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Philippe Bertin (Narrateur)
EAN : 9782356450005
Alexis Brun Productions (25/11/2007)
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3.67/5   1169 notes
Résumé :
Lorsqu'il commence à écrire les Rêveries à l'automne 1776, Rousseau est un vieil homme proche de la mort, presque pauvre, célèbre dans toute l'Europe et pourtant assuré que l'espèce humaine le rejette. II continue cependant d'écrire et les Rêveries sont à ses yeux la suite des Confessions. Mais il ne s'agit plus désormais de raconter sa vie ni de s'expliquer aux autres pour dévoiler sa vraie nature. Les souvenirs épars qui remontent maintenant à sa mémoire, c'est po... >Voir plus
Que lire après Rêveries du promeneur solitaire Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (70) Voir plus Ajouter une critique
3,67

sur 1169 notes
Dans la littérature française du XVIIIe siècle, Jean-Jacques Rousseau est considéré comme un ré-novateur du sentiment de l'existence. Il croit en l'existence d'une certitude intérieure, d'une "activité mystique" qui prend sa source dans l'âme. Il pense que la peinture parfaite, la plus fidèle ne peut venir que de l'intérieur. En 1776 il décide "d'enregistrer", ces dernières "contemplations charmantes" susceptibles d'éclairer toute une existence. C'est ainsi que se constitue cette dernière oeuvre inchevée de Rousseau. Une question demeure cependant ouverte : y a-t-il rêveries authentiques ou plutôt libres discours sur la volupté de rêver ? Pour moi, le sentiment d'une évidence : l'écriture de soi tend vers le bonheur durable, simple, plein ("suprême félicité" ) que seule la reconquête de soi peut assurer.
L'affirmation d'une réclusion à perpétuité dans une parfaite solitude du "je" se fait sans détours. le rôle de l'écriture apparaît comme double: tout en participant au processus de "vitrification" la parole devient comme une sorte de seconde d'existence, enrichie, augmentée par le plaisir réel d'écrire, de s'écrire.
Le ton général est celui de l'introspection puisque Rousseau proclame son isolement, son exclusion totale de la société : "tout est fini pour moi sur la terre". La formule généralisante désigne à la fois l'ensemble des relations avec le monde sensible et un rapport privilégié avec la divinité. Par-delà l'humilité que suppose une précaire condition de simple créature humaine, "pauvre mortel infortuné", il importe d'atteindre une sorte de "nullité" qui permet d'être soi-même sans contrainte. "Je suis nul désormais parmi les hommes, et c'est tout ce que je puis être, n'ayant plus avec eux de relation réelle, de véritable société". La solitude devient ainsi "négation de la négation" selon l'expression de Jean Starobinski puisque la société est le refus collectif d'un état de nature. C'est donc précisément pour éviter toute aliénation par le corps social corrompu que Rousseau coupe tout lien matériel avec la société. Dans une sorte de litanie ("je n'ai plus en ce moment ni prochain, ni semblable, ni frère", "seul pour le reste de ma vie"), sur le ton de la complainte acceptée, Rousseau définit le véritable projet du livre : "[ne] m'occuper [plus] que de moi". Il s'agit donc "d'accomplir par la rêverie une transmutation des sentiments et des passions, pour atteindre la certitude primaire d'un être dépouillé, et qui, comme Dieu se dérobe au domine de la possession, de l'avoir, pour demeurer un être pur comblé naturel":
Dès qu'il s'agit de saisir la mouvance immobilisée du moi intérieur un problème se pose cependant, celui d'une extériorité paradoxale. L'analyse de soi se veut "examen sévère et sincère", rigoureuse observation ("les opérations que font les physiciens sur l'air pour en connaître l'état journalier", "le baromètre à mon âme"). Cependant le pouvoir ordonnateur de la réflexion méthodique et systématique semble ainsi rejeté. La métaphore météorologique suggère, en plus de la versatilité d'une âme encore active le mouvement alternatif du livre lui-même, "informe journal de ses rêveries". Au bout du compte, on décèle dans ce livre une finalité morale assez proche, ("le compte que je ne tarderai pas à rendre de moi", car le narrateur s'achemine vers le terme de sa vie et il lui appartient de s'étudier, s'examiner pour "corriger le mal qui peut y rester", ainsi que pour jouir, par la mémoire créatrice, d'un bonheur révolu. L'écriture devient donc un moyen de "fixer", de "faire renaître pour moi le temps passé". Si la rêverie pure est muette et intérieure, le verbe la transforme en rêverie seconde. La lecture ne sera qu'un plaisir accru, jouissance multipliée : "leur lecture me rappellera la douceur que je goûte à les écrire […] doublera pour moi pour ainsi dire mon existence". Que de bonheur ! Écrire et se cacher, fuir les hommes seraient donc pour Rousseau indissociables.
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De la nécessité de relire les textes « imposés » au collège…

