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Laetitia Devaux (Traducteur)
EAN : 9782757882719
352 pages
Points (04/03/2021)
3.63/5   702 notes
Résumé :
En 2017, le premier roman d’une parfaite inconnue a constitué l’événement de l’année dans le monde des lettres anglo-saxonnes. Son titre ? Conversations entre amis. L’auteur ? Sally Rooney, alors âgée de 26 ans.
Peu de jeunes écrivains parviennent à raconter à la fois une histoire et une époque, ce que Sally Rooney a brillamment réussi avec ce premier texte.
L’action prend place à Dublin. Nous sommes loin du Dublin de Joyce, plutôt dans une ca... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (89) Voir plus Ajouter une critique
3,63

sur 702 notes
°°° Rentrée littéraire 2019 #19 °°°

Ce roman a connu un vif succès, critique et commercial à sa sortie outre-Manche. Sans doute parce qu'il est profondément contemporain, écrit par une jeune auteure irlandaise qui a su croquer un portrait plutôt tendre de la fameuse génération des Millenials à travers son héroïne narratrice, Frances : 21 ans, bisexuelle, poétesse vivant dans une grande précarité. A la fois mature et naïve, elle vit en pleine confusion des sentiments entre sa meilleure amie, ex-petite amie, Bobbi, et Nick, un bel acteur trentenaire marié, désabusé voire dépressif, dont elle tombe profondément amoureuse.

Cela se lit très facilement, beaucoup de dialogues, de conversations à deux, à trois, à plusieurs, de courriels pour dire au final le manque de courage à faire quelque chose de soi, la difficulté à s'engager, à se conformer, à aimer sans se renier.

Mais voilà, j'ai trouvé ce roman absolument minuscule et me suis profondément ennuyée à suivre ces personnages insignifiants ( je sauverai Nick, très touchant ), et ces petites coucheries entre amis sans réel enjeu. J'ai même souvent été agacée par la vacuité du propos et le manque de profondeur de ces personnages très nombrilistes.

Bon, on va juste dire, pour ne pas faire l'aigrie de service, que ce roman n'était pas pour moi, point final. Et vu les éloges qui ont plu au Royaume-Uni, le comparant à Jane Austen ou Salinger pour sa capacité à capter l'air du temps, ce n'est pas bien grave que je sois passée à côté.

Lu dans le cadre du jury Grand Prix des Lectrices Elle 2020 ( n°5 )
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Un premier roman de l'autrice irlandaise, Sally Rooney qui m' a plutôt plu. C'est un roman où l'amour et l'amitié se mêlent.
Frances, l'héroïne et narratrice est une jeune étudiante poétesse de 21 ans. Elle a vécu un temps avec Bobbi, une jeune étudiante du même âge en étant amantes. Un jour, elles rencontrent Melissa, une photographe d'une trentaine d'années, elle voudrait les aider à publier des poèmes. Melissa les invitent toutes les deux chez elle et lui présente son mari, Nick. Bobbi a le coup de foudre avec Melissa. Frances ressent de la jalousie face à cette attirance. Elle-même est très attirée par Nick.
C'est un peu les jeux de l'amour et du hasard...
Un roman où on se laisse aller par cette histoire. On ne sait pas trop l'évolution de ces personnages, mais il y a une certaine langueur qui nous attire à en savoir plus. Frances, on a que son point de vue, débarque dans cette vie artistique. A deux, à quatre ou plus ils conversent sur l'amour, l'amitié, la religion, le capitalisme. de sexe il en est beaucoup question, par contre les sentiments sont tabous, gommés par une certaine pudeur des personnages.
En résumé, j'ai bien aimé cette lecture vagabonde, un peu charmeuse et lointaine à la fois.
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✩ Présélection jury Grand Prix des lectrices ELLE 2020 ✩

Non mais là, à un moment, il faut que je vous dise, la vacuité de ce roman... c'est terrifiant... C'est un peu comme regarder dans les yeux d'un veau, sans l'apaisement lié au vide qu'on y perçoit.

Déjà, il faut dire que rarement un livre aura aussi mal porté son titre parce que de conversation il n'est aucunement question, et les personnages sont tout sauf des amis.

L'histoire est la suivante: Frances tombe amoureuse de Nick. Sauf que Nick est marié à Melissa. Melissa elle, elle aime bien Bobbi. Bobbi c'est une fille, c'est la copine de Frances. Elles ont fricoté au lycée. Et Bobbi voit pas d'un très bon oeil la relation de Frances avec Nick, même si elle est pas indifférente à Melissa, qui ne voit pas forcément de problème à ce que Nick et Frances se fréquentent, mais seulement si elle garde le statut de l'épouse de Nick...

Vous n'y comprenez rien? Normal, eux non plus. On dirait une saison des Feux de l'amour, sans la mise à distance kitsch.

