L'ange de Marchmont Hall

L'ange de Marchmont Hall est le premier roman de Lucinda Riley que je lis. J'ai été attirée par la couverture du livre, cette sublime demeure sous la neige. Et j'ai aussi voulu faire connaissance avec cette auteure que certaines amies m'avaient conseillée. 
Je me suis donc laissée entraîner dans ce voyage de 40 années, de Londres à Los Angeles en passant, bien sûr, par la campagne anglaise, où se situe la propriété de Marchmont Hall.

"Trente ans après avoir quitté Marchmont Hall, Greta y retourne pour passer les fêtes de Noël, sur l'invitation de son vieil ami David Marchmont. Durant une promenade dans le parc enneigé, elle trébuche sur une tombe. Cela va déclencher la réminiscence d'événements dont elle n'avait plus aucun souvenir. Elle a en effet perdu la mémoire quelques années plus tôt suite à un tragique accident..."

Ce roman est une saga familiale comme celles que j'aimais follement lire durant mon adolescence. 
Tous les ingrédients sont présents : des secrets de famille, une vaste demeure familiale, une galerie de personnages dont des femmes ravissantes et naïves, des passions contrariées et le poids des erreurs du passé.
Via une alternance entre passé et présent, on suit en effet le destin tourmenté de trois générations de femmes.
Malheureusement, je ne me suis pas attachée à l'héroïne, Greta, comme ce fut le cas, lors de mon adolescence, avec Ambre, Scarlett, Catherine ou Hannah, et bien d'autres, femmes passionnées, indépendantes, inspirantes, grandioses. Je trouve qu'elle n'en a pas l'étoffe et je l'ai un peu regretté.
Je n'ai donc pas eu de coup de coeur mais j'ai trouvé la plume de Luncida Riley efficace et agréable à lire.
Ce récit est prenant - j'ai lu les 500 pages en deux  jours à peine - , servi par une écriture fluide, sans temps mort, avec des flashs blacks et des drames - peut-être un peu trop nombreux pour paraître vraisemblables. 
Une lecture agréable sans être inoubliable.

Le roman se lit facilement et la plume de Lucinda Riley est agréable, mais cela n'a pas suffi à me séduire complètement. En effet, le récit n'est pas très joyeux et les déboires des personnages s'accumulent un peu trop à mon goût. Il n'y a pas d'incohérences et cela s'enchaîne même plutôt bien. N'empêche que c'est quand même un peu trop...

Premier livre que je lis de Lucinda Riley. Elle semble avoir quelques sagas familiales dans sa bibliographie. le genre dont nombre d'écrivains aiment à s'emparer est propice aux études de moeurs, de caractères avec ce que ça comporte d'antagonismes familiers. Familiers pour les lectrices qui retrouvent la piste balisée des secrets de familles.... Une fratrie plombée par le sceau du secret, un enfant décédé des années auparavant, le et les mystères... Je n'ai pas accroché. Trop de balises pour moi.

Ce roman ne fera pas partie de mes préférés de l'autrice ; c'est peut-être même, à ce jour, celui qui m'aura le moins convaincue.

On retrouve malgré tout les ingrédients qui font son succès : le voyage à travers le temps et l'espace, les secrets de famille, la maitrise du suspense et une intrigue bien ficelée. J'ai tourné les pages sans difficulté avec la volonté de connaitre le fin mot de l'histoire.

Par contre, il y a dans cette histoire beaucoup trop de mélodrames à mon goût... J'ai trouvé les romances caricaturales et les personnages particulièrement détestables. C'est une déception.

J'adore l'écriture de Lucinda Riley. Elle sait envouter les lecteurs par la description de personnages forts, dans des lieux magiques.
Pourtant j'ai moins accroché à cet opus. Peut-être parce que je n'ai pas pu le lire de façon continue. J'ai trouvé ce roman assez sombre, redondant par moments et surtout assez prévisible.
Peut-être aussi est-il temps pour moi de faire une pause avec cette auteure
Belle lecture mais parfois laborieuse.

Je voulais lire ce roman bien avant de découvrir Les Sept soeurs, et puis, je n'en ai pas eu l'occasion.
Donc, je n'ai pas hésité quand je l'ai vu à la bibliothèque.
Ce n'est pas un énorme coup de coeur comme la saga des Soeurs, mais l'écriture de Lucinda Riley était vraiment addictive, je ne l'ai pas lâché, et lu en trois ou quatre jours.
Il y a cependant un petit quelque chose qui m'a mise parfois un peu mal à l'aise, je ne saurais dire quoi. Sans doute dû au fait que personne, du début à la fin, n'écoute Chezka quand elle parle des voix qu'elle entend. Famille ou soignant, ça ne semble intéresser personne, et on se dit qu'on lui a gâché sa vie. Et c'est un peu le roman des opportunités manquées.
Mais on s'attache aux personnages, et même si ça commence en quelque sorte par la fin, le suspense est maintenu. Et arrivée au bout, j'ai eu envie de reprendre les premières pages pour les comprendre différemment.

