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4,48

sur 43050 notes
Magique.


Premier tome d'une série désormais cultissime s'il en est, qui en compte 7 (série achevée, malgré les rumeurs ça et là d'un nouveau tome en préparation).


Harry Potter, le bébé survivant, a vaincu Voldemort, le sorcier noir. Élevé chez son moldu d'oncle qui le martyrise, sans connaître ses origines, il se retrouve propulsé à 11 ans dans un monde magique, celui des sorciers dont il fait parti. Lors de son apprentissage à l'école de Poudlard, entouré de ses amis Ron et Hermione, il devra affronter nombre d'épreuves, de jalousies et survivre de nouveau à la plus grande menace du monde des sorciers.


Quitte à lire de la littérature jeunesse «moderne », autant revenir aux fondamentaux. LE livre incontournable, qui pour certains, a réconcilié nos chères têtes blondes avec cet archaïque loisir qu'est la lecture...
C'est avec un brin de nostalgie (quoique lors de ma première lecture, j'étais déjà largement adulte, le tome 4 n'était pas encore sorti) et la tête pleine d'images de l'excellent film éponyme, que j'attaque à nouveau ma lecture.
L'école des sorciers est un petit livre bourré d'idées. Chaque page recèle un trésor d'imagination d'une fraîcheur revigorante. Avec un style simple et linéaire, parfaitement adapté au public cible, il peut malgré tout être lu par un public adulte et adepte.
L'opposition entre le monde moderne et le monde moyenâgeux « confortable » des sorciers est excellente. La lecture peut se faire à plusieurs niveaux : maltraitance infantile, discrimination voire eugénisme, racisme ect...
En tout cas, un moment merveilleux et absolument charmant.


Vous aurez noté l'abondance de superlatifs employés dans cette critique... Que voulez-vous. Un livre que j'adore (et je ne suis pas le seul), une série vendue à plus de 450 millions d'exemplaires ça force le respect non ?
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J'ai commencé la saga de J.K Rowling, il y a très longtemps. Près de 13 ans maintenant. Quand j'y repense cela me fait un peu bizarre, mais le plus important reste ce que m'a apporté Harry Potter et tout son univers. J'avais depuis un certain temps perdu confiance en la littérature pour adolescents et enfants. J'avais l'impression qu'à l'époque il n'y en avait que pour les adultes et qu'on nous oubliait vraiment. Certes, il y avait les grands classiques mais rien d'extraordinairement palpitant, de nouveau, d'excitant. C'était frustrant. Il n'y a pas d'autre mot... Et puis, en tête de gondole alors que je faisais les courses avec ma mère, un ouvrage aux couleurs vertes m'a intriguée. Je m'en souviens encore, c'est peu dire.

Je dois avouer que la couverture française était un peu étrange à mon goût, beaucoup trop enfantine, mais le titre "L'école des Sorciers", ça c'était intriguant. Je me suis mise à lire le résumé et là encore, j'ai été intriguée. L'histoire d'un jeune sorcier qui ne sait pas qui il est et qui va entrer dans une école de magie. Cela pourrait arriver à n'importe qui en somme ? Même à moi (dans un monde idyllique, bien sûr), mais il y avait déjà ce côté là de : le livre a un héros, mais il vous ressemble, cela pourrait être vous.

Après avoir fait les yeux doux à ma mère (oui, à l'époque, j'avais pas vraiment les moyens de m'acheter cette petite merveille), je réussis à obtenir ce nouveau roman. Je n'avais pas encore vu l'ampleur et l'engouement que suscité déjà Harry, à l'époque encore, internet n'était pas vraiment disponible dans presque tous les foyers. Je me suis donc faite une opinion toute seule comme une grande. Et ça a été le plus gros coup de coeur que j'ai jamais pu avoir pour un livre. J'en dévorais et j'en dévore pourtant à la pelle des romans, mais celui-ci avait quelque chose de spécial. Un petit miracle pour moi qui perdait peu à peu foi dans la littérature de jeunesse.

