AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,56

sur 85 notes
5
4 avis
4
3 avis
3
7 avis
2
0 avis
1
0 avis
Voici un ouvrage divertissant, bien troussé,très bien construit. le sujet : comment faire avec les cons ? et donc aussi avec soi-même, bien évidemment. C'est en philosophe que l'auteur répond à cette question dont l'urgence comme il l'écrit n'échappe à personne. Je partage en cette époque où j'ai l'impression de vivre chaque jour le 1 avril, notre temps c'est le 1 avril perpétuel !
J'ai tout particulièrement apprécié les conclusions de chaque fin de chapitre à la fois savoureuses et rigoureuses et la formulation de la problématique, objet du développement du chapitre suivant méthodiques et toujours originales voire décoiffantes...

L'essentiel de la thèse ? je cite : "Plus vous opposez vos cloisons aux vents, plus vous augmentez vos chances que les vents les détruisent ; cela ne viendra pas de la force destructrice du vent, mais de la force destructrice de l'imbécile qui pose les cloisons".

Au fur et à mesure de la démonstration, les questions se précisent, j'aime beaucoup la manière de le dire, de l'illustrer.
Exemple de décryptage :
Si le con reconnaît qu'il a fait une connerie, alors par définition il cesse de l'être et donc piège ! ... il devient pour vous un appui potentiel, une voie rare et inattendue mais pas improbable, s'ouvre et donc il convient ( qu'est ce c'est dur !!) de comprendre que la leçon de morale irrépressible que l'on a envie de faire au con qui n'a lui pas reconnu qu'il a fait une connerie (Il y a beaucoup...Encore que ...) ce qui revient de se débattre dans les sables mouvants, n'est qu'une tendance lourde à séparer l'individu "le con (un agent, un être et oui même lui !)", de sa connerie (entendue comme un acte).
Je vous ai perdu ami babeliote ? vous y êtes fort et clair ? dans les deux cas lisez, ou offrez (suivez mon regard ...) sans plus tarder cet ouvrage, vous allez sourire, rire, franchement ou jaune parfois !

Soyez comme nous le conseille Maxime Rovere, des bricoleurs et pas des juges ! voir la citation que je publie illico presto. La voici :
"Admettez donc qu'au lieu de défendre des valeurs, vous feriez mieux de défendre des rapports, autrement chercher à minimiser les malentendus. Car c'est d'abord par là, souvenez vous, que les cons se multiplient. vous ne pourrez donc endiguer leur multiplication ni par le retour à l'universalisme colonial des Lumières, ni par le relativisme personnalisé de l'ère numérique. vous ne l'éviterez qu'en vous libérant de votre posture défensive, en acceptant de mettre vos valeurs idéales au risque des interactions concrètes, et d'entamer la négociation afin d'améliorer vos rapports tous azimuts, ce qui affaiblira les cons de toutes les communautés. En d'autres termes soyez des bricoleurs plutôt que des juges".

La conclusion de cet essai est profonde, lucide et tranchée, merci à l'auteur ! Ce n'est pas si fréquent...