Une superbe propriété au Pays de Galles, une famille qui se réunit pour Noël 1985, dans la neige.
Une amnésique qui a accepté de sortir enfin de son refuge, et de tenter de faire face à un passé dont elle ne connait que ce qu'on lui raconte.
Un décor planté pour un polar de Noël, mais non, il n'y aura pas de crime (quoique ...). Par contre, on devine que le passé de chacun n'a pas été un long fleuve tranquille. Et pas seulement parce que la demeure ancestrale a brûlé.
On va en suivant Greta remonter le fil de ses souvenirs revenus, à partir de 1945, avec des allers-retours sur les périodes plus récentes.
Après 36 heures dans la brume, de nouveau l'amnésie au centre d'un roman, mais ils sont aussi différents que possible.
Des personnages denses, des histoires de famille incroyables, un suspense maintenu, des décors intéressants, du Londres des artistes à Marchmont (Pays de Galles) en passant par Los Angeles.
J'ai finalement un peu de mal à les quitter !!
Lien : https://livresjeunessejangel..

Au début, j'ai trouvé le récit très lent, j'ai même pensé l'abandonner mais, je l'ai juste mis de côté pour être sûr d'être prête pour une nouvelle lecture audio. Et j'ai bien fait, parce que la suite à vraiment été intrigante, palpitante, stressante. Bref ! Il y avait vraiment pas mal de suspens.
L'histoire en elle-même n'est pas exceptionnelle, c'est juste une histoire de famille qui pourrait très bien nous arriver. On va retourner dans le temps parce que l'héroïne principale est devenue amnésique à cause d'un accident. On va du coup, suivre sa vie via les récits de David, mais aussi celle de sa fille Cheska.
Je n'ai vraiment pas aimé ce personnage. Je peux pas voir dire pourquoi sans vous spolier l'histoire, mais vous comprendrez. Mais maintenant, est-ce qu'elle en pouvait quelque chose ? Telle est la question?
Pour ce qui est de la narratrice, Ana Piévic, j'ai vraiment bien apprécié sa voix, sa lecture était très souple. Elle arrivait à changer un minimum sa voix par rapport aux différents personnages.

Malgré une histoire prenante, j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup trop de longueurs et de temps mort dans ce livre. c'est vraiment dommage parce qu'il y avait du mystère, comme une impression d'épouvante par moment (je n'en dis pas plus) Et surtout on a une belle palette de personnages féminins. Par contre, j'ai eu plus de mal avec le côté surprotecteur de David...

Dans "L'ange de Marchmont Hall", on suit l'histoire de 3 générations de femmes de 1945 à 1980. J'ai bien aimé découvrir le milieu du cinéma des années 1950 et leurs enfants stars. Ainsi que la construction du récit avec quelques scènes contemporaines d'amnésie au milieu de long flash-backs. Mais c'est à peu près tout.
Les personnages ne sont pas vraiment attachants, ce qui ne m'a pas aidé à compatir aux drames familiaux qu'ils vivent. Seule Ava m'a plu et ce n'est pas celle qu'on voit le plus. Je n'ai pas réussi à trouver crédibles les sentiments qu'ils peuvent éprouver les uns pour les autres et la fin m'a semblée un peu trop niaise et artificielle à mon goût (et pourtant, je suis plutôt bon public pour les fins même si elles ne correspondent pas à ce que j'espérais). Il manque aussi des explications sur les hallucinations de Cheska que j'aurais bien aimé avoir.
Quant au thème général du livre, il pourrait être "comment bien gâcher sa vie", car c'est ce qui arrive à presque tous les personnages. C'est d'un gai.
Bref, j'avais bien aimé Lucinda Riley dans "Les sept soeurs" et "La lettre d'amour interdite", mais celui-ci ne m'a pas convaincue. Je suis quand même arrivée au bout des 700 pages sans trop de difficultés grâce au style fluide mais aussi avec un certain sentiment de soulagement.

Lucinda Riley est une de mes auteures préférées, et pourtant … j'ai une petite déception avec cette lecture .

Suite à un accident, Greta est amnésique depuis une vingtaine d'années. Pour Noël, elle accepte l'invitation de son ami David de le passer au sein de Marchmont Hall. Mais cette visite va faire remonter les souvenirs et grâce à David, elle va remettre toutes les pièces du puzzle en place.

J'ai eu l'impression d'être dans des montagnes russes avec ce roman. Je m'explique : j'ai eu des phases où je m'ennuyais et d'autres où il m'était impossible d'arrêter ma lecture. J'ai trouvé beaucoup de longueurs à ce roman.

J'ai eu beaucoup de mal avec les personnages. Ce roman est divisé en trois parties, chacune représentant l'histoire d'une des trois femmes de cette famille : la mère, la fille et la petite-fille. Greta, la mère, ne m'a paru sympathique que vers la fin. Je n'ai pas adhérer à une grande partie de ses décisions. Cheska, sa fille, m'a fait de la peine au début car les choix de sa mère vont l'affecter énormément. Néanmoins, son comportement tellement malsain alors qu'elle est adulte, ne m'a pas plu. Ava, la petite-fille est quant à elle très touchante. C'est celle que j'ai préféré mais est la plus effacée de l'intrigue.

J'ai trouvé que certains événements manquait de crédibilité et j'ai eu envie de secouer les personnages à d'autres moments pour qu'ils ouvrent les yeux.

J'ai tout de même aimé retrouver la plume de Lucinda Riley, qui est toujours agréable et fluide et m'a fait venir au bout de ce pavé de 700 pages. L'auteure nous offre une saga familiale complexe, pleine de secrets et de non-dits qui conduit à plusieurs drames.

En bref, ce n'est pas le roman de l'auteure que je préfère, dans lequel j'ai trouvé des longueurs qui nuisent à l'histoire.