J'ai été charmée. du début à la fin. Tout était si intense, si nouveau, si enthousiasment. J.K Rowling et Jean François Ménard ont su remettre de la couleur dans mon univers littéraire. Nous avançons avec appréhension dans le nouveau monde que découvre ce jeune orphelin, Harry, mais en même temps c'est une excitation magique à chaque page. Harry est célèbre dans le monde entier des sorciers, et il ne l'a jamais su. En fait, il ne sait pas grand chose sur lui, nous découvrons donc avec lui qui il est. C'est étrange mais en même temps assez palpitant, surtout que nous n'avons pas une seule seconde pour nous ennuyer. Harry est du genre énergique et c'est un fonceur. Il se fait très vite des amis (et des ennemis), se montre courageux, plutôt doué, adorable, souriant, et en même temps si seul. Il ne se laisse cependant pas du tout abattre, bien au contraire. Il est prêt à prendre sa nouvelle vie à pleine dent et on ne va certainement pas lui dire de faire autre chose !

Son univers s'enrichit petit à petit avec Poudlard, ses professeurs, Ron et Hermione (mes deux personnages préférés), les jumeaux Fred et George, Dean, Seamus, Neville, Drago, le Quiddicht, Hagrid, Hedwige et tellement d'autres choses que ce tome qui est le plus court, reste dans un sens le plus riche.

Pour avoir lu les autres tomes (bien entendu !), je dois aussi dire que ce tome reste le plus "enfantin" si je puis dire. Il est à l'image de Harry et de son jeune âge. Il n'en reste pas moins un livre excellent, mais il est plus naïve, plus tendre que ceux qui vont suivre. Et c'est en partie ce qui est extraordinaire dans cette saga, c'est qu'il est facile de grandir avec les livres car ils deviennent, à l'image de ses héros de plus en plus adultes et sombres.
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Je me suis lancée dans la saga du jeune sorcier Harry en décalage avec le reste de l'Humanité. Normal puisqu'une fois de plus j'étais passée complètement à l'ouest de ce phénomène littéraire et médiatique intersidéral... et ce n'est qu'à l'approche de la sortie du film (oui, je parle bien de la sortie de Harry Potter à l'Ecole des Sorciers, ça commence à dater...) que je m'y suis intéressée.

Bien qu'étant moi-même une pure Moldue, je n'ai pas mordu à l'oeuvre (c'était facile) au point d'être totalement fascinée par elle. Certes, j'ai aimé ce premier volet, dans son écriture et dans sa trame originale, mais je n'ai jamais été happée, je n'ai jamais perdu une minute de sommeil au profit d'une lecture nocturne et je n'ai eu à déplorer aucune crise de nerfs lorsque la dernière page a été achevée, m'ouvrant une voie royale vers le tome 2. Je ne peux même pas prétexter avoir échappé à la crise de nerf susnommée par le fait que je possédais d'ores et déjà la suite (ce qui m'exonérais d'avoir à l'attendre fébrilement et de planter ma canadienne devant la Fnac ou tout autre action débile de ce genre) car je ne me suis pas jetée dessus dès ce premier tome gloutonné. Non, je me suis replongée avec allégresse dans d'autres bouquins avant de revenir à la suite des péripéties de Harry et de ses petits copains.

Bien, revenons à l'oeuvre, c'est plus intéressant que mes états d'âme. le style de J.K. Rowling ne m'a pas transcendée mais la lecture des aventures de Harry m'a quand même offert de beaux moments d'évasion. La narration est tellement fluide que c'est impressionnant de constater avec quelle vitesse le roman défile devant vos yeux. le récit est comme chacun sait riche en rebondissements, les personnages sont (très) attachants et le lecteur, redevenu un enfant, n'a aucun scrupule et même toute légitimité à se complaire dans un manichéisme autant teinté de fantastique.