Bonne lecture !
Commenter  J’apprécie          241
Voici un petit guide philosophique et pratique qui sera fort utile à tous ceux qui reste désemparés face à l'abyssale connerie humaine. D'entrée Maxime de Rovere insiste sur un point capital : si la connerie est universelle, personne ne peut être considéré comme un simple con. En effet, si la première doit être combattu, on ne peut décemment abattre ceux qui se vautrent dedans. Car certains se complaisent dans leur connerie au point d'épuiser les meilleurs volontés... L'auteur propose ainsi de s'appuyer sur la philosophie pour mieux comprendre les situations, mais aussi les processus à l'oeuvre lorsque l'on est confronté à cette stupidité dévastatrice qui nous submerge et met à mal notre propre intelligence. Il en va de la connerie comme des sables mouvants : plus on se débat et plus on s'enlise dedans. Elle est un véritable défi à notre humanité, car on ne peut réellement changer les personnes, c'est à la situation qu'il faut s'attaquer. Il faut toujours prendre en compte son propre rôle, car chacun à sa part de responsabilité dans toute relation humaine. Définir sa position personnelle permet non seulement de relativiser le conflit tout en dégageant les marges de manœuvre possibles. La connerie des autres doit ainsi être l'occasion de manifester sa propre valeur sociale. Il s'agit de reprendre le contrôle de ses émotions, voire même les épuiser, pour éviter l'effet "feu d'artifice" et mieux discerner l'environnement du con en question. La posture moralisante est à bannir, elle ne fera qu'aggraver les choses. L'idéal sera de sortir du jugement, d'être dans l'écoute pour permettre à l'interlocuteur de s'exprimer. Il ne faut pas non plus conceptualiser la situation, mais plutôt la dérouler, comme un récit, pour aplanir les tensions et rester dans le factuel. La narration permet de fait un processus d'incorporation, tout en rétablissant une certaine confiance, indispensable pour progresser ensemble. L'auteur termine par un chapitre édifiant sur la connerie inhérente aux institutions, qui permettra à tous de mieux comprendre certaines aberrations des services publics.
Commenter  J’apprécie          80
Je n'aime guère la couverture de ce livre, ni son titre. Ils me font l'effet d'un genre de divertissement facile, d'un livre qui s'apparente à une farce, avec un titre tape à l'oeil, racoleur et faussement provocateur. Cependant je suis tombée sur quelques citations de ce livre, plutôt justes et intelligentes, assez pour que je me décide à l'acheter. Et puis l'auteur est un philosophe, spécialiste de Spinoza. Un essai peut être bon, n'est-ce pas, même avec un mauvais titre ?
C'est un essai divertissant, une sorte, aussi, de vulgarisation philosophique, et de très mauvais style. C'est d'ailleurs légèrement surprenant de ne pas avoir le goût de l'écriture artistique pour un docteur en philosophie. J'écris « légèrement » parce que j'en ai lu plusieurs dans ce cas, dont Mazarine Pingeot. Sous couvert d'humour, et sans presque aucun sérieux, l'auteur évoque le con et la façon de s'en détacher mentalement, de ne pas s'en sentir importuné et agressé. Et je le soupçonne d'avoir pris ce ton de la blague comme pour atténuer son propos, pour le rendre plus « convenable », moins agressif. Il me semble que cet humour inutile dilue le message, fait montre plutôt d'un manque à la fois de sérieux et de conviction de l'auteur. Pourquoi ne pas assumer ses idées par un propos tranché, dur, austère, crédible ? Par peur des foudres, évidemment. Par prudence. Dommage. D'autre part, je déplore le fait que l'auteur ne commence pas par donner sa définition claire d'un con. C'est encore une façon de se dissimuler, de ne point assumer ses idées. Sa piètre définition relève presque du proverbe, en ce qu'un con serait généralement… celui qui nous ressemble le moins ou nous exaspère. Lâche, hypocrite et facile.