Publié en 1782, « Les rêveries du promeneur solitaire » alors que Rousseau n'est plus… Une oeuvre de la maturité ? de la résignation ? de la justification ?
Peut-être un peu tout ça … Qu'importe : une lecture de collégien et une relecture partielle pour « composer » cette modeste chronique…

Un souvenir : une lecture fastidieuse et ennuyeuse.
Un constat, actuel, à l'âge mûr : prose d'une grande beauté, introspective, élégante… Un vagabondage intellectuel et physique… Des questionnements que l'âge encourage… Un vague à l'âme, un vague à l'âge…
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Voilà un livre que j'ai choisi de relire dans le cadre de ma 3ème année de licence. Pour une fois qu'on nous donne le choix d'une lecture, je n'allais pas m'en priver !

Lu une première fois au collège, le livre m'avait marquée par son ton (je pensais que Rousseau était définitivement misanthrope ce qui convenait fort bien à mon état d'esprit à l'époque) et par la place que l'auteur accordait à la nature. Deux décennies plus tard, je retrouve avec plaisir les états d'âme de Rousseau.

Cette oeuvre inachevée est celle de la maturité, de l'acceptation du monde. Au fil de ses promenades, Rousseau se réconcilie avec l'idée qu'il se fait de lui-même. Mener une vie paisible et quelque peu isolée (son isolement fut subi au départ, et finalement recherché vers la fin de sa vie) herboriser, c'est un peu le secret du bonheur. Il ne cherche plus à se justifier (Rousseau écrit pour lui, non pour le lecteur) mais part du constat que puisque la société des hommes ne lui a apporté que des désagréments, il vaut encore mieux s'en passer.

Une certaine ambiguité plane sur ces réflexions : Rousseau s'éloigne de la société des hommes à force d'amères désillusions et de souffrances. Il trouve enfin la paix dans l'isolement et cependant il ne hait point ses semblables. Il écrit pour lui, pour parfaire sa connaissance de soi et cependant, un lecteur lui est nécessaire.

Le personnage lui-même était bourré de contradictions (mais qui ne l'est pas ?). Il abandonne ses enfants à l'assistance publique mais écrit un traité sur l'éducation, épouse une lingère dont la personnalité est à mille lieux de la sienne mais tombe régulièrement amoureux de belles dames, ce qui lui occasionne bien des brouilles avec ses amis, se fait de nombreux ennemis "littéraires" et se croit victime d'un complot (mais comment démêler le vrai du faux ?), mais sa nature soupçonneuse finit même par décourager ses véritables amis... bref, un homme qui était vraisemblablement destiné à vivre seul...

Enfin, il insiste pour ne pas confondre rêveries et méditations mais la frontière demeure parfois floue entre ces deux notions. Et ces rêveries sont nécessaires à l'homme.

Résigné peut-être, indifférent assurément, Jean-Jacques Rousseau nous offre ses plus belles pages sur la recherche du bonheur et l'introspection. S'il règne un parfum de mélancolie sur cette oeuvre, il ne s'en dégage pas moins une impression de paix et de sérénité, une harmonie découlant du contact répété avec la nature, qui constitue le réel point d'ancrage de la vie de Rousseau. Un très beau livre pour lequel j'ai toujours autant d'affection.

"La source du vrai bonheur est en nous".

