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Le vieil Antonio est mort. Depuis maintenant un an, personne n'est entré dans la maison. Aussi, lorsque le cadet, José, et sa femme, Sylvia, sont les premiers de la fratrie à y pénétrer, ils aèrent toutes ces pièces qui sentent le renfermé et font le tour du propriétaire. Murs lézardés et défraichis, jardin et piscine à l'abandon, arbres fruitiers tout desséchés... Mais, il a été convenu, avec son frère, Vicente, et sa soeur, Carla, qu'ils mettraient en vente cette maison familiale. Faute de moyen et de temps, sans doute. José et Sylvia entreprennent quelque nettoyage, réparent deux ou trois choses... le jeune homme est ému devant tous les objets paternels qui lui semblent si familiers, lui rappelant quelque bon souvenir de son enfance et lui faisant presque croire que son père va arriver d'un moment à l'autre. Une fois le couple reparti pour Madrid, ce seront au tour de Vicente puis Carla d'y mettre les pieds...

Dans la maison, l'on y entre à pas feutrés et on laisse les émotions nous envahir et les souvenirs nous bousculer. D'une histoire somme toute banale et certainement commune, Paco Roca en fait un album un brin nostalgique, triste parfois mais toujours profondément humain. À tour de rôle, les enfants d'Antonio viennent arranger, réparer, entretenir ou embellir cette maison de campagne familiale dont le patriarche a toujours pris grand soin. Ici et là, quelques objets qui font ressurgir un passé réconfortant. Alternant présent et souvenir, cet album subtil, intime et d'une grande sensibilité fait la part belle aux sentiments enfouis, aux petits riens et au temps qui passe. Graphiquement, un coup de crayon simple, sobre mais efficace et des couleurs ensoleillées pour un format à l'italienne des plus élégants.
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Paco Roca retrace avec, une certaine nostalgie, les moments passés dans la maison de famille. Ici les enfants se retrouvent après la mort de leur père et constatent comment la maison s'est dégradée. Ils réparent , rafistolent afin de pouvoir la mettre en vente. Beaucoup de souvenirs s'invitent durant les travaux. J'ai eu moi aussi, les larmes aux yeux à plusieurs reprises car , je pense que même si chaque histoire est singulière, il y a des similitudes.
Des moments douloureux "nous pensons qu'il faut vendre ta voiture. de toute façon tu ne conduiras plus. Vicente dit qu'il vaut mieux la vendre plutôt que de continuer à payer l'assurance et la vignette pour rien."
Des souvenirs tendres comme la fabrication d'une piscine de fortune, des petits moments privilegiés...
Le dessin est en parfaite harmonie avec l'atmosphère du moment, on perçoit aisément les ressentis. Simple mais explicite, c'est pour moi une réussite. J'aime beaucoup cet album de souvenirs, de liens. Emotions incontournables si l'on vient de perdre un proche mais c'est une nostalgie saine.
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La Maison, c'est celle que le père de Vicente, José et Carla a construite en famille au cours des ans, et dans laquelle il s'était définitivement installée à la mort de sa femme.
La maison est remplie de souvenirs, accumulés au fil des ans: cadeaux de la fête des pères, médailles, bibelots dont on ne veut plus:
"La décoration de cette maison est un voyage dans le temps".

Mais le père est mort voici un an, et les trois enfants, devenus adultes, décident de se retrouver pour la nettoyer, l'arranger, et la vendre.
José est le premier à venir: écrivain, en couple, pas très bricoleur, il se remémore ses relations avec son père au fil des ans.
Puis le récit glisse doucement vers Vicente, le grand frère râleur, un poil autoritaire et très critique à la fois de son père et de son frère. C'est sans aucun doute le personnage le plus caricatural malheureusement.
Enfin voilà Carla, la petite soeur, mère d'une petite fille qui aura à peine connu son grand-père.

Chacun a ses propres souvenirs mais c'est en discutant - et se disputant - qu'ils découvrent chacun un autre aspect de ce père pudique et inventeur.

L'histoire est classique, mais ça ne l'empêche pas d'être bien tournée. le deuil est là, en plein travail avec à la fois sa tendresse, sa nostalgie et sa colère.
Les dessins sont très réalistes et les attitudes, l'atmosphère, les saisons qui passent, bien rendus; je me suis arrêtée un long moment sur cette simple scène du quotidien dans laquelle le compagnon de Carla est affalé, endormi sur le canapé le bébé dans ses bras, simplement en couche, le neveu assis à côté à jouer sur son téléphone, tandis que Carla est étendue sur un autre canapé en train de lire. On y devine la chaleur d'une après-midi d'été, on entend le profond silence.

Bref, c'est un beau récit sur le deuil et la famille, un bel hommage au père.