Je ne vais pas commenter l'essai de manière exhaustive. J'ai fait le choix de relever les idées générales ou celles qui m'ont particulièrement interpelée ou intéressée.
La première idée est déjà une idée que je ne partage qu'en partie. L'auteur prétend que plutôt que de défendre nos valeurs, nous devrions défendre d'abord des rapports sociaux. En d'autres termes : faire en sorte de relativiser ce qui nous oppose aux cons. Pour quoi ? Pour améliorer notre rapport à l'autre, par la négociation, ce qui aurait pour effet d'affaiblir le pouvoir des cons en ce qu'ils ne seraient alors plus les rivaux ni les ennemis de personne mais une catégorie acceptée, tolérée, qui n'est même plus vraiment une importunité. Si, évidemment, ne pas perdre son temps à lutter inutilement contre la connerie s'entend tout à fait, l'auteur ne parle guère de mépris, d'humiliation qui permettrait au con de constater qu'il en est un. Et voici pourquoi, selon lui : si un con n'est pas capable de se rendre compte de la connerie qu'il a dite ou faite, c'est déjà perdu. Alors à quoi bon ? Possible, seulement il faut savoir : soit on perd un peu de temps pour lui montrer sa faute, soit on le méprise tant qu'on l'ignore. Pourquoi négocier, en ce cas ?
Eh bien… parce que l'on n'a pas toujours le choix : le con peut être un membre de la famille proche ou pire encore, un supérieur hiérarchique par exemple.
Par ailleurs, la connerie, selon Rovere, revêt un caractère si universel que personne en particulier ne peut être traité de con ni montré du doigt. Il considère en somme qu'il est plus ou moins normal et établi de se laisser glisser dans un conformisme, dans une connerie généralisée, un peu comme on s'habille à la mode non par goût mais parce qu'il ne se vend plus que cela dans les magasins. Arg ! Autrement dit, aucun imbécile ne serait à blâmer personnellement et la connerie ne devrait se combattre que de manière universelle. D'ailleurs, il serait parfaitement vain de lutter seul contre un idiot : ce serait se faire du tort à soi-même, à la façon dont on lutte enlisé dans des sables mouvants, pour reprendre la métaphore de l'auteur. Voilà : on ne peut changer personne individuellement, ou quasi. Vouloir raisonner un con constitue même un grand danger pour son intégrité : c'est le risque d'en devenir un soi-même, de devoir répondre avec passion à ses idioties, et qu'il nous entraîne vers le fond comme un un poids mort qui s'accrocherait à nous tandis que l'on nage. Ce n'est donc pas à l'individu que l'on doit s'en prendre ou que l'on doit vouloir soigner mais il s'agit seulement de trouver une issue à la situation suivante : être confronté à la connerie. (Ce qui ne rend pas tant légitime le titre de l'ouvrage, en passant).
N'importe. Que faire, face à une telle situation ? L'auteur propose de commencer par définir sa position personnelle dans un beau recul pour à la fois dédramatiser le conflit et faire en sorte que la connerie de l'autre devienne une opportunité, une manière de se sentir une valeur et d'éprouver sa dignité. Comment ? En ne réagissant pas de façon épidermique, c'est à dire en apportant une réponse dénuée de passions (on ne réfléchit pas bien sous l'emprise de la colère ou de l'indignation). Ensuite, analyser le con : son entourage, sa pensée, etc. Ne surtout pas prendre une posture ni un discours moralisants, ce qui serait contre-productif, mais sortir de cette posture de juge (peuh !), laisser le con s'exprimer et l'écouter de manière attentive.
Mais pourquoi ? Et pour quoi ? En quoi donc cet essai peut-il aider quiconque à lutter vraiment contre la connerie ? C'est que ce n'est sans doute pas le sujet de l'ouvrage ni son but, qui n'est autre que : comment s'accommoder des cons sans ne plus se mettre en colère ni s'indigner de leur bêtise. C'est tout.
Finalement, on n'apprendra pas à se débarrasser des cons mais à vivre avec. Au mieux, on apprendra à mieux se tenir face à la connerie, à garder de la hauteur, à ne plus jamais se mettre au niveau d'un con.
