Entre le livre et le magazine, Ramdam c?est LA lecture indispensable de tous les garçons et les filles, du collège au lycée.
Il a été pensé pour toi, et maintenant, c?est à toi de te l?approprier !
Pioche dans les articles courts, dévore les dossiers de fond, inspire-toi des DIY, réponds aux tests, stabilote tout ce qui t?intéresse? TOUT CE QUI T?AGITE EST LÀ !
AVEC : Élodie Bazin (cheffe pâtissière), Saïd Bennajem (champion de boxe), Arthur Cailleau (L'ado accro aux livres sur Instagram et Facebook), Anna Casanova (voix de l'émission Fresh sur Nickelodeon), Solène Chardronnet (journaliste au Monde des ados), Margot Cirou (du blog You Make Fashion), l'équipe des Juniors Assos, Marine Leleu (coach sportive et youtubeuse), Sarah Roubato (blogueuse et autrice), Vanessa Slimani (psychiatre spécialiste du sommeil), Talks with a spy (ancien espion et youtubeur)...
ET AUSSI : Benjamin, Xiali, Nawel, Wassila, Simy?Des gens comme toi !
Les avis de nos lecteurs :
« C'est un ouvrage remarquablement riche et à la portée d'enfants de 11 à 15 ans. »
« Ma fille a beaucoup aimé, elle pioche dans les articles. Il y a de la BD, il y a des témoignages, des quiz... Elle le parcourt et elle pioche. C'est une réussite ! »
« J'aime beaucoup le côté mi-magazine, mi-livre. Je vous félicite pour le niveau de langue utilisé, parce qu'aujourd'hui nos ados sont exposés à un niveau de langue qui peut parfois être assez pauvre. Là, les choses sont dites avec un niveau de langue que l'on attend nous, en tant que parents. »
« Les dossiers sont très complets, vous nous rendez un fier service avec le dossier sur la sexualité ! »
http://www.fleuruseditions.com/ramdam-2-l23914
Sarah Roubato/5
11 notes
Résumé :
Partout en France et ailleurs, ils sont sur le point d’avoir trente ans. Une foule d’anonymes qui cherchent à habiter le monde ou à le fuir, à dessiner leurs rêves ou à s’en détourner. Au cœur du tumulte, ils s’interrogent, se font violence et ce sont leurs voix que l’on entend se déployer.
Roman choral de l’espoir et des désillusions aux monologues finement entrelacés, 30 ans dans une heure dresse le portrait d’une jeunesse en proie aux désirs et aux... >Voir plus
Roman choral de l’espoir et des désillusions aux monologues finement entrelacés, 30 ans dans une heure dresse le portrait d’une jeunesse en proie aux désirs et aux... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9)
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Ce livre peint toutes les nuances de notre rapport au monde : désespéré, méfiant, fainéant, plein d'espoir, le renoncement. L'auteur nous tend un miroir sans complaisance et en même temps bienveillant, attentif. Sur nos doutes, nos failles.
Tout passe par de petites scènes, de tous petits moments qui ont l'air si insignifiants et où pourtant, tout se joue parfois. Sarah Roubato parvient à les pister, ces petits moments. Elle ne s'occupe pas des faits, elle s'occupe des choses possibles qu'on laisse de côté. Ce à quoi on rêve, ce à quoi on renonce. Elle va chercher très loin et en même temps, rien d'intello dans cette écriture. Limpide et qui coule. On est presque étonné de le lire si facilement. Et on peut y revenir sans ordre chronologique puisque l'auteur nous l'épargne. J'ai relu quelques "scènes" de personnages, et je ne vois plus mon environnement de la même manière.
Un livre qui nous interroge bien au-delà des trentenaires, comme un document sur notre époque aussi.
Tout passe par de petites scènes, de tous petits moments qui ont l'air si insignifiants et où pourtant, tout se joue parfois. Sarah Roubato parvient à les pister, ces petits moments. Elle ne s'occupe pas des faits, elle s'occupe des choses possibles qu'on laisse de côté. Ce à quoi on rêve, ce à quoi on renonce. Elle va chercher très loin et en même temps, rien d'intello dans cette écriture. Limpide et qui coule. On est presque étonné de le lire si facilement. Et on peut y revenir sans ordre chronologique puisque l'auteur nous l'épargne. J'ai relu quelques "scènes" de personnages, et je ne vois plus mon environnement de la même manière.
Un livre qui nous interroge bien au-delà des trentenaires, comme un document sur notre époque aussi.
Il y a la forme. Celle de Sarah Roubato, je la connais depuis ses premiers ouvrages ("Lettres à ma génération" et "Trouve le verbe de ta vie"). Je ne suis pas surpris qu'elle m'enchante à coup de petites phrases dont le légèreté compense la charge sur le fond.