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Vider LA maison...
Le père est mort un an plus tôt, les trois enfants adultes viennent rafraîchir et vider la maison pour la mettre en vente.
Un premier frère entre avec sa femme dans cet intérieur abandonné depuis toute une année : elle se souvient de sa présentation aux parents, lui farfouille un peu, et plante quelques graines de melon dans le potager avant de repartir.
Puis le frère aîné et la soeur arrivent en famille, réparent, nettoient, se remémorent...
Et tout le livre est construit ainsi : chaque geste, chaque objet fait naître un souvenir - changement de lumière et de couleur.
Mais la réunion des enfants réveille aussi des jalousies et amène des réflexions sur la place de chacun dans la fratrie, ce qui ajoute une dimension intéressante à ce joli album nostalgique.
J'ai beaucoup aimé l'utilisation des couleurs ainsi que le dessin qui dit beaucoup en peu de traits : un regard qui se perd au loin, une tête qui se tourne...
Challenge Bande dessinée 2022
LC thématique de février 2022 : ''Les petits livres”
Challenge Globe-trotter (Espagne)
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A la mort d'un parent, il faut souvent nettoyer et ranger la maison. C'est l'occasion pour les enfants de se retrouver, de se souvenir et parfois de s'affronter.

Tour à tour l'auteur nous présente les réactions et les pensées de deux frères et une soeur très différents.

Faudra t-il ou non vendre la maison ?

Un très bel album qui prend les teintes de la mémoire et du temps qui passe. Sans juger aucun de ses trois personnages à qui il donne la parole, l'auteur nous interroge sur l'après, les rendez-vous manqués et les traces.

J'ai beaucoup aimé les planches qui représentent l'homme et sa relation à la nature, aux objets ainsi que les liens au sein de la fratrie. L'auteur montre en décomposant des scènes avec des textes tout en retenue.

Le père est encore partout et nulle part à la fois, à la manière d'un fantôme bienveillant. On s'interroge sur ses choix, ses sentiments, sa vie. Il n'est pas possible pour les enfants de s'approprier le rêve de leur père.

Un livre beau et serein sur nos morts qu'il nous reste ensuite à porter en nous tant leur héritage correspond souvent peu à nos vies modernes...
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Nostalgie quand tu nous tiens!
Paco Roca s'attache avec son habituel talent
au portrait de feu son père.
Un homme hyperactif, super bricolo,
contremaître de ses 3 enfants pour
les chantiers estivaux de la famille.
Construire, réparer, jardiner....
En vie et donc...en mouvements.
Cette maison est-elle la dernière gardienne
de leurs souvenirs d'enfance?
Où se loge la mémoire ?
Dans les lieux? Les circonstances ?
S'en défaire? le garder? Pourquoi ?
Que représentent la transmission,la succession?
Quelles sont ses qualités et ses limites...?
Des questions que nous abordons tous
à un moment donné avec plus ou moins de bonheur..
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Un an que la maison n'a pas été ouverte. Depuis la mort du père, personne n'y a mis les pieds. Les enfants sont décidés à la vendre. Mais avant, ils veulent la rafraîchir un peu, histoire de la rendre plus présentable aux futurs acheteurs. Murs lézardés, piscine en ruine, arbres fruitiers en piteux état, chasse d'eau qui fuit… José est le premier à découvrir l'ampleur des dégâts. Écrivain vivant à Madrid, il n'était pas revenu depuis des lustres. Accompagné de sa femme et aidé par un voisin, il effectue un premier toilettage rapide. Vicente, son frère aîné, arrive quelques jours plus tard, bientôt rejoint par Carla, la cadette. Dans cette maison de campagne où leurs parents les emmenaient chaque week-end et que leur père Antonio a construite de ses propres mains, dans ce lieu qui a accompagné leur enfance, quelques moments particuliers leur reviennent en mémoire.

Une magnifique réflexion sur le deuil, la filiation, les rapports entre frères et soeurs ou encore l'influence du poids du passé sur nos actes. Rien de nouveau sous le soleil d'Espagne à première vue mais le récit se déploie par petites touches, de flash-back en flash-back, avec une subtilité remarquable. Chacun se souvient d'un père froid et égoïste, travailleur infatigable à première vue peu intéressé par sa progéniture. Mais en laissant les souvenirs remonter, José, Vicente et Carla vont dresser un portrait plus en nuances. Et dans chaque pièce, devant chaque fissure du carrelage, sur la terrasse où l'on se réunissait pour manger, l'émotion va peu à peu prendre le pas sur le pragmatisme et ébranler les certitudes. Cette maison, faut-il la vendre finalement ?

Le dessin, proche de la ligne claire, donne dans l'efficacité et est servi par un format à l'italienne permettant de multiplier les gaufriers et d'exprimer au mieux les nombreux moments d'introspection.