Bref, j'ai été enchantée à défaut d'avoir été ensorcelée.
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Il fallait bien qu'un jour ça arrive, depuis le temps que j'en entendais parler… Une amie bibliothécaire m'en avait vanté les qualités mais, franchement, je n'avais pas envie de me plonger dans ces histoires de sorciers, de magie…
Enfin, il a fallu qu'Albin, mon petit-fils, se lance dans la lecture de cette impressionnante saga signée J.K. Rowling pour que mon attention en soit émoustillée. Mais cela ne suffisait pas.
Albin (9 ans) dévore toute cette histoire, a toujours son Harry Potter en cours à la main et quand je vois que certains tomes ont près de mille pages et même plus en version Folio junior, je suis vraiment impressionné.
Pourtant, je dois plaider coupable puisque, pour son dernier anniversaire, sa Mamie et moi avons complété sa collection…
Depuis, chaque fois qu'il est à la maison, il nous teste, nous apprend les noms des principaux personnages et même de ceux de second plan ou d'arrière-plan, nous pose des questions pour voir si nous les retenons… Je le fais même enrager en prononçant certains noms à la française comme celui d'Hermione Granger…
Puis, un jour, il a eu l'idée de débuter la lecture à haute voix du tome 1 : À l'école des sorciers dont le titre anglais est encore plus précis puisqu'il parle de cette fameuse pierre philosophale que Harry, Hermione et Ron vont tenter de débusquer. Grands-parents consciencieux et captivés par l'histoire, nous l'avons écouté puis nous avons pris le relais allant jusqu'au bout de ce premier tome.
Je dois reconnaître que les aventures de ce jeune orphelin maltraité par son oncle et sa tante, relégué dans le placard à balais, méprisé par son cousin, Dudley, a de quoi émouvoir.
J.K. Rowling, à l'imagination débordante, superbement traduite par Jean-François Ménard, sait parfaitement tenir son lecteur en haleine. Harry Potter frôle souvent le pire, la catastrophe fatale avant de réussir à s'en sortir. le suspense est complet dans chaque chapitre car les ennemis ne manquent pas pour ce garçon qui grandit et qui, enfin, apprend par Hagrid, le garde-chasse de Poudlard au physique impressionnant, qu'il doit rejoindre le château dirigé par le Professeur Dumbledore mais où la menace de « vous savez qui » est bien présente.
Suit tout le récit d'une année scolaire avec bien des surprises, les cours de sorcellerie, la Forêt interdite et ce fameux sport, le Quidditch, dans lequel Harry excelle comme attrapeur sur son balai volant. J'ai bien aimé Hermione Granger, camarade très consciencieuse et efficace de Harry, comme Ron ainsi que le géant Hagrid et je n'en dirai pas plus car je sais que, bientôt, nous allons débuter la lecture du tome 2 : Harry Potter et la chambre des secrets…

Lien : https://notre-jardin-des-liv..
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Une lecture directement inspirée par la curiosité, je connais bien sûr Harry Potter, j'ai vu l'intégralité de la saga deux ou trois fois sur écran et j'ai beaucoup aimé.
J'avais été impressionné par l'évolution des personnages et de l'histoire, par le changement de ton et d'atmosphère qui passait de la gentille comédie fantasy pour ados à une extrême noirceur dans les derniers épisodes, comme si les héros de la série grandissaient en cours d'histoire en même temps que leurs lecteurs.
Ce qui m'avait jusque-là dissuadé tenait à ce que je connaissais l'histoire et qu'il s'agissait a priori d'une lecture "jeunesse", cela-dit pour ce genre, je n'ai été déçu ni par Bottero, ni par Pullman.
Ce qui m'a décidé, c'est qu'en furetant sur Babélio, je me suis rendu compte que la "saga Harry Potter" était dans le top 3 des livres les plus critiqués (+ de 1500) et lus (près de 100 000 lecteurs), on dit qu'il n'y a pas de fumée sans feu, alors j'ai eu finalement envie de me rendre compte par moi-même, vraiment envie, d'autant que la lecture de certains billets promettait des scènes absentes du film.
Pour parler de ma lecture je n'ai pas été déçu, ça se lit tout seul, ça se boit comme du "petit lait" et effectivement le livre est bien plus riche que le film que j'ai revu pour l'occasion.
Il y a une foule de détails qui rend cette lecture intéressante, qui donne un éclairage plus précis sur les relations et les interactions des personnages qui sont bien plus complexes que ce que laisse entrevoir le film, sans parler du contexte de Poudlard bien plus fouillé ici.
Pour conclure c'est donc une belle expérience de lecture, facilitée par les images que nous connaissons tous maintenant des personnages et de l'univers de la saga, j'ajoute que le style est agréable, je crois que je viens d'alourdir ma PAL de six volumes de magie, il va m'être impossible d'en rester là ;)
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Harry Potter and the Philosopher's stone
Traduction : Jean-François Ménard

