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Critique de bdelhausse
60 gags... tome 4... 60 gags... pas 45, voire 32 ou 30 comme dans certaines BD récentes. 60 planches de Boule et Bill par un des maîtres du gag en 1 planche.
Signe des temps, évidemment. Nous sommes en 1967. A ce moment-là, les tomes de BD étaient longs, denses et bien remplis. Que l'on se penche sur Ric Hochet, Jerry Spring, Corentin ou Michel Vaillant à l'époque, pour n'en citer que quelques uns.
Ici, on a un dessin simple et efficace. Il sent bon la fraîcheur, la tendresse, la convivialité, et surtout la complicité entre tout le monde. Bien sûr, cette complicité est fort présente entre Boule et Bill, mais pas seulement. le père est très présent, avec une relation père-fils intéressante. Bill se comporte d'ailleurs fort comme un enfant.
Ce qui est intéressant aussi, ce sont les témoignages d'un autre temps: les enfants qui jouent aux billes, le vérificateur fiscal, une affiche avec le chanteur Antoine... On finit avec un adulte qui radote en parlant à Bill qui le trouve fou... Eh oui, les chiens de Roba ont plus de sens commun que les humains.
Signe des temps, évidemment. Nous sommes en 1967. A ce moment-là, les tomes de BD étaient longs, denses et bien remplis. Que l'on se penche sur Ric Hochet, Jerry Spring, Corentin ou Michel Vaillant à l'époque, pour n'en citer que quelques uns.
Ici, on a un dessin simple et efficace. Il sent bon la fraîcheur, la tendresse, la convivialité, et surtout la complicité entre tout le monde. Bien sûr, cette complicité est fort présente entre Boule et Bill, mais pas seulement. le père est très présent, avec une relation père-fils intéressante. Bill se comporte d'ailleurs fort comme un enfant.
Ce qui est intéressant aussi, ce sont les témoignages d'un autre temps: les enfants qui jouent aux billes, le vérificateur fiscal, une affiche avec le chanteur Antoine... On finit avec un adulte qui radote en parlant à Bill qui le trouve fou... Eh oui, les chiens de Roba ont plus de sens commun que les humains.
