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Critique de simoncailloux


Ce roman est inspiré du livre de Job de la Bible que j'ai lu deux fois et j'ai ensuite lu plusieurs commentaires du texte biblique. Tout individu peut penser à ce texte biblique lorsqu'il connait des difficultés existentielles en cascade. Personnellement, j'ai constaté dans le texte biblique à la fin du livre lorsque Job se tourne vers Dieu et Lui pose des questions, Job eut des explications de Dieu tout à fait hors du cadre de ses questions et ça m'a posé problèmes. Job, roman d'un pauvre reprend bien l'idée maitresse du texte biblique.

Mendel Singer a trois fils : Jonas, Schermarjah et Menuchim le cadet. Il a une fille Mirjam. Son épouse est Deborah. Il est juif et habite une pauvre demeure en empire Austro-Hongrois (En Russie) et enseigne les Ecritures à de jeunes enfants. Menuchim est handicapé et n'arrive pas parler. le ménage se dit : « Qu'a-t-on fait au ciel pour qu'il en soit ainsi ? » Ils vont voir un rabbin à qui on peut attribuer des miracles de guérisons, mais celui-ci se contente de dire, votre fils guérira, ajoutant ça durera longtemps. Il dit aux parents n'abandonnez pas cet enfant ! Jonas effectue son service militaire, Schermarjah déserte et part aux Etats-Unis. Il invite ses parents à le rejoindre. Mendel et son épouse Deborah décident de partir au nouveau monde, accompagné de leur fille Mirjam. Ils vendent leur maison à un ménage à qui ils confient Menuchim. En Amérique, ils espéraient trouver un monde complètement différent dans lequel il aurait été possible d'oublier immédiatement leur ancienne vie et Menuchim. Mais cette Amérique-là n'était pas un nouveau monde. Il y avait ici plus de juifs qu'à Kluczysk.

Ils reçurent une lettre de Russie disant que Menuchim retrouvait la parole. La guerre éclatât, ils n'arrivaient plus à recevoir des nouvelles de Jonas dont ils envisageaient la mort. Schermarjah parti au combat et y laissa la vie. Déborah mourut et Mirjam malade, très affecté fût, internée en psychiatrie pour ne jamais en sortir. La famille avait eu beau implorer le ciel, les choses ne s'amélioraient pas.

Mendel se faisait beaucoup de soucis et se cru responsable de tout ce qui arrivait. La vie n'étant pas meilleur en Amérique, il rassemblait toutes les économies de Deborah et les siennes, mais le reliquat ne suffisait pas pour payer le voyage.

Un voisin revenu emballé d'un concert raconta à Mendel avoir entendu un orchestre Russe en tournée en Amérique et il se fait qu'a sa tête un imminent compositeur du nom de Kossak se révéla être Menuchim. Mendel pu le rencontrer. Il était très heureux, le miracle était accompli.

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