C'est dans la banlieue aisée de Londres, 4, Privet Drive, que réside la famille Dursley. le père, Vernon, énorme et moustachu, dirige une entreprise spécialisée dans les perceuses et autres instruments du même type. La mère, Petunia, est une maniaque du ménage. Après son époux, son second amour, c'est son fils, Dudley, qu'elle surnomme allègrement (dans la traduction française, en tous les cas) "Dudleynichou."

Et puis, au numéro 4, Privet Drive, vit aussi le neveu des Dursley, le jeune Harry Potter, seul enfant de la soeur de Petunia, disparue onze ans plus tôt dans un accident de voiture aux côtés de son mari, James Potter. (Telle est en tous cas la version que Harry a toujours entendue jusque là.)

Comme le souligne J.K. Rowling dans je ne sais plus quel passage, on ne peut pas dire que les Dursley privent Harry de nourriture. Cependant, sans évoquer les Thénardier d'hugolienne mémoire, ils n'apprécient pas du tout leur neveu qu'ils laissent allègrement brutaliser par Dudley et ses amis.

D'ailleurs, Harry a droit au placard sous l'escalier en guise de chambre à coucher, c'est tout dire.

Quand débute cette saga promise à l'avenir brillant que l'on sait (mais qui ne se bâtira de bouche-à-oreille qu'à partir du troisième tome), Harry, comme d'ailleurs son cousin, va avoir onze ans. Et c'est quelques jours avant cette date symbolique que la Magie fait son entrée officielle dans son existence.

Harry est en effet né sorcier, fils de sorciers et, en tant que tel, inscrit d'office dès son premier vagissement à l'illustre Ecole de Magie de Poudlard que, conformément à la Tradition, il se doit de rejoindre à la rentrée scolaire suivant ses onze ans.

Cette histoire effarante, qu'il prend au début pour une mauvaise blague, il l'apprend, après bien des péripéties (l'oncle Vernon, traqué par des tonnes de lettres ensorcelées qu'il n'entend pas remettre à leur destinataire, Harry, et qui, de ce fait, soumettent littéralement le 4, Privet Drive à un siège intensif reste un moment-culte du livre autant que du film qui en fut tiré), de la bouche de Rubeus Hagrid, Gardien des Clefs et des Lieux à Poudlard, le même Hagrid qui alla le recueillir tout enfant dans la maison où ses parents avaient été assassinés par Lord Voldemort, le plus grand mage noir de tous les temps.

Cette nuit de cauchemar, dont le jeune garçon ne conserve que le vague souvenir d'une fulgurante lumière verte, lui a en outre laissé sur le front une cicatrice en forme d'éclair, celle que lui infligea la baguette de Voldemort lorsque celui-ci, pour compléter son oeuvre de mort, tenta d'assassiner également le nourrisson.

Seulement voilà : si prodigieuse que fût la magie du Seigneur des Ténèbres (autre nom pour désigner Lord Voldemort), elle n'eut sur Harry aucun effet. Mieux : elle se retourna contre celui qui voulait l'utiliser à son encontre et depuis ce jour, nul ne sait ce qu'est devenu Lord Voldemort.

Mais, ainsi que le dira plus tard Albus Dumbledore, le seul sorcier que Voldemort, qui fut jadis son élève à Poudlard, ait jamais redouté, le Seigneur des Ténèbres ne possédait plus en lui suffisamment d'humanité pour mourir. En foi de quoi, il est quelque part, on ne sait trop où, guettant son heure ...

