Un mal de mer !
Ce livre a été écrit par l'auteure de la fabuleuse série Les Chevaliers d'Émeraude et A.N.GE,
Anne Robillard. Ce roman est le deuxième tome et la dernière de la série.
Tout d'abord, l'histoire reprend 15 ans après la fin du premier roman. le sorcier fâché de s'être fait battre par l'apprenti du magicien au jeu qu'il remportait depuis des millénaires. Sachant très bien que l'apprenti ne connait pas tout les règlements au jeu, le sorcier décide de devancer la date du prochain jeu. Terra Wilder et Galahad ont rebaptisé la ville qu'ils habitaient pour Nouvelle-Camelot. La ville entière a été déguisée en ville médiévale. L'apprenti magicien fait alors une fois de plus l'appel à l'aide de Terra et de Galahad pour faire partie des pions du jeu qui se déroulera au XIII siècle.
Premièrement, ce roman est un lamentable échec à la suite de la série de Terra Wilder. du début à la première moitié du livre il n'y a aucune péripétie, seulement de la description des personnages principaux, secondaires auquel on ne forge aucun lien durant l'histoire. Deplus la fin de l'histoire semble trop précipitée, aucune explication au phénomène qui se passe et cela rend l'histoire peut compréhensible et il faut relire plusieurs fois les passages pour comprendre la totalité du contenu. Aussi le changement des personnages est trop brusque, l'auteur finit le chapitre en nous décrivant une situation de panique pour le personnage principal et le prochain chapitre débute avec de la description d'un personnage secondaire. Malgré cela, la fin de l'histoire est complètement innovatrice, personne ne peut prévoir ce qu'il arrivera et c'est seulement au trois dernières pages qu'il y a le dénouement.
Pour ma part ce livre aurait pu être beaucoup mieux réalisé, il y a trop de moment de confusion ou de moment trop long amenant une description banale. Je recommande ce livre au gens qui on lu la tome 1 mais je ne crois pas que ce roman nous livre une grande réjouissance à lire. Ce sont pour toutes ces raisons que je lui donne deux étoiles sur cinq.
Rémi R 4 décembre 2012