On se souvient de l'image de ce vieil homme, Théodore Monod, arpentant encore à quatre-vingt-seize ans le désert lybique, à dos de chameau, parcourant inlassablement ces étendues recouvertes de sable, en quête de minerais, de fleurs et de plantes sauvages? C'était l'image d'un humaniste, toujours émerveillé, en communion avec la terre, empli sereinement de respect pour le monde qui nous entoure, humble devant l'éternel, certes et plus encore devant Dame nature....
>Voir plus