Cellendhyl ne comprenait rien à l'homme-mystère. Pas plus qu'il n'arrivait à le cerner. Maurice s'exprimait la plupart du temps dans un langage abscons, incompréhensible pour lui. Cellendhyl se retrouvait invariablement affligé de noeuds au cerveau et s'en agaçait d'autant. Cependant, si bizarre fût-il, Maurice avait démontré à maintes reprises qu'il méritait sa confiance.