Tif et Tondu se retrouvent à nouveau sur la Côte d'Azur, les veinards ! En 1964, zut ! J'aurais pu les croiser et leur demander un autographe !
Bon, au départ, c'est pour écrire leurs mémoires mais c'est sans compter sur M. Choc qui va y rajouter un chapitre !
Une histoire assez originale sur un canevas éprouvé : nos héros prisonniers auront bien sûr finalement raison du gentleman au heaume.
Souvenir de l'album précédent, Tif et Tondu se pavanent dans une splendide Narval rouge et les policiers filent en 403 noire et la Côte n'est pas encore bétonnée. Heureuse époque !
Commenter  J’apprécie         110
Tif et Tondu se rendent sur la côte méditerranéenne dans une villa au bord de mer prêtée par un admirateur inconnu. Cette villégiature va vite s'avérer être un piège tendu à nos deux héros. Même si on se doute très vite de l'identité du piégeur, le suspense est très prenant, le rythme est soutenu,...et j'ai aimé y découvrir quelques petites particularités du milieu des années 60 : peu de monde a le téléphone et la côte n'est pas encore complètement bétonnée. C'est une aventure sympathique et distrayante.
Commenter  J’apprécie         90
Un bon album de Tif et Tondu , dessin et scénario. Plein de mystères dans cette histoire , même si on devine rapidement qui se cache derrière tout ça .Une bonne Bd comme on aimait dans les années 60..
Commenter  J’apprécie         30
Bien sûr, on peut se pâmer d’admiration devant le dessin de Will et le génie d’intrigue de Rosy, mais qu’a-t-on appris que nous ne savions déjà ? [...] Pas grand chose, en se contentant de les regarder de l’extérieur [...].
Lire la critique sur le site : Chro
Placés sous les strips d'origine (reproduits en noir et blanc, naturellement), les commentaires du spécialiste Hugues Dayez décryptent avec concision une oeuvre très influencée par le Hitchcock de La Mort aux trousses, mais aussi par Gaston Leroux, Agatha Christie ou encore l'architecte américain Frank Lloyd Wright. Longtemps critiqué en raison d'un certain statisme, le dessin de Will apparaît ici renversant de simplicité.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Et nous n'aurons ni radio, ni téléphone, ni télévision, le rêve, quoi.