Une variation subtile sur temps qui passe, la mémoire et les sentiments, la nostalgie d'une enfance vers laquelle il est toujours bon de se retourner pour mieux comprendre celui que l'on est devenu. Indispensable !

Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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Tout d'abord c'est un beau livre, présenté, pour moi, comme un album photos familial qui contient toutes les images du passé.

Après le décès de leur père trois enfants reviennent d'abord chacun leur tour dans la maison vide puis ils s'y retrouvent tous ensemble.

Le premier, José, c'est l'artiste de la famille, ne sachant pas bricoler bien au contraire tout s'aggrave quand il veut réparer. Il est accompagné de sa femme.

Puis c'est le tour de Vincente, l'aîné de la fratrie, digne descendant de son père, bricoleur astucieux mais râleur accompagné de sa femme Sylvia et son fils.

La dernière c'est Carla, la fille, celle qui a pris en charge son père durant les derniers mois afin de l'aider dans les démarches. Elle est mariée avec Cristobal.

Tous arrivent déterminés à ranger, trier, réparer afin de mettre la maison en vente le plus rapidement possible mais au fur et à mesure les souvenirs remontent et la décision de vendre n'est plus aussi certaine ni évidente.

Chaque objet est lourd de moments passés ensemble. Cette maison ils l'ont construite ensemble avec leurs parents, petit à petit et elle est le socle de leur famille. Chacun a des souvenirs différents suivant les caractères, les centres d'intérêt et ce qu'ils ont vécu auprès de leur père et de cette maison. C'est un peu comme le bilan de leur jeunesse : ce qu'ils ont appris, ce qu'ils en ont fait et ce qu'ils veulent transmettre.

Les conjoints et même les enfants sont importants car ils posent à chaque fois les bonnes questions, ils cherchent également à mieux connaître le passé de celui ou celle qui vit avec eux. Et puis il y a le voisin, sympa, qui vient donner un coup de main mais qui révèle, lui aussi, une partie de l'histoire de cette maison et de son propriétaire.

Et si on la gardait ? La question est posée par les enfants mais aussi les petits enfants qui découvrent leurs racines dans ce lieu et une autre façon de vivre.

Cette maison est fédératrice, les enfants s'y sentent chez eux, c'est le lieu de leurs jeunesses, de leurs jeux, de leurs apprentissages et elle leur ressemble.

C'est plein de nostalgie, de sourires, de souvenirs (par le jeu des fonds de couleur pour les retours en arrière), de tendresse et pour chacun, je pense, cela nous fait penser à un petit coin de notre enfance……

Et si on la gardait ????
Tout d'abord c'est un beau livre, présenté, pour moi, comme un album photos familial qui contient toutes les images du passé.

Après le décès de leur père trois enfants reviennent d'abord chacun leur tour dans la maison vide puis ils s'y retrouvent tous ensemble.

Le premier, José, c'est l'artiste de la famille, ne sachant pas bricoler bien au contraire tout s'aggrave quand il veut réparer. Il est accompagné de sa femme.

Puis c'est le tour de Vincente, l'aîné de la fratrie, digne descendant de son père, bricoleur astucieux mais râleur accompagné de sa femme Sylvia et son fils.

La dernière c'est Carla, la fille, celle qui a pris en charge son père durant les derniers mois afin de l'aider dans les démarches. Elle est mariée avec Cristobal.

Tous arrivent déterminés à ranger, trier, réparer afin de mettre la maison en vente le plus rapidement possible mais au fur et à mesure les souvenirs remontent et la décision de vendre n'est plus aussi certaine ni évidente.

Chaque objet est lourd de moments passés ensemble. Cette maison ils l'ont construite ensemble avec leurs parents, petit à petit et elle est le socle de leur famille. Chacun a des souvenirs différents suivant les caractères, les centres d'intérêt et ce qu'ils ont vécu auprès de leur père et de cette maison. C'est un peu comme le bilan de leur jeunesse : ce qu'ils ont appris, ce qu'ils en ont fait et ce qu'ils veulent transmettre.

Les conjoints et même les enfants sont importants car ils posent à chaque fois les bonnes questions, ils cherchent également à mieux connaître le passé de celui ou celle qui vit avec eux. Et puis il y a le voisin, sympa, qui vient donner un coup de main mais qui révèle, lui aussi, une partie de l'histoire de cette maison et de son propriétaire.

Et si on la gardait ? La question est posée par les enfants mais aussi les petits enfants qui découvrent leurs racines dans ce lieu et une autre façon de vivre.

Cette maison est fédératrice, les enfants s'y sentent chez eux, c'est le lieu de leurs jeunesses, de leurs jeux, de leurs apprentissages et elle leur ressemble.

