Les chevaliers d'Emeraude, tome 10 : Représailles

Ce dixième tome confirme L'héritage de Danalieth : l'action ne tarde pas à se mettre en branle, les (très) rares moments de répit ne sont qu'éphémères et ne sont jamais des moments de bonheur parfait. Les obstacles ne cessent de s'accumuler sur la route de nos chevaliers, des alliances nouvelles (positives ou négatives) se créent et même la prophétie reçoit un éclairage nouveau.
De nouvelles pistes ont été ouvertes dans ce dixième tome : reste à voir si elles se confirmeront dans le tome suivant.

L'histoire commence à partir un peu dans tous les sens et à avoir moins de cohérence. Il y a plusieurs actions et décisions complètement illogiques dans le roman. de plus, il s'agit encore une fois d'un tome répétitif dont les personnages sont tellement peu développés qu'on ne sait pas grand chose de plus sur eux qu'au début de la saga. Les seuls passages intéressants du roman sont ceux qui concernent Liam.

Après quatre ans de paix, les larve de guerriers Tianeth refont surfaces. Affamés, elles se nourrissent de chair humaines. Plusieurs villageois et un chevalier et un écuyer se font mangés. Très nombreuses, les chevaliers ont beaucoup la misère à les vaincre. de plus, Akuretari en profite pour s'attaquer au chevaliers pour de venger de son frère, le roi des dieux, et sa soeure, la déesse du feu, en esseyant de détruire Enkidiev. J'ai beaucoup aimé ce livre puisque l'histoire étais très bien faite et complète.
Bonne lecture!

Ces livres, cet univers. Je ne remercierai jamais assez l'auteure pour avoir créer les douze romans nous permettant de suivre les aventures des Chevaliers d'Emeraude. Jamais avant je n'avais été transportée ainsi dans un récit d'aventure, d'amour, de survie sur autant de livres et j'ai tellement aimé ça. Je voulais faire partie de ce groupe, me battre avec eux, pour eux. J'ai pleuré, j'ai ris, j'ai été déçue, j'ai voyagé mais qu'est-ce que j'ai aimé !
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Au début de ce livre, c'est assez surprenant car les Chevaliers d'Émeraude sont au repos dans leur maison. Puis tout à coup, les «méchants» sortent de leur cachette et attaquent. Je pense que les Chevaliers auraient pu se forcer et réagir plus rapidement. Aussi, c'est un peu déstabilisant car à un moment, on se retrouve dans la tête du roi des «méchants» et on se rend compte qu'il a aussi une partie de bon en lui.