Car il y a toujours le fond. Celui d'une observatrice passionnée du monde. Inquiété mais, au final, jamais désespérée.
Qu'y a-t-il de Sarah dans toutes ces réalités/fictions que, d'ordinaire, nous ne voyons pas, nous ne pensons pas ? Jamais rien, jamais tout. Il y a assurément le coeur de son regard à la fois volontairement naïf, plein d'une vie exceptionnellement riche, et des savoirs, jamais arrogants, qu'elle a construit.
Bref, la lecture de ce livre court est une heure salutaire, qu'on approche ou non des trente ans.
Car il y a toujours le fond. Celui d'une observatrice passionnée du monde. Inquiété mais, au final, jamais désespérée.
Qu'y a-t-il de Sarah dans toutes ces réalités/fictions que, d'ordinaire, nous ne voyons pas, nous ne pensons pas ? Jamais rien, jamais tout. Il y a assurément le coeur de son regard à la fois volontairement naïf, plein d'une vie exceptionnellement riche, et des savoirs, jamais arrogants, qu'elle a construit.
Bref, la lecture de ce livre court est une heure salutaire, qu'on approche ou non des trente ans.
Une écriture d'une grande justesse qui interroge notre capacité à habiter le monde sans compromission dans une société désenchantée.
Par les regards et les voix intérieures de personnages qui pourraient bien être ce voisin ou cet inconnu croisé dans le métro sans le savoir et sans se voir, Sarah Roubato pose des mots incisifs et rêveurs sur les maux de toute une génération perdue dans ses solitudes et ses désillusions.
On voudrait corner chaque page, garder et déplier les pépites en soi pour longtemps.
Un roman pour tous les grands rêveurs incapables de renoncer. Pour ceux qui ont renoncé aussi, car on referme ce livre en ouvrant les yeux sur un monde changé : celui d'une existence à se réapproprier, ici et maintenant, dans l'étendue d'autres possibles.
Par les regards et les voix intérieures de personnages qui pourraient bien être ce voisin ou cet inconnu croisé dans le métro sans le savoir et sans se voir, Sarah Roubato pose des mots incisifs et rêveurs sur les maux de toute une génération perdue dans ses solitudes et ses désillusions.
On voudrait corner chaque page, garder et déplier les pépites en soi pour longtemps.
Un roman pour tous les grands rêveurs incapables de renoncer. Pour ceux qui ont renoncé aussi, car on referme ce livre en ouvrant les yeux sur un monde changé : celui d'une existence à se réapproprier, ici et maintenant, dans l'étendue d'autres possibles.
une belle découverte pour moi que cette première lecture que j'ai immédiatement eu envie de partager. Car les personnages qui évoluent, doutent et s'affirment dans ce livre, nous les connaissons tous. C'est moi, cette amie, ce frère, tous ceux qui cherchent leur place dans un monde obscur. le sujet abordé est vaste mais parfaitement saisi, sur le vif, par Sarah Roubato qui nous propose une promenade au hasard de questionnements universels. Je vais suivre cet auteur qui a mon avis nous réserve encore de très belles lectures.
Il y a longtemps que j'attendais une telle rencontre. Avec une écriture puissante, poignante, une vision du monde impitoyable et généreuse à la fois. Il y a dans certains paragraphes le style des plus grands. Et une proposition où ce qui importe n'est pas le récit avec des personnages construits, mais ces petits moments où l'auteure parvient à capturer toute la vérité d'une situation, avec une impressionnante justesse et maturité. Une auteure à suivre, qui fera parler d'elle.
Citations et extraits (3)
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Demain, j'ai rendez-vous avec ce qu'on attend de moi.
La place que je tiens ne m'appartient pas. Dans le fond, si je disparaissais ça ne changerait pas à la vie de tous ces gens qui me sautent au cou...
Pour la première fois, ma vie danse avec moi sur le quai des possibles (fin).
La place que je tiens ne m'appartient pas. Dans le fond, si je disparaissais ça ne changerait pas à la vie de tous ces gens qui me sautent au cou...
Pour la première fois, ma vie danse avec moi sur le quai des possibles (fin).
Un animal a envie de chialer en moi
Il y a des jours où j'aimerais que quelque chose me maintienne quelque part. Que je puisse dire ce que je fais ici. Qu'il y ait une raison.
Il y a des jours où j'aimerais que quelque chose me maintienne quelque part. Que je puisse dire ce que je fais ici. Qu'il y ait une raison.
"À croire que le rêve c'est un muscle, ça doit s'atrophier si on ne l'utilise pas"
"Demain j'ai rendez-vous avec ce qu'on attend de moi"
"Je me sens la taille d'une comète à qui l'on offre l'espace d'un bac à sable"
"Demain j'ai rendez-vous avec ce qu'on attend de moi"
"Je me sens la taille d'une comète à qui l'on offre l'espace d'un bac à sable"
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