C'est toujours un plaisir de découvrir un nouvel album de Pico Bogue. Un petit gag scato pour se mettre en train au début de l'album, mais c'est surtout plein de sagesse et de philosophie, avec, dans cet album, la violence comme thématique récurrente.
Pico est un garçon qui réfléchit à ce qui l'entoure, ses relations avec le monde, avec les autres, un album cultivé, avec quelques notions d'étymologie, d'Histoire, et qui offre un regard d'enfant sur les absurdités du monde adulte.
treizième album, et c'est toujours aussi bon.
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Qu'il est mignon ce petit Pico, qui philosophe à l'école et à la maison !
Je découvre ce jeune et amusant petit personnage rouquin, avec les cheveux en folie ! Je découvre sa petite soeur Ana Ana trop rigolote, et ses parents. Je découvre ses petits copains d'école, surtout Barnabé, en quête d'infos pour son exposé sur la violence.
J'ai aussi beaucoup aimé les aquarelles très colorées de ce petit album.
Ce petit bonhomme, n'est pas sans me rappeler Mafalda. Moins politique, mais aussi impertinent !
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Un nouvel opus des histoires de Pico Bogue qui réfléchit toujours avec ses amis et sa famille au sens des mots et de la vie. Dans ce tome, Barnabé veut faire un exposé sur la violence, thème qui deviendra un des fils conducteurs de l'album.
Une BD qui permet de philosopher et s'instruire tout en riant et en passant un très bon moment de lecture qui peut facilement être intergénérationnel. Sans oublier le plaisir pour les yeux, tant le dessin est beau et expressif !
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La problématique de cet album est la violence. Et le héros omniprésent à chaque détour de page n'est pas Pico mais Barnabé. En effet c'est lui qui prend la parole pour se questionner sur la violence et en faire un exposé pour ses camarades. Cela donne un véritable débat sur ce qui est violent et ne l'est pas. Pour finir en apothéose avec non pas un tonnerre d'applaudissements, mais un violent applaudissement. Sans oublier les autres problématiques abordées : la lecture, le boutonnage ou les cadeaux.
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Le plaisir de retrouver Pico et se copains qui ici réfléchissent à la violence. Leurs réponses sont parfois attendues, drôles mais sans méchanceté; Bref un vrai plaisir de gourmet que de retrouver ce dessin. On se trouve à la limite de l'illustration de livre.
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Allez, sans hésiter un moment, sur le chemin, aux côtés de Pico Bogue, ses amis et sa famille. Une belle occasion de s'amuser, de rire et de prendre conscience par moment, du sens de la vie.
Lire la critique sur le site : Sceneario
- Je me demande si les enfants jouent à la guerre pour imiter les adultes et leurs vraies guerres ou bien si ce sont les adultes qui, pour rester jeunes copient les enfants jouant à la guerre.
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- A mon avis, les adultes ne copient pas les enfants qui se posent ce genre de question.
- Si on décortique le mot "discussion", il signifie en latin, "secouer pour mettre en morceaux ce que tu dis".
- Ah non! J'ai eu assez de mal à rassembler mes idées!
Je me demande si les enfants jouent à la guerre pour imiter les adultes et leurs vraies guerres... ou bien si ce sont les adultes qui, pour rester jeunes... copient les enfants jouant à la guerre.