Suite de la découverte de la saga "Cobayes " ,ici le tome 3 dans l'ordre anachronique ; Benoît.
Les moins :
• La fin qui arrive trop vite !! Tous ces chapitres pour une fin en 2 ou 3 chapitres.. c'est très frustrant je trouve .
Les plus :
•Le personnage est fan de cinéma, donc de nombreuses références cultes cinématographique.
•J'ai adoré les personnages de Benoît mais aussi celui de Mini ou Minya , ils forment un couple atypique . Benoît avec son cahier à idée de scénario glauque voir gore et Minya peintre et artiste glauque et creppy . Ils forment le couple de psychopathe parfait !
•Le meutre des beaux parents et de loin mon passage préféré !
• Avec une mention pour la fin du roman qui nous laisse juste whaaaou car on s'y attend pas du tout !!
Tels un céphalophore ce roman m'a fait perdre la tête !!
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Il y avait un moment que je n'avais pas lu l'un des livres de la saga et c'est toujours un plaisir d'y retourner.
A chaque fois, on rejoint la vie d'un nouveau personnage qui se retrouve dans les laboratoires d'AlphaLab.
Dans celui-ci, on va un peu voyager. Si une partie se déroule au Québec, une autre se passe en Malaisie. J'ai bien aimé le dépaysement.
Il y a pas mal de références cinématographiques, mais assez générales pour que je puisse comprendre.
Vivement la suite
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Pour l'instant (il me reste à lire Elliot et Cédric), c'est le tome qui m'a le moins séduite, les personnages ne m'ont pas accrochée, c'est peut-être l'épisode le plus gore et je ne suis pas rentrée dans l'histoire...
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Un seul mot : décoiffant !
Benoît m'a vraiment touchée dans sa recherche de passion, de jouissances artistique monumentale. Il a de la "chance" de rencontre Minya. Partager ses peurs, ses doutes c'est bien mais quand il arrive le moment pour partager ses fantasmes, tiendrons-nous tous le coup 😁 ?
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Un seul mot : décoiffant !
Benoît m'a vraiment touchée dans sa recherche de passion, de jouissances artistique monumentale. Il a de la "chance" de rencontre Minya. Partager ses peurs, ses doutes c'est bien mais quand il arrive le moment pour partager ses fantasmes, tiendrons-nous tous le coup 😁 ?
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Michael Douglas est un acteur de l’ancienne génération, le genre de gars qui joue avec son corps entier, pas juste avec sa belle gueule. Tiens, Ben Affleck, par exemple. Son jeu est à l’opposé. Il affiche toujours son expression « je mange de la tarte aux pommes et c’est délicieux », qu’il soit dans une comédie romantique ou un drame fantastique.
On pardonne tout à ce genre de fille. Cheveux blonds, corps mince, pommettes saillantes, petit nez mignon, regard triste et profond. Visage rond à la Kirsten Dunst ou Keira Knightley.
Kuala Lumpur est une ville très dense sur le plan démographique. On parle d’un million six cent mille habitants, sept millions en comptant la banlieue. Ce n’est pas sécuritaire pour une jeune femme de déambuler dans un tel endroit.
C’est humain, tout le monde le fait avec la loterie et, pourtant, on y a pas mal moins de chances de toucher l’argent.
L’avantage des grandes villes comme Kuala Lumpur, c’est qu’elles ne dorment jamais.