j'ai suivi le fil, ou les fils tissés étroitement ensemble sans se perdre - l'écriture, un zeste d'érudition, avec la désinvolture discrète requise, un gros zeste d ‘ironie sans méchanceté, une sympathie qui me venait pour le chasseur de lions, Manet bien entendu et le narrateur, ses souvenirs, son regard, un jeu entre le récit et le présent juste un peu distancié. Et un ou deux moments de très léger agacement, sans importance, juste ce qu'il faut pour reprendre souffle (et ne saurais plus les retrouver, je crois).
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