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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Aux confins de cette région glacée, les rares habitants survivent en s'adaptant à leur sévère environnement. Condamnée à l'errance après la mort de sa grand-mère, la narratrice est recueillie par une famille de pêcheurs et épouse Igor, une force de la nature qui subsiste en colportant des vivres chez les vieilles femmes isolées. Commence alors pour le couple une existence nomade, soumise aux rudesses d'hivers sibériens et aux dangers de fièvres terrassantes, imprégnée d'étranges légendes sur un passé apocalyptique, et menant à la paisible acceptation des inévitables cycles de vie et de mort.


Laurine Roux nous offre un joli conte, où quelques hommes issus d'une Histoire presque oubliée, guerrière et destructrice, qui a fait d'eux des parias isolés dans une nature aussi splendide qu'inhospitalière, reviennent aux valeurs essentielles pour s'accorder à leur environnement et à leur destin de mortels. Laissant une large place à leur cadre de vie, où les beautés et les miracles de la nature n'ont d'équivalents que sa puissance et sa sauvagerie, le récit fait combattre le lecteur aux côtés de personnages en lutte pour leur survie, avant de le faire s'abandonner à leur inéluctable retour au tout originel.


De ce roman-fable aussi tendre que cruel émerge une délicate et poétique esthétique. L'on est tenté d'y voir transparaître le souvenir d'anciens modes de vie, de ces peuples nomades du Grand Nord, en osmose avec leur rude environnement, porteur d'une sagesse ancestrale et d'un savoir chamanique quant à leur bref, souvent éprouvant, mais si magique passage sur terre.

Lien : https://leslecturesdecanneti..
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En refermant ce roman de Laurine Roux : Une immense sensation de calme, je me suis dit que son titre était un beau trompe-l'oeil.
L'histoire que nous conte l'auteure n'est en effet pas de tout repos, tant elle nous ballotte dans des mondes dépaysants, souvent aux confins de la réalité et de l'imaginaire, le tout écrit avec une subtilité narrative qui nous conduit à suivre presque que malgré nous ce fil d'Ariane qu'elle tisse depuis le début du roman.
Un ancrage plutôt réaliste, avec l'évocation de la taïga, des samovars, des tempêtes de neige, des babas qui fument la pipe au coin du feu, nous fait bien sûr penser à ces contrées lointaines de la Russie où la nature hostile règne en maîtresse et plie les hommes qui y vivent à ses dures lois. C'est dans ce monde qu'évolue la narratrice au début du roman. Recueillie par un couple de pêcheurs, alors qu'elle allait mourir de froid, elle évoque ce monde rude et fruste avec maints détails réalises qui nous font partager au plus près la vie de ces hommes et de ces femmes aux moeurs très rudes. Dépaysement garanti !
Sa rencontre avec Igor va être un des points de bascule du récit. Nous entrons alors dans une autre dimension, celle qui nous entraîne du réalisme vers la légende et parfois le conte. D'abord via le personnage d'Igor, sorte de force tellurique qui ne fait qu'un avec le monde environnant. Et l'amour qui naît entre la narratrice et ce dernier va prendre une dimension cosmique qui défie la réalité la plus triviale !
Dès lors la légende ne cesse d'infuser tout le récit par la voix de deux femmes qui sont de merveilleuses conteuses. Baba est la première : grand-mère de la narratrice, c'est elle qui se fait la passeuse vers un récit familial un peu mythifié dont elle est la détentrice. Grisha est la seconde : guérisseuse et chamane, c'est elle qui détient les secrets qui relient tous les personnages du roman ou presque au monde du surnaturel. Ces deux "babas" nous entraîne dans un monde où la guerre, la violence et la haine, évoquées de façon à la fois très métaphorique et réaliste côtoient le merveilleux dans sa forme la plus pure : dialogues avec les morts grâce aux transes chamaniques, humains devenus des sortes d'entités maléfiques ou bienveillantes.
Tout l'art de Laurine Roux vient du fait qu'elle nous prend par la main et nous emmène sans que l'on s'en rende compte aux frontières du surnaturel où passé et réalité présente se mêlent, se confondent et resurgissent dans de beaux récits poétiques comme celui qui nous conte
l'histoire de Kolia Ivamenka devenue "femme-poisson" dans l'imaginaire collectif.
Un roman qui n'est pas non plus sans quelques maladresses, vite oubliées si l'on accepte de voir le monde sous un autre angle... On comprend beaucoup mieux alors l'ambiguïté du titre...
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Terre immaculée, hostile, âpre, sublime et souveraine. Êtres durcis et racornis par une vie de solitude et la nécessité d'arracher leur survie à une terre gelée. Nature qui dicte ses lois et ne donne qu'aux plus braves. Vivre... coûte que coûte, quel qu'en soit le prix physique, quel que soit l'épuisement des corps. Vivre au prix d'une jambe nécrosée que l'on ampute à vif. Une immense sensation de calme... est pour moi le creuset de nombreuses violences : celle de la passion amoureuse qui abolit l'être, l'ivresse de la fusion, les nerfs aussi tendus qu'une corde de balalaika. Celle du rejet des Invisibles, de la faim, de la perte, de la guerre et de ses oiseaux de feu, de l'indifférence à l'égard de certaines communautés, de la mort qui rôde à chaque pas.
Une plume singulière, métaphorique, qui cogne comme le sang dans les tempes. Un roman où se mêlent réel et légendes, corps et esprits, pragmatisme et magie. Un épilogue déroutant. Une lecture riche et complexe.
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Dépaysement garanti pour ce conte lumineux. Une jeune fille nous raconte sa rencontre avec Igor, proche de l'animal, et de leur vie dans la nature entre pêche et chasse. Un roman court peuplé de merveilles. Sur les légendes, notre passage sur terre, l'acceptation des différences, l'histoire d'amour tragique de la vieille dame et même un remède de sangsues.
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Lorsque notre narratrice rencontre Igor, c'était bien après que les femmes aient fait le serment du "Grand-Oubli". Parfois, quand les choses sont trop dures à accepter, qu'elles ont fait trop de mal et emporté de nombreux êtres chers, il est plus facile d'oublier...oublier pour mieux pouvoir continuer à avancer par le suite et ce, même si les souvenirs resurgissent de temps à autre.