Lien : http://lectures-au-coin-du-f..
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Dans les Rêveries du promeneur solitaire, nous sommes confrontés à un Rousseau " seul et négligé", partagé entre son désir de solitude et celui d'aller à la rencontre de ses semblables, tentant de soulager les terribles doutes qui l'assaillent et le besoin irrépressible de répondre à ses persécuteurs.
Ce roman doit sa pérennité à la tension irrésistible créée par la la juxtaposition de la facette philosophique, sobre et méditative de Rousseau et de sa rage passionnée contre les fléaux de la société. Il souhaite se montrer en paix avec lui-même dans son dernier livre, complètement détaché de la société et heureux de l'être : pourtant sa fierté et son sens de l'injustice le trahissent sans arrêt.
Ce récit est donc un précurseur des grands romans écrits sur le thème de la solitude et du désespoir des écrivains.
Ma promenade préférée ? Peut-être la septième...
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Jean-Jacques Rousseau, par ses idées, surtout ses idées politiques, a fait réagir un grand nombre de personnalités. Ce livre est une dernière autobiographie. le style de cet ouvrage est différent de celui du « Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes », qui est antérieur. Ici, Rousseau semble fatigué, épuisé par les méchancetés qui lui ont été faites.
« Consacrer sa vie à la vérité » est la devise de Jean-Jacques. On sent à quel point il y tient dans sa quatrième promenade, quand il attaque vertement le mensonge. Pour Rousseau, l'homme est naturellement bon. Je pense qu'à la fin de sa vie, en écrivant cet essai, il ait révisé son point de vue, car ce livre est carrément un procès à la société des hommes : il est devenu misanthrope.
Comment le mal peut-il jaillir dans une société composée d'hommes "bons", comme il disait ?.... A creuser 😊
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JJ écrit cet essai en dix promenades de son âme, pour se défouler sur les hommes qui ont profité de lui, qui ont eu des regards mauvais sur lui, qui ont colporté des rumeurs sur lui. JJ était-il paranoïaque ?
Il a cependant toute ma sympathie, car mes pensées rejoignent les siennes ! Mais son style est lourd, gavant, même si de belles pensées le parsèment :)
Peut-être l'hostilité est-elle due à ce qu'il ait mis ses enfants aux « enfants trouvés », alors qu'il a écrit sur l'éducation « Emile ou de l'éducation » ? Mais après tout, faites ce que je dis, pas ce que je fais. Peut-être, s'il avait été moins timide, eût-il fait un bon politique ?
En tous cas, il fait l'éloge de la misanthropie, car après avoir appris sa propre mort par des rumeurs, fait le tour des hostilités à son égard, sans apparemment en connaître la cause, Rousseau vante les deux mois paradisiaques passés sur l'île suisse du lac de Bienne, comme seul au monde avec sa chère Nature.
Car l'auteur vante sa folie de l'herborisation qui ne l'a jamais quitté, ainsi que les rêveries et la solitude.
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C'est une triste fin de vie qui semble attendre notre philosophe... Philosophe qui a participé à L'Encyclopédie, je me demande comment d'ailleurs, ne le présumant pas collaborer avec l'ironique Voltaire et le fougueux Diderot.
Cet essai, interrompu par la mort de l'auteur, se termine sur un hommage à Mme de Warrens, qu'il appelait « Maman », puisque sa vraie mère est morte quelques jours après sa naissance.
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Citations et extraits (241) Voir plus Ajouter une citation
Le sentiment de l'existence dépouillé de toute autre affection est par lui-même un sentiment précieux de contentement et de paix qui suffirait seul pour rendre cette existence chère et douce à qui saurait écarter de soi toutes les impressions sensuelles et terrestres qui viennent sans cesse nous en distraire et en troubler ici bas la douceur.
Mais un infortuné qu'on a retranché de la société humaine et qui ne peut plus rien faire ici bas d'utile et de bon pour autrui ni pour soi, peut trouver dans cet état à toutes les félicités humaines des dédommagements que la fortune et les hommes ne lui sauraient ôter.
Il est vrai que ces dédommagements ne peuvent être sentis par toutes les âmes ni dans toutes les situations. Il faut que le cœur soit en paix et qu'aucune passion n'en vienne troubler le calme. Il y faut des dispositions de la part de celui qui les éprouve, il en faut dans le concours des objets environnants. Il n'y faut ni un repos absolu ni trop d'agitation, mais un mouvement uniforme et modéré qui n'ait ni secousses ni intervalles. Sans mouvement, la vie n'est qu'une léthargie. Si le mouvement est inégal ou trop fort il réveille ; en nous rappelant aux objets environnants, il détruit le charme de la rêverie, et nous arrache d'au-dedans de nous pour nous remettre à l'instant sous le joug de la fortune et des hommes et nous rendre au sentiment de nos malheurs. Un silence absolu porte à la tristesse. Il offre une image de la mort. Alors le secours d'une imagination riante est nécessaire et se présente assez naturellement à ceux que le Ciel en a gratifiés. Le mouvement qui ne vient pas du dehors se fait alors au dedans de nous. Le repos est moindre, il est vrai, mais il est aussi plus agréable quand de légères et douces idées sans agiter le fond de l'âme ne font pour ainsi dire qu'en effleurer la surface. Il n'en faut qu'assez pour se souvenir de soi-même en oubliant tous ses maux.
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Délivré de toutes les passions terrestres qu’engendre le tumulte de la vie sociale, mon âme s’élancerait fréquemment au-dessus de cet atmosphère, et commercerait d’avance avec les intelligences célestes dont elle espère aller augmenter le nombre dans peu de temps. Les hommes se garderont, je le sais [,] de me rendre un si doux asile où ils n’ont pas voulu me laisser. Mais ils ne m’empêcheront pas du moins de m’y transporter chaque jour sur les ailes de l’imagination, et d’y goûter durant quelques heures le même plaisir que si je l’habitais encor. Ce que j’y ferais de plus doux serait d’y rêver à mon aise. En rêvant que j’y suis ne fais-je pas la même chose ? Je fais même plus ; à l’attrait d’une rêverie abstraite et monotone je joins des images charmantes qui la vivifient. Leurs objets échappaient souvent à mes sens dans mes extases, et maintenant plus ma rêverie est profonde plus elle me les peint vivement. Je suis souvent plus au milieu d’eux et plus agréablement que quand j’y étais réellement. Le malheur est qu’à mesure que l’imagination s’attiédit cela vient avec plus de peine et ne dure pas si longtemps. Hélas, c’est quand on commence à quitter sa dépouille qu’on en est le plus offusqué !