Honnêtement je ne sais pas ce que l'auteure a voulu faire ou dire mais en substance c'est une histoire d'amour et d'adultère qu'on a déjà lue ou vue des centaines de fois, le panache en moins.

Autant c'était subversif quand Charlotte Brontë sortait Jane Eyre en 1847, autant aujourd'hui ça n'a plus grand intérêt et je ne pense pas qu'en 2019 il suffise d'ajouter une dose de bisexualité pour rendre la chose plus moderne.

Tout est insipide dans ce roman, les personnages n'ont aucune substance et sont comme des caricatures d'eux mêmes: des bobos artys qui se voudraient avant-gardistes mais se vautrent dans un moralisme social des plus pathétiques.

Tous se présentent ainsi comme progressistes, libres dans leur sexualité et leurs relations, mais en réalité chacun se révèle dans un strict conformisme: Frances veut l'exclusivité dans son couple, Melissa veut garder son statut marital, Nick aussi veut respecter les obligations du mariage...

A ce stade on se dit qu'on sera sauvé de ces pleurnicheries sentimentales par une substance plus politique puisque l'éditeur nous annonce fièrement que le roman se situe dans une "capitale poste crise économique où la jeunesse débat sur les ravages du capitalisme" et que "la voix de Frances (...) est celle de sa génération"

Là encore la désillusion frappe en plein visage, et personnellement j'aime pas trop ça, qu'on me frappe en plein visage.

Parce qu'alors si en 2019 débattre sur les ravages du capitalisme c'est se contenter d'écrire des choses comme "Philip souffrait d'avoir l'air riche lui aussi" ou de se définir comme "communiste" parce qu'on voudrait pas avoir "l'air riche" même si on fait des études en vivant aux crochets de papa et maman, dans un appartement mis à disposition par son tonton, tout en passant ses vacances chez des amis qui ont une villa en Bretagne...

Apparemment c'est encore écrire:

" j'ai dit que je ressentais parfois l'envie de rejeter mon appartenance ethnique, comme si, alors que j'étais de toute évidence blanche, je n'étais pas "vraiment" blanche, en tout cas pas comme les autres Blancs".

Là, alors là, je n'ai pas de mot.

Reprenons donc, on en est là: une bluette type Les mystères de l'amour en moins trash + une réflexion politique aussi intense qu'une mousse d'eau battue à l'air.

En l'absence de fond, reste la forme me direz-vous...

Et c'est encore un mawashi-geri, coup de pied circulaire dans la face tant le roman est dénué de style.

Je pense vraiment qu'il faut arrêter de qualifier de "poésie naïve" le vide syntaxique absolu.

Fait intéressant et révélateur, le parti pris étrange de supprimer les cadratins du récit, alors 1/ qu'on parle de sentiments (amour ou amitié peu importe) 2/ qu'on est supposé parler de "conversations".

Typographiquement, et donc symboliquement, c'est le dialogue qu'on supprime.

Et c'est précisément le gros défaut (enfin le plus gros, parce qu'il y en a beaucoup): il n'y a aucun échange, aucun dialogue.

On est face à un long monologue plaintif et autocentré, dépourvu d'humour et de recul.

On retrouve dans le récit ce qui, selon Brett Easton Ellis, caractérise cette génération des millenials: une quête constante et geignarde d'approbation mêlée à un vide existentiel vertigineux.

Chaque personnage se tripote le nombril en envoyant des textos, c'est à la fois vain et vaniteux, c'est vraiment terrible.

En bref, passez votre chemin, mais genre contournez ce roman de loin, très loin.


Lien : https://chatpitres.blogspot...
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Sally Rooney est une jeune auteure irlandaise dont les deux premiers romans ont été encensés par la critique anglo-saxonne. Conversations entre amis est son premier roman. le second paraîtra l'an prochain en France. J'étais très curieuse.

Ce roman ne m'a subjuguée ni par son style – que j'ai trouvé assez plat dans les parties narratives – ni par son intrigue – même si elle est bien menée. Et pourtant j'ai été embarquée direct, littéralement emballée, et j'ai dévoré les quatre cent pages de Conversations entre amis en trois jours (je n'étais même pas en vacances !). C'est un livre véritablement habité.

Au coeur de l'histoire il y a Frances, la narratrice. Et puis Bobbi, sa meilleure amie et ancienne amante. Elles ont vingt et un ans, sont étudiantes à Dublin. Lors d'une soirée où elles performent de la poésie, elles rencontrent Melissa, photographe et écrivaine, et son mari Nick, un acteur ; tous deux trentenaires. Conversations entre amis, c'est leur histoire, leurs histoires.