Ici, nous nous trouvons dans un lieu indéterminé, plus proche du Grand Est, à une époque indéterminée. Après une triste période où la guerre emporta tous les hommes, ne restaient plus alors que les vieillards, enfants et femmes et ceux qui feraient dorénavant partie de la nouvelle génération. Dans les montage, des créatures mi-hommes mi-bêtes que tous les villageois redoutent et qu'il appellent "les Invisibles". Pourquoi les craignent-ils . Nul ne le sait vraiment ! Peut-être est-ce tout simplement parce que ces hommes-là sont différents et que tout ce qui ne noues ressemble pas nous effraie. Oui, la nature humaine est ainsi. Pourtant, lorsque la narratrice de ce roman fera la connaissance d'Igor, un homme profondément différent des autres, elle ne pourra que se laisser emporter, guider, même si ce dernier ne parle pas beaucoup. Il rend de gros services pour les villageois et ceux-ci ont appris à l'accepter, tout comme notre héroïne, l'aimera tel qu'il est et se laissera aimer en retour, même si aucune déclaration ne sera faite. Pas la peine : ils savent. Tout comme cette dernière savait qu'elle devait le suivre où qu'il aille.

Un roman puissant, parfois dur mais aussi tendre à la fois. Une communion avec la nature exceptionnelle, émanant autant de la part de l'auteure elle-même que des personnages et cela se ressent dans toutes les descriptions de paysages qui s't trouvent. Pour avoir rencontré Laurine Roux jeudi (c'est d'ailleurs ce qui m'a donné envie de lire son ouvrage), je ne peux que vous encourager à le faire à mon tour, d'autant plus que je sais que l'auteure, avec ce premier roman publié, est loin de s'en arrêter là !
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****

Perdus au milieu des étendues de terres et de forêts, un couple vit entre marches, chasses et rencontres. Dans ce monde où la guerre a tout bousculé, ils sont tous deux en osmose avec la nature. Ils s'aiment, se parlent peu mais communient avec la caresse de leur corps. Au fil des jours, la narratrice apprend l'histoire de cet homme, Igor, qu'elle sait être celui qui lui était destiné...

Laurine Roux signe ici un roman touchant et sensuel. Avec une écriture tout en poésie, elle nous entraîne dans les pas de ces hommes et de ces femmes qui vivent au fil des saisons, dont le quotidien difficile est alourdi par le poids des légendes et des croyances. Enveloppé par cette nature, nous écoutons au coin du feu leurs histoires de vie...

Un très beau premier roman... Prometteur et apaisant...
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Square des Poètes- le 14 juillet 2023

Trouvaille au fil de mes dépôts au kiosque de
" Livres- Voyageurs"...

Dans une région isolée, à une période indéterminée, la natratrice, une jeune fille perd sa grand-mère...Après le décès de cette dernière, elle part à l'aventure, sans but précis...Elle survit....
Quasiment morte de faim et de froid, elle est sauvée de justesse par des pêcheurs-chasseurs...

Tout ce que l'on sait, c'est qu'est survenue une guerre atroce...comme une fin du monde.On ne remonte pas l'Histoire de cet univers opaque, ni de ces descendants dispersés à plus de 50 ans, auparavant !!