Fin de la cinquième promenade
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Toutes mes courses de botanique, les diverses impressions du local, des objets qui m’ont frappé, les idées qu’il m’a fait naître, les incidents qui s’y sont mêlés, tout cela m’a laissé des impressions qui se renouvellent par l'aspect des plantes herborisées dans ces mêmes lieux. Je ne reverrai plus ces beaux paysages, ces forêts, ces lacs, ces bosquets, ces rochers, ces montagnes, dont l'aspect a toujours touché mon cœur : mais maintenant que je ne peux plus courir ces heureuses contrées je n’ai qu’à ouvrir mon herbier & bientôt il m’y transporte. Les fragments des plantes que j’y ai cueillies suffisent pour me rappeler tout ce magnifique spectacle. Cet herbier est pour moi un journal d'herborisations qui me les fait recommencer avec un nouveau charme & produit l’effet d’un optique qui les peindrait derechef à mes yeux. C’est la chaîne des idées accessoires qui m’attache à la botanique. Elle rassemble & rappelle à mon imagination toutes les idées qui la flattent davantage. Les prés, les eaux, les bois, la solitude, la paix surtout & le repos qu’on trouve au milieu de tout cela sont retracés par elle incessamment à ma mémoire. Elle me fait oublier les persécutions des hommes, leur haine, leur mépris, leurs outrages, & tous les maux dont ils ont payé mon tendre & sincère attachement pour eux. Elle me transporte dans des habitations paisibles au milieu de gens simples & bons tels que ceux avec qui j’ai vécu jadis. Elle me rappelle & mon jeune âge & mes innocents plaisirs, elle m’en fait jouir derechef, & me rend heureux bien souvent encore au milieu du plus triste sort qu’ait subi jamais un mortel.


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Ayant donc formé le projet de décrire l'état habituel de mon âme dans la plus étrange position où se puisse jamais trouver un mortel ,je n'ai vu nulle part manière plus simple et plus sûre d'exécuter cette entreprise que de tenir un registre fidèle de mes promenades solitaires et des rêveries qui les remplissent quand je laisse ma tête entièrement libre ,et mes idées suivre leur pente sans résistance et sans gêne .Ces heures de solitude et de méditation sont les seules de la journée où je sois pleinement moi et à moi sans diversion , sans obstacle ,et où je puisse véritablement dire ce que la nature a voulu .
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Que cette vie n'étant qu'un état d'épreuves, il importait peu que ces épreuves fussent de telle ou telle sorte pourvu qu'il en résultât l'effet auquel elles étaient destinées, et que par conséquent plus les épreuves étaient grandes, fortes, multipliées plus il était avantageux de les savoir soutenir. Toutes les plus vives peines perdent leur force pour quiconque en voit le dédommagement grand et sûr ; et la certitude de ce dédommagement était le principal fruit que j'avais retiré de mes méditations précédentes.
Il est vrai qu'au milieu des outrages sans nombre et des indignités sans mesure dont je me sentais accablé de toutes parts, des intervalles d'inquiétude et de doutes venaient de temps à autre ébranler mon espérance et troubler ma tranquillité. Les puissantes objections que je n'avais pu résoudre se présentaient alors à mon esprit avec plus de force pour achever de m'abattre précisément dans les moments où surchargé du poids de ma destinée j'étais prêt à tomber dans le découragement. Souvent des arguments nouveaux que j'entendais faire me revenaient dans l'esprit à l'appui de ceux qui m'avaient déjà tourmenté. Ah, me disais-je alors dans des serrements de cœur prêt à m'étouffer, qui me garantira du désespoir si dans l'horreur de mon sort je ne vois plus que des chimères dans les consolations que me fournissait ma raison ? si, détruisant ainsi son propre ouvrage, elle renverse tout l'appui d'espérance et de confiance qu'elle m'avait ménagé dans l'adversité ! Quel appui que des illusions qui ne bercent que moi seul au monde ?

"Troisième promenade"
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Vidéo de Jean-Jacques Rousseau
*RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE* : « Neuvième promenade », _in Les confessions de J.-J. Rousseau,_ suivies des _Rêveries du promeneur solitaire,_ tome second, Genève, s. é., 1783, pp. 373-374.
#JeanJacquesRousseau #RêveriesDuPromeneurSolitaire #Pensée
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