AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de balrog


balrog
28 septembre 2012
La précédente mission des Spectres à Mhalemort, forteresse des Ténèbres, est un demi succès. le fief des Ténèbres est infiltré et Khémal est délivré, tout cela avec une facilité déconcertante...Cela ne pouvait être qu'un piège de la part du Roi-Sorcier ! En effet, après une brève entrevue entre le Père de la Douleur et Cellendhyll, les intrus et Estrée ( rencontré par hasard dans la forteresse Ténébreuse, à son grand dam ) sont pourchassés par la horde du Roi-Sorcier et se retrouvent devant un portail de transfert à la destination inconnue. Autrement dit : le salut ou la mort...Car nul ne sait si ce portail n'est pas un ultime piège tendu par les Ténèbres...Bingo ! C'est un piège, mais pas celui des Ténèbres...C'est celui du Prince des Arikaris, les Sang-Pitié !

Ce livre débute donc par l'ouverture du portail de transfert dont la destination n'est autre que Valkyr, Plan des Sang-Pitié. Dès leur arrivée, les membres du Chaos ne se leurrent pas : Ils sont sur un plan hostile qu'il faut quitter au plus vite ! Encombré de Khémal toujours groggy, ils vont se frayer un chemin dans la jungle de Valkyr pour essayer d' échapper à leurs poursuivants, qui ont déjà fait retentir le cor annonçant le départ de la chasse à l'homme.
Leprin et Troghöl sont de la partie, accompagnés de leurs guerriers respectifs.
Le Seigneur des Ténèbres a été clair, il veut la tête de ce maudit Cellendhyll de Cortavar. Mais les aspirations diffèrent entre le Légat des Ténèbres et le nouveau Seigneur des Conquêtes...Car si Troghöl a grugé l'escadron Spectre au complet, il se peut qu'il ai d'autres projets en tête...

Voilà une excellente traque ! La première partie du livre, dans la jungle, est assez haletante. Dans la seconde partie on commence à apercevoir le dénouement de l'histoire. Ça se lit bien et l'intrigue est bien plus surprenante que celle du volume trois. Néanmoins j'ai noté une grossière contradiction dans un passage : Après avoir tué un garde et fait disparaitre son corps par une fenêtre, le tueur se rend compte qu'il lui manque des armes, alors il fouille le cadavre du garde occis, comme si ce dernier était encore présent dans la pièce alors que dix lignes avant l'assassin jetait sa dépouille à l'extérieur (Page350)... Bon, c'est pas très très grave, mais c'est complétement stupide et ça fait foirer un chapitre entier, c'est dommage.
Commenter  J’apprécie          50



Ont apprécié cette critique (5)voir plus




{* *}