Mort d'un ministre campe le décor du premier cycle des Coulisses du pouvoir (qui couvre les 4 premiers opus de la série).
Stuart Parkinson, ancien premier ministre, est retrouvé mort quinze jours après avoir donné une interview choc dans laquelle il fustige sa propre classe politique : suicide ou suicidé ? Ça ne va pas fort pour ladite classe politique, en tout cas, car le ministre des affaires sociales est secoué par un scandale et périt dans un accident de la route quelques jours plus tard... mêmes questions.
Clive Baker, un jeune attaché parlementaire ambitieux, un peu m'as-tu-vu, qui travaillait pour Parkinson, trouve à se recaser auprès d'un autre député, John Watson.
Dans des cercles plus interlopes, on rencontre Sammy et Murphy, braqueur à la petite semaine et vraisemblable tueur à gages, sans pouvoir faire le lien avec les autres personnages, tout en se doutant qu'il y en aura forcément un.
Le défaut de ce premier tome est d'être exclusivement introductif, prologue de l'intrigue qui se déroule dans les trois opus suivants, et, à cet égard, un peu fastidieux dans la mise en place.
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Un ancien ministre meure, après avoir annoncé qu'il viderait son sac....
Ce premier tome met en place l'histoire, les protagonistes, le policier.
Sans être surprenant, c'est plutôt bien fait.
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Commandant, vous croyez que Mac Luhan avait quelque chose à voir avec la mort de Sir Parkinson ?
Évidemment que non. On ne tue pas sans avoir un sérieux mobile....
Cette histoire de prêt m'apparait comme un mobile tout à fait acceptable.
Ne dites donc pas de bêtises, Burkinshaw ! Mac Luhan n'était pas le commanditaire du meurtre de Parkinson....car c'était un meurtre, j'en suis de plus en plus convaincu....
Je mettrai tout en œuvre pour découvrir les assassins, Burkinshaw...et vous me connaissez : je déteste l'échec !
- Je vais devoir vous laisser, Sir Stuart... Je dois reprendre mon fils aîné à son cours de violon !...
- Votre fils fait du violon ? Quelle idée saugrenue ! Je ne connais rien de plus exaspérant que le son du violon !...
Je suis entré en politique par idéal... Oh, bien sûr, j'avais le goût du pouvoir... Mais l'ivresse que le pouvoir procure est éphémère...
- Ne craignez- vous pas de porter un coup fatal à votre parti? La politique gouvernementale n'a jamais été aussi impopulaire, les sondages sont calamiteux...
- Le parti! Adams!... Il n'y a plus que des hommes, qui s'engagent en politique comme on vend des voitures: peu importe la marque, pourvu qu'on vende... C'est une tragique évolution, devant laquelle je refuse de m'incliner...
- Aussi horripilant que ses bouquins...
- Il fait partie de ces gens qui croient qu'il suffit d'avoir lu les livres des autres pour être écrivain. Il n'a aucun talent, mais il vend...
Dans le cadre du festival Etonnants Voyageurs 2017, nous avons rencontré Jean-Yves Delitte, peintre officiel de la marine de Belgique et directeur de la collection Les Grandes Batailles Navales chez Glénat.
Entretien en dessin avec ce marin qui garde les pieds sur terres.
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