantifique moëlle de l'Homme sans qualités – une version contractée par François de Combret du chef-d'oeuvre de Musil – et de Proust pour tous – une transposition par Laurence Grenier en 500 pages des sept tomes d'À la recherche du temps perdu –, les Éditions du Palio organisent une table ronde autour de la question : « Comment faciliter l'accès aux chefs-d'oeuvre de la littérature ? » * Introduction : « Pourquoi faciliter l'accès aux chefs-d'oeuvre de la littérature ? » Luc Fraisse, professeur de littérature française à l'université de Strasbourg Première partie : « Contracter un chef-d'oeuvre littéraire : est-ce le trahir ou le soutenir ? » Autour des auteurs de la substantifique moëlle de l'Homme sans qualités et de Proust pour tous, les intervenants s'interrogeront sur les bonnes pratiques à respecter quand on entreprend de simplifier ou traduire un chef-d'oeuvre de la littérature pour, selon l'expression de François de Combret, « mettre en appétit de lecture ». François de Combret, Laurence Grenier Marine Molins, professeure agrégée de lettres modernes, co-autrice de « Translatio : traduire et adapter les Anciens » (Garnier, 2013) Didier de Calan, ancien directeur de la pédagogie aux éditions Nathan Animation : Jean-Jacques Salomon, Éditions du Palio
Seconde partie : « Transposer un chef-d'oeuvre littéraire : est-ce le réduire ou le promouvoir ? » À partir d'expériences de transposition d'oeuvres littéraires à l'écran, sur la scène, en bande dessinée, etc., on se demandera comment conserver l'esprit d'un chef d'oeuvre quand on le déplace hors du champ littéraire. Valentine Varela, actrice et réalisatrice Frédéric Richaud, romancier et scénariste de bande dessinée Anne Armagnac et Bernard Dollet, membres de la Société des Amis de Louis Aragon et Elsa Triolet Hélène Waysbord, autrice de « La chambre de Léonie » (Le Vistemboir, 2021) Animation : Céline Mas, co-fondatrice de Love for Livres
Conclusion Hélène Waysbord *
Table ronde organisée en partenariat avec la librairie A. Pedone, l'Association des amis d'écrivains, organisatrice du Salon international des amis d'écrivains, et Love for Livres, initiative pour la promotion de la lecture par les émotions
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