Par moments, j'ai pensé à du Woody Allen. Un quatuor avec des relations imbriquées et complexes, beaucoup de bavardages et d'introspection, le tout saupoudré d'un humour savoureux.

« Nous aussi, on était dans une école religieuse, a dit Bobbi. Ce n'est pas sans conséquences.
Melissa a souri en demandant : lesquelles ?
Eh bien, je suis gay, et Frances est communiste. »

J'ai adoré le ton de ce roman, sa fraîcheur. Sally Rooney cultive à merveille chez Frances et Bobbi l'ironie comme arme de protection massive. Elle raconte la vie de tous les jours d'une génération hyperconnectée et désabusée, aussi naïve que mature, non avare de paradoxes et plus pudique sur les sentiments que sur le sexe. Qu'en est-il de l'amour, de l'amitié et des rapports humains à l'heure de la crise économique et des réseaux sociaux ? Quand les interactions sociales se construisent via textos, mails et messageries instantanées, quand pour s'y retrouver dans une conversation Messenger commencée il y a plusieurs années, on procède à une recherche par mots-clés, pour savoir quand on a ensemble parlé d'amour ?

Sally Rooney ne mâche pas ses mots mais n'oublie jamais d'être tendre. Elle explore avec acuité et finesse l'attachement et sa complexité, les incompréhensions entre individus et toutes les difficultés que l'on peut avoir à communiquer aujourd'hui. J'ai aimé que l'auteure nous livre le portrait d'une Irlande contemporaine ouverte sur les différences.

Je me suis beaucoup attachée à Frances… il y aurait tellement à en dire ! Et en plus la fin du roman est très réussie ! Joie. Franchement, je n'ai qu'une hâte, lire le prochain Sally Rooney.