L'auteur va plus loin, et prétend même que la société a besoin de cons. (Vraiment ?). Il explique cela de la manière suivante : imaginez un groupe d'élites dont on aurait extrait les cons. Une université par exemple, ou un groupe de recherches. Que se passerait-il alors ? Une nouvelle élite se formerait dans l'élite : les quelques individus les plus élevés du groupe en chasseraient les moins intelligents, et ce serait sans fin jusqu'à ce qu'il ne reste qu'un seul individu, et donc que le groupe ne soit plus un groupe. Ce qui me dérange dans cette théorie est que l'auteur fait complètement abstraction de l'émulation commune, de l'élévation par l'admiration et par l'effort, du fait de se dépasser par imitation.
Enfin, on ne saura rien avec ce livre quant à la façon d'éradiquer la connerie. On saura juste comment réfléchir (!) à notre propre posture face aux cons. On nous explique durant des pages et des pages que la connerie doit être acceptée, que l'on doit accueillir les cons avec une certaine tolérance, parce que, au fond, on est probablement aussi le con de quelqu'un. Peuh ! Une thèse aussi racoleuse que le titre : faire la paix avec les cons. Si c'est cela, la « philosophie », alors, non, je n'en veux pas.
Commenter  J’apprécie          40
Sous ce titre quelque peu racoleur, Maxime Rovere nous parle de philosophie, de notre rapport aux autres et finalement à nous-mêmes. On ne saura pas comment se débarrasser du con qui nous empoisonne la vie depuis tant d'années, mais on aura réfléchi à notre condition d'humain parmi tant d'autres, à nos valeurs et à notre posture moralisatrice qu'on aimerait tellement imposer à nos cons.
Il faut prendre ce livre comme il vient : rien de magistral, pas complètement sérieux, mais assez quand même pour se poser quelques questions existentielles.
Commenter  J’apprécie          41
Maxime Rovère traite une grande question dans Que faire des cons ? pour ne pas en rester un soi-même.
L'interconnexion mondiale apporte aujourd'hui à tous une réponse sur tous les sujets. Un simple clic sur le net et vous en savez plus sur les autres qu'ils n'en savent quelquefois sur eux. Cette interconnexion amène souvent des différends, des commentaires désastreux, des violences verbales, car chacun veut être reconnu.
Les réseaux sociaux offrent l'opportunité à tous de s'exprimer et dans cette communication à outrance, chacun veut voir sa parole prise en compte. « Les interactions, de plus en plus mondiales, augmentent, les cons se multiplient » mais Maxime Rovère ajoute : « parce que la connerie se propage mieux : les cons se multiplient ».
Alors Maxime Rovère préconise une entente cordiale entre toutes ces interactions et surtout il suggère une manière d'être en cessant de critiquer, de faire la morale et cesser d'imposer nos points de vue, notre façon de vivre. Accepter la différence dans un monde où personne ne détient la vérité, est pour lui une possibilité de vivre ensemble.
Laisser les « cons » dirent n'importe quoi, offre la possibilité de les reconnaitre et par un « jeu » plus subtile, les conduire par mimétisme vers un mieux vivre ensemble où la parole de chacun est reconnu dans « des moments de diplomatie ». Il est important de prendre en compte les « cons » car souvent ceux-ci sont en souffrance, souvent ils cachent en eux une colère qui peut éclater à tout moment.
Répondre par la haine à la haine enraye le bon déroulement d'une discussion, alors mieux vaut répondre par l'amour et la tempérance.
L'écriture de Maxime Rovère est agréable, pleine d'humour et de dérision. de chapitre en chapitre, le lien se fait et les solutions se trouvent. Au terme des chapitres, un axiome est énoncé.
Dans notre société contemporaine de l'interconnexion, ce livre, je pense, est important et il apporte quelque réponse à l'acceptation de l'autre comme un autre que moi.
A lire !