( * des noms à consonances nordiques ; en cherchant dans le parcours de l'auteure, nous apprenons sa prédilection pour
" l'' Est glacial "...)

Cette très jeune femme guérie va croiser un homme mystérieux et taiseux, Igor.Ce dernier livre du poisson séché à de vieilles femmes isolées dans la montagne...dépanne les uns et les autres...et vit depuis toujours en solitaire !

Celle-ci et Igor vont poursuivre leur chemin ensemble, travailler dur, vivre tant bien que mal dans une nature somptueuse mais âpre !

"Seuls comptent le plaisir de l'effort et celui d'être là. Simplement là, ici et maintenant.
Seulement la puissance de l'instant, Igor et la taïga.
Ainsi passent les années. "

Très beau texte mais combien déroutant. Une grande part de magie, de surnaturel qui ont fait regimber mon petit esprit trop rationnel ...et pourtant mon enfance bretonne aurait dû m'y familiariser, au contraire !
Mon esprit cartésien...a résisté de toutes ses forces...Cela n'enlève rien à l'originalité et à la la poésie singulière de ce texte !

"Je n'ai pas peur. Je sais que je le laisserai faire.Cela devrait me désespérer, je devrais crier, me battre, chercher à le retenir.Pourtant cela me procure une immense sensation de calme.Le chemin parcouru avec lui a été un long enseignement d'abandon.

(...) je sais cette fois qu'il ne reviendra pas.
(...) Car nous sommes tous de passage.Simplement de passage."

Première lecture de cette auteure qui m'a laissée perplexe...Pour faire plus ample connaissance , j'ai envie de découvrir son dernier roman également publié par les éditions du Sonneur, fin 2022: "Par dessus les épaules des géants".Histoire de me faire une idée plus précise !

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"Je me rappelle comme si c'était hier le moment où j'ai refermé la porte. le souvenir de Baba et mon sac étaient mes seuls bagages. Je n'avais aucun endroit où aller. Je me souviens m'être demandé s'il était possible qu'une route ne finisse jamais. Alors j'ai décidé de commencer ainsi. Voir jusqu'où la route irait. Cela me semblait un bon début."

Un bon début, oui. Pour cette histoire et pour la carrière d'écrivain de Laurine Roux qui signe ici un premier roman singulier, à l'écriture charnelle, à la fois forte et poétique. Un texte à travers lequel on retrouve la magie du conte qui nous transporte dans un autre univers, proche et lointain en même temps. Il suffit de se laisser porter, de se laisser aller à la suite de cet incipit prometteur : "A présent il faut que je raconte comment Igor est entré dans ma vie"...

Ce roman, c'est d'abord un décor. Une grande étendue glacée et sauvage, qui évoque fortement les territoires sibériens peu accessibles et désertiques. La nature est omniprésente, forte, majestueuse, cruelle parfois. Une nature qui a survécu au pire de ce que les hommes sont capables de produire et qui nourrit désormais les générations d'après le "Grand-oubli" tout en leur rappelant à chaque minute sa puissance. Igor est une force de la nature, comme s'il puisait en elle toutes ses ressources et il produit sur la narratrice un tel effet qu'elle décide de le suivre à la minute même où elle le voit. Mais l'histoire d'Igor est notre histoire à tous, une histoire d'amour et de fureur, de bruit et de douceur. Dans laquelle il est question de transmission, des traces que nous laissons et de ce qui nous dépasse.

"En relevant la tête, le spectacle de la forêt tout autour me saisit. Tout me revient. L'immensité du ciel. La traînée laiteuse d'un nuage juvénile. La fulgurance des trouées de lumière à travers les frondaisons. Un bourdon volette au-dessus de ma tête, plein d'une grâce pataude. Tout entre dans mes poumons. Je lampe l'air à grandes goulées, et ma langue reconnaît dans ce baiser un goût de terre et de ciel. Vert et bleu. Les couleurs des baisers d'Igor."

Laurine Roux crée peu à peu un climat intemporel où domine la nature dans sa toute-puissance, témoin éternel de l'agitation des hommes et parfois de la beauté éphémère d'une histoire d'amour. On songe à de nombreuses références, on pense à l'influence de la littérature post-apocalyptique mais surtout, on reste subjugué par la force des images qui se déploient devant nos yeux redevenus ceux de l'enfant captivé par l'histoire du soir.

Une immense sensation de calme est un roman court mais intense, qui convoque les sens autant que les neurones pour leur offrir une expérience de lecture totale. Une jolie curiosité que je vous invite à découvrir sans plus tarder pour quelques heures de plaisir ouatiné.
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
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C'est un conte, une fable ou une dystopie qui évoque un monde situé dans le Grand-Oubli, après une guerre qui a laissé dans la mémoire des survivants des traces, où l'on tente d'oublier, de continuer, où vivent des Miraculés mais également des Invisibles, parce qu'un gaz ocre a tout détruit, ravagé et qu'il reste malgré tout un sentiment de crainte, de peur, personne n'a oublié.