« Qu'est-ce donc vraiment qu'un ami ? demandait-on avec humour. Qu'est-ce donc vraiment qu'une conversation ? »
Lien : https://lettresdirlandeetdai..
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Quatre jeunes artistes et universitaires à Dublin : Nick, acteur, et Melissa, photographe et écrivaine, sont mariés. Les deux autres, Frances et Bobbi, étudiantes et performeuses, sont amies après avoir été amantes. Ces quatre personnes vont se rencontrer, nouer des relations amicales et amoureuses ambigües.
Bobbi et Melissa vont se tourner autour mais c'est surtout la relation entre Frances et Nick, et ses conséquences, qui, au coeur du livre, vont être disséquées et décortiquées par Sally Rooney avec l'acuité qu'on lui connaît depuis Normal people.
Raconté comme ça, Conversations entre amis pourrait être qualifié de romance à l'eau de rose ou d'histoire d'adultère. Or ce n'est pas du tout le cas.
Parce que les personnages de l'autrice ne vont pas bien ; ils sont écorchés, dépressifs, mal dans leur peau et dans leur corps. Ce sont des jeunes gens qui hésitent, qui manquent singulièrement de confiance en eux et n'assument pas forcément leurs décisions en en rejetant le poids sur les autres.
Parce qu'elle nous propose une radiographie psychosociale subtile d'une jeunesse irlandaise désabusée qui, sur fond de crise, ne se projette pas dans la vie active et est traversée par de nombreux questionnements sur les relations entre les hommes et les femmes, les rapports de domination et de classe, les choix d'orientation sexuelle.
Sally Rooney excelle dans la description des tergiversations amoureuses, des jeux de l'amour et du hasard.
Elle campe des personnages sensibles, humains, dotés d'une sorte d'élégance relationnelle faite de respect et d'attention aux autres. Ils se font mal parfois mais ce n'est jamais intentionnel et ils s'excusent souvent.
Quel est son secret pour nous embarquer aussi facilement dans cette histoire ? Un style plat, froid, clinique, au ras des choses, qui paradoxalement fait saillir les émotions et les sensations des protagonistes ? Une attention à des détails de la vie quotidienne et de la vie intime qui rend certaines scènes saisissantes de vérité ? Des dialogues ciselés, incorporés à la narration, qui gardent une part de mystère?
Nous ne saurons pas exactement mais Conversations entre amis est un récit à fleur de peau qui aura su nous faire vibrer.
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critiques presse (3)
LaLibreBelgique
31 mars 2021
Les éditeurs se sont battus pour l’éditer, les lecteurs se ruent pour la lire : Sally Rooney est, depuis son premier roman, "Conversations entre amis", ce qu’on doit appeler un phénomène.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
LaPresse
18 octobre 2019
Dans Conversations entre amis, son premier roman, l’écrivaine irlandaise de 28 ans traduit avec brio cette période de la vie où tout est en mouvement, où rien n’est encore fixé. [...] Les dialogues de Rooney coulent de source, tout est dit finement, sans appuyer. Ce roman est une vraie réussite.
Lire la critique sur le site : LaPresse
Actualitte
23 septembre 2019
Si l'adultère paraît un thème éculé, le traitement qui en est fait par Rooney est un modèle de subtilité. À la fois roman d'apprentissage et roman psychologique, Conversations entre amis nous entraîne dans les recoins de l'âme de Frances, en plein doute quant à qui elle est vraiment et la première étonnée par l'histoire qu'elle vit avec Nick.
Lire la critique sur le site : Actualitte
Citations et extraits (37) Voir plus Ajouter une citation
Je sais restée assise devant mon écran d’ordinateur jusqu’à ce qu’il devienne tout noir. J’accorde de l’importance à des choses que les gens normaux estiment insignifiantes. J'ai besoin de me détendre, de lâcher prise. Je devrais essayer la drogue. Ces pensées n’avaient rien d'inhabituel pour moi.
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Je ne savais pas pourquoi, mais j’étais heureuse que ma poésie soit écoutée et non publiée. Elle semblait flotter loin de moi, emportée par les applaudissements. Les vrais écrivains, mais aussi les peintres, n’avaient d’autre choix que de continuer à voir les horreurs qu’ils avaient produites. Je détestais l'idée que tout ce que je faisais soit aussi laid, mais aussi le fait de manquer de courage pour me confronter à cette laideur.
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Melissa n'apparaissait sur aucune des photos, ce reportage sur notre dîner n'avait par conséquent qu'un rapport biaisé avec la véritable scène. En réalité, toutes les conversations avaient tourné autour d'elle. C'était elle qui déclenchait nos expressions hésitantes ou admiratives. C'était à ses plaisanteries que nous riions. Sans trace de sa présence, le dîner prenait une toute autre dimension, se dispersant dans des directions subtiles et étranges.
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Tu dois l'aimer, me disait-elle quand j'avais seize ans. C'est ton père.
Qui dit que je dois l'aimer ? disais-je.
J'ai envie de croire que tu es le genre de personne qui aime ses parents.
Crois ce que tu veux.
Je crois que je t'ai appris à être gentille avec les autres. Voilà ce à quoi je crois.
Etais-je gentille ? La réponse n'était pas évident. Je craignais que, si ma véritable personnalité se révélait enfin, je ne fasse partie des méchants. Cette question me taraudait-elle uniquement parce que, en tant que femme, je sentais que je devais faire passer les besoins des autres avant les miens ? La gentillesse était-elle simplement synonyme de soumission ? Adolescente, voici le genre de choses que j'écrivais dans mon journal : en tant que féministe, j'ai le droit de n'aimer personne.
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Au bout d'un moment, les traits de mon visage ont semblé se détacher, ou du moins ne plus être reliés entre eux, comme un mot qu'on a lu tant de fois qu'il en perd tout son sens. Je me suis demandé si j'allais faire une crise de panique.
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Videos de Sally Rooney (5) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Sally Rooney
Le fil rouge de ce nouvel épisode ? L'amour.
Sept conseils de lectures, proposés par sept libraires de Dialogues, des livres pour tous les âges, pour tous les goûts, pour toutes les sensibilités, et qui, chacun, nous parle d'amour à sa façon.
Voici les livres cités dans cet épisode :
Normal People, de Sally Rooney (éd. de l'Olivier) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/18431293-normal-people-sally-rooney-editions-de-l-olivier ;
Ada et Graff, de Dany Héricourt (éd. Liana Levi) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23009211-ada-et-graff-dany-hericourt-liana-levi ;
J'ai péché, péché dans le plaisir, d'Abnousse Shalmani (éd. Grasset) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23136090-j-ai-peche-peche-dans-le-plaisir-abnousse-shalmani-grasset ;
Forough Farrokhzad, oeuvre poétique complète (éd. Lettres persanes) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/13210169-forough-farrokhzad-oeuvre-poetique-complete-forug-farroh-zad-persanes ;
Je serai le feu, de Diglee (éd. La ville brûle) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/19776423-je-serai-le-feu-diglee-la-ville-brule ;
Les Choses de l'amour, de Dorothée de Monfreid (éd. Misma) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/16724027-les-choses-de-l-amour-dorothee-de-monfreid-misma ;
Le Chevalier aux épines, tomes 1, 2 et 3, de Jean-Philippe Jaworski (éd. Les Moutons électriques) : https://www.librairiedialogues.fr/recherche/?q=le+chevalier+aux+%C3%A9pines ;
Sans crier gare, de Gary D. Schmidt (éd. École des Loisirs) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23027151-sans-crier-gare-gary-d-schmidt-ecole-des-loisirs ;
Plein ciel, de Siècle Vaëlban (éd. Castelmore) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23128671-plein-ciel-edition-reliee--siecle-vaelban-bragelonne.
+ Lire la suite
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