Commenter  J’apprécie          40
Petit ouvrage de philosophie pratique, Que faire des cons ne se réduit pas pour autant ni à des propos « de comptoir », ni à une leçon magistrale. C'est d'abord un manuel de survie, mais aussi un traité de psychologie du quotidien ; car mieux comprendre les rouages de nos comportements, c'est être en mesure de mieux gérer les conflits avec les cons.

D'abord, nous savons que nous sommes tous le con de quelqu'un. Mais ce relativisme, tout évident soit-il, n'empêche pas l'existence d'une vérité des relations. Et c'est justement sur les relations humaines que l'auteur s'appuie pour nous aider à résoudre nos situations difficiles. Car on ne peut pas asséner la vérité à un con, qui n'en a cure. Alors l'auteur nous demande de retenir cette petite maxime : « Vous n'êtes pas le prof des cons. Changez les situations, pas les personnes ». Chaque chapitre se termine par une maxime de ce type, en guise de synthèse et de clin d'oeil.

Il va donc falloir renoncer, à chaque heurt avec un con, à certaines attitudes qui risquent de provoquer un bourbier relationnel (et ne pas devenir un con). D'abord, et c'est pourtant ce qui nous vient spontanément, faire appel à une autorité morale - elle est virtuelle donc absente ; faire appel à la loi, sauf si vous sentez une véritable urgence à porter plainte. Car dans les deux cas, vous avouez votre impuissance. Et vous piétinez alors ce que les sages vous ont toujours conseillé : ne pas passer tout votre temps à juger vos semblables.

L'auteur nous enjoint de ne pas déprécier nos valeurs en les introduisant dans des broutilles du quotidien mais de plutôt négocier avec les émotions de l'autre, car, même si on a l'impression d'un recul sur nos convictions morales, il est plus important « d'empêcher la connerie de nuire dans la pratique ». « Soyez des bricoleurs plutôt que des juges ! » Page 179

Maxime Rovere réussit un beau pari avec ce livre : nous parler des cons de nos vies sans acrimonie, avec originalité, sans nous noyer sous des références érudites, avec une pensée originale, bienveillante, proche de nos préoccupations. Il finit par nous convaincre que tout est relationnel et que c'est nous qui avons la clé de la résolution des conflits avec les cons. À bon entendeur…


Lien : https://blogs.mediapart.fr/a..
Commenter  J’apprécie          30
L'auteur décline des variations sir les C... En fait, rien de nouveau.
On se perd dans ses réflexions philosophiques.
Je ne garderai pas ce livre.
Commenter  J’apprécie          30
Maxime Rovère est un philosophe qui est manifestement amené à côtoyer des personnes pouvant être qualifiées de la sorte, non seulement des étrangers mais certainement aussi des gens très proches de lui.
Les personnes proches présentant cette caractéristique apparaissent comme étant les plus nuisibles.
Ce fascicule analyse les rapports avec les « cons » et les dangers de le devenir soi-même par excès de zèle à vouloir les raisonner. Il émaille ses considérations philosophiques de quelques conseils sous la forme de maximes ou d'aphorismes qui peuvent donner des pistes au lecteur désespéré.
Le propos philosophique est parfois un peu complexe, soit intrinsequement, soit par manque d'explicitation.
Le discours pourrait aussi être complété par l'expérience du lecteur ; des pages blanches réservées à cet effet auraient été bienvenues et d'ailleurs je vais m'attacher à y contribuer dans la suite.

Commenter  J’apprécie          20
Voilà un essai philosophique à la fois profond et drôle. En effet, quoi de plus universel que la connerie ! Et donc ce livre parle de nous tous, de nos interactions et de nos modes de fonctionnement. Et plus l'auteur, bien que très pointu, ne se prend pas trop au sérieux : il rend son propos intelligible et l'enrichit d'anecdotes, son écriture est fluide.
Eclairant et étonnamment profond !
Commenter  J’apprécie          20
Loin d'être un manuel pratique, car on n'y retrouve aucun outil concret pour éradiquer ce fléau, ce livre m'a paru divertissant mais sans plus. On tourne un peu en rond et on apprend qu'au final le con ne change pas c'est à soi même de brider ses réflexes anti-cons. Pas sûr d'y arriver.
Commenter  J’apprécie          10




Lecteurs (301) Voir plus



Quiz Voir plus

Philo pour tous

Jostein Gaarder fut au hit-parade des écrits philosophiques rendus accessibles au plus grand nombre avec un livre paru en 1995. Lequel?

Les Mystères de la patience
Le Monde de Sophie
Maya
Vita brevis

10 questions
438 lecteurs ont répondu
Thèmes : spiritualité , philosophieCréer un quiz sur ce livre

{* *}