"Pour toutes les vieilles il est douloureux de parler du temps d'avant le Grand-Oubli. La guerre a balayé les mémoires, les bombardements ont soufflé les images du passé et laissé place à l'horreur. Et l'horreur entre dans les têtes pour ne plus en être délogée, s'installe dans les moindres recoins, gâte tous les souvenirs. A la fin il ne reste que des débris. (p95)"

Lorsque la narratrice rencontre Igor, ils se flairent, se sentent, se frôlent en se contentant de suivre leurs instincts. D'elle on ne connaît rien sinon qu'elle vient de perdre sa grand-mère, sa Baba qui l'a recueillie après qu'elle ait perdu Apa et Ama, qu'elle vit dans une région hostile emprisonnée par le froid qui saisit tout à l'image du lac voisin, un pays fait d'immensités et de solitudes. Igor, lui est une force de la nature, un colosse, une force rustre qui cache une générosité qu'il met à la disposition des autres en leur portant du poisson et c'est lors d'une de ses visites qu'elle va faire rencontrer Grisha, une femme-chamane qui possède la connaissance, celle des soins mais également celle du passé, du sien mais également celui d'Igor et lors d' une tempête elle va livrer ses souvenirs, ce qui la lie à Igor et à Tochka, l'ourse, un passé où la différence conduit à la méfiance et parfois au crime.

Venez vous installer au coin du feu, venez écouter une histoire qui vous emmène aux confins d'un monde, le nôtre ou un autre, une histoire d'hommes avec ce qu'ils ont de plus sombre, de plus méfiant, un monde que l'auteure a créée où les noms reviennent à l'essentiel : le Grand-Sommeil, les Invisibles, les Miraculés, les Va-au-diable, la Tige, où il est question d'amour mais également de haine, où les hommes et bêtes peuvent abattre parfois des frontières où d'autres n'y voient que suspicion, incompréhension et peur.

Je dois avouer que je me suis laissée envouter par l'écriture et la voix de la narratrice, ne sachant pas dans un premier temps où cela allait me conduire et puis au fil des pages, je me suis habituée à sa poésie, son décor, à la rudesse de son existence, à la distance qu'elle prend avec ses sentiments en les exprimant simplement comme on pourrait le faire dans un monde post-apocalyptique, où le pire est déjà passé sur les lieux et dans les âmes. Alors certes, elle nous emmène sur le terrain des hommes et de leurs grands travers, où l'autre représente un danger, même s'il peut séduire, une fable où les hommes ne sortent pas toujours grandis mais avec ce qu'il faut de lumière à travers le personnage de Grisha et d'Igor.

J'ai beaucoup aimé surtout pour l'écriture, pour les images qui sont montées en moi, pour avoir réussi à me sortir du moment présent, pour m'emmener dans un ailleurs, parallèle et similaire, où les noms et paysages changent mais où hommes, animaux et nature sont intiment liés, où la beauté de certaines âmes ne tiennent pas à ce qu'elles semblent être. 

"Et l'on voyait dans sa démarche légèrement accablée le commerce de plus en plus intime qu'il avait noué avec la mort. Ce n'était pas de la résignation mais un signe de familiarité. Une sorte de lente préparation. Comme on dit d'un fruit qu'il est mûr lorsqu'il tombe, la vie de Pavel était la maturation de sa propre disparition. (p48)"

Laurine Roux a publié en 2020 le sanctuaire qui entre dans ma liste d'envies.
Lien : https://mumudanslebocage.wor..
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📚 Un conte envoûtant ! 🌟

📖 Laurine Roux nous offre une plongée dans un conte étrange où la sensation de calme et de plénitude est omniprésente.

👩‍❤️‍👨 Suivez le protagoniste, attiré irrésistiblement par un homme énigmatique, à travers des paysages inhospitaliers. Une détermination touchante s'installe alors dans cette histoire poignante.

❄️ L'homme, en tant qu'itinérant dans une région froide, distribue des vivres aux habitants en hiver. Cependant, son identité reste entourée de mystère, ce qui rend le récit encore plus captivant.

💌 L'amour entre ces personnages est d'une beauté poétique, mais parfois dérangeant. Quel est le véritable lien entre eux ? Cette connexion émotionnelle m'a profondément ému.

🌌 Une lecture envoûtante, où poésie et relations humaines brutes se mêlent avec brio. Vous ne pourrez que succomber au charme de ce roman !
Mon avis en détail :
Lien : https://lesparaversdemillina..
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