C'est plein de nostalgie, de sourires, de souvenirs (par le jeu des fonds de couleur pour les retours en arrière), de tendresse et pour chacun, je pense, cela nous fait penser à un petit coin de notre enfance……

Et si on la gardait ????

Tout d'abord c'est un beau livre, présenté, pour moi, comme un album photos familial qui contient toutes les images du passé.

Après le décès de leur père trois enfants reviennent d'abord chacun leur tour dans la maison vide puis ils s'y retrouvent tous ensemble.

Le premier, José, c'est l'artiste de la famille, ne sachant pas bricoler bien au contraire tout s'aggrave quand il veut réparer. Il est accompagné de sa femme.

Puis c'est le tour de Vincente, l'aîné de la fratrie, digne descendant de son père, bricoleur astucieux mais râleur accompagné de sa femme Sylvia et son fils.

La dernière c'est Carla, la fille, celle qui a pris en charge son père durant les derniers mois afin de l'aider dans les démarches. Elle est mariée avec Cristobal.

Tous arrivent déterminés à ranger, trier, réparer afin de mettre la maison en vente le plus rapidement possible mais au fur et à mesure les souvenirs remontent et la décision de vendre n'est plus aussi certaine ni évidente.

Chaque objet est lourd de moments passés ensemble. Cette maison ils l'ont construite ensemble avec leurs parents, petit à petit et elle est le socle de leur famille. Chacun a des souvenirs différents suivant les caractères, les centres d'intérêt et ce qu'ils ont vécu auprès de leur père et de cette maison. C'est un peu comme le bilan de leur jeunesse : ce qu'ils ont appris, ce qu'ils en ont fait et ce qu'ils veulent transmettre.

Les conjoints et même les enfants sont importants car ils posent à chaque fois les bonnes questions, ils cherchent également à mieux connaître le passé de celui ou celle qui vit avec eux. Et puis il y a le voisin, sympa, qui vient donner un coup de main mais qui révèle, lui aussi, une partie de l'histoire de cette maison et de son propriétaire.

Et si on la gardait ? La question est posée par les enfants mais aussi les petits enfants qui découvrent leurs racines dans ce lieu et une autre façon de vivre.

Cette maison est fédératrice, les enfants s'y sentent chez eux, c'est le lieu de leurs jeunesses, de leurs jeux, de leurs apprentissages et elle leur ressemble.

C'est plein de nostalgie, de sourires, de souvenirs (par le jeu des fonds de couleur pour les retours en arrière), de tendresse et pour chacun, je pense, cela nous fait penser à un petit coin de notre enfance……

Et si on la gardait ????
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Ce n'est certes pas la première fois que je lis ce genre de bd sur des enfants qui perdent leurs parents et qui doivent se séparer de la maison familiale empreinte de souvenirs. La trame est hyper classique.

Alors, on essaye de se raccrocher à autre chose comme par exemple la sympathie des personnages. Encore faut-il les apprécier ce qui ne sera pas gagné d'avance. Mais bon, ce genre de bd joue sur la nostalgie du passé, sur les non-dits et sur le fait qu'un enfant se détache progressivement de ses parents pour voler de leur propres ailes.

L'auteur Paco Roca m'avait habitué à mieux. Ce n'est pas mauvais mais c'est déjà trop vu sans qu'il y ait ce petit plus qui ferait alors toute la différence sur d'autres oeuvres traitant exactement du même sujet. En tout cas, très déprimant pour ceux qui viennent de perdre un parent. Mais bon, c'est la vie.
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Une histoire banale : 3 frères et soeur mettent de l'ordre dans les affaires de leur père décédé un an plus tôt, et font quelques travaux dans la maison afin de la vendre. A cette occasion, les souvenirs resurgissent et la question se pose : "et si on ne la vendait pas ? et si on la gardait ?"
A la lecture de cette BD j'ai eu l'impression d'avoir déjà vu ces scènes des dizaines de fois dans des films. C'est le genre d'histoire où il ne se passe pas grand chose en apparence mais où se jouent toujours pas mal de choses en creux : rivalités qui rejaillissent dans la fratrie, rancoeurs, reproches, mais aussi solidarité et rigolades...
Pas mal de nostalgie dans cet album où chaque objet, même le plus banal, peut faire revenir une vague de souvenirs. Beaucoup de tendresse pour le père, qui ne pouvait pas passer une heure sans bricoler, jardiner ou faire des travaux, sollicitant l'aide de ses enfants en permanence et leur transmettant ainsi de nombreuses valeurs.
Les dessins sont réalistes, ils recherchent la simplicité comme l'était la vie de ce père, mais aussi la douceur et la nostalgie avec des couleurs chaudes en touches légères.
Un album agréable.
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