Tel est le point de départ d'une série pour la jeunesse qui aura marqué la fin du XXème siècle et le début de celui-ci à un degré tel que beaucoup s'en sont agacés. A tort car les aventures de Harry Potter sont aussi morales que celles que nous concoctait jadis la comtesse de Ségur. Simplement, elles sont plus modernes et résolument tournées vers un fantastique qui, d'abord aimable, commence à s'assombrir dès le troisième volume.

Il n'y a pas d'ailleurs que les créatures fantastiques qui se fassent plus inquiétantes. Rowling a eu l'habileté de calquer le "gouvernement" du monde des Sorciers sur celui des Moldus (= les non-sorciers) et le personnage de Dolores Ombrage, qui fait son apparition dans le cinquième volume, s'inspire bien plus de l'Inquisition que des monstres lovecraftiens. Mais nous y reviendrons.

Un volume par année passée à Poudlard : si l'idée n'est pas neuve, elle permet en tous cas à Harry de grandir avec ses lecteurs. Ses émotions et ses angoisses font de même. Et, bien sûr, ses condisciples : tout d'abord, ses deux plus fidèles amis, Ron Weasley qui appartient à l'une des plus vieilles familles de sorciers connues, et Hermione Granger, une Moldue pur-sang dont les parents sont ... dentistes ; mais aussi les inénarrables jumeaux Fred et George, frères aînés de Ron, toujours à l'affût d'une bêtise à faire ou d'une nouveau passage secret à découvrir, Neville Londubat, dont les parents sont devenus fous après avoir été torturés par les sbires de Lord Voldemort et bien d'autres ...

Les professeurs, quant à eux, ne changent guère. D'année en année, tous sont fidèles au poste, sauf celui à qui revient la charge d'enseigner la Défense contre les Forces du Mal - on en connaîtra les raisons dans un autre volume.

Parmi ces enseignants, mention spéciale au professeur Severus Rogue, l'un des personnages les plus ambigus et aussi les plus puissants de la série. Retenez bien son nom ...

... si vous ne le connaissez pas encore, ce dont je doute.

Enfin, on ne se lasse pas de le dire et de l'écrire, la première magie de ce livre, la plus puissante sans doute, est de ramener le lecteur adulte et blasé au temps de son enfance, quand il rêvait encore de sorcières, de balais volants, de dragons ... et d'un univers aussi vaste que ses rêves les plus secrets.

Et c'est pourquoi, en dépit d'un style un peu faible et que la traduction dessert souvent, J. K. Rowling mérite de figurer à jamais au Panthéon des Ecrivains pour la Jeunesse, aux hauteurs vertigineuses où planent depuis longtemps deux autres Anglo-saxons : le très britannique Lewis Carroll et l'australienne Pamela J. Travers, la "mère" de Mary Poppins. ;o)
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906ème critique... que dire? Lu pour la première fois il y a 10 ans, j'ai vu et revu les films. Pourquoi le relire dans ce cas? Parce que c'est fun fun fun! Je me suis régalée... à nouveau.

Quel plaisir de retrouver tous les personnages à l'aube de leur grande aventure. J'avais oublié moult détails... c'est bien le but de la relecture : la redécouverte. Pas de suspense mais une profonde nostalgie... c'est un peu comme si je l'avais lu enfant.

Je crois que je me vais me refaire toute la série ^^

Pour conclure : à lire et à relire sans modération!

Challenge multi-défis 2017 (19)

Liste (non exhaustive) des prix littéraires reçus :

* Nestlé Smarties Book Prize 1997 Gold Medal 9–11 years 
* FCBG Children’s Book Award 1997 Overall winner in Longer Novel Category
* Birmingham Cable Children’s Book Award 1997 
* Young Telegraph Paperback of the Year 1998
* Carnegie Medal 1998 (Shortlist) 
* British Book Awards 1997 Children’s Book of the Year 
* Sheffield Children’s Book Award 1998 
* Whitaker’s Platinum Book Award 2001 
* Voted nation’s favourite children’s book in Reading charity Booktrust’s ‘100 best books for children’ vote (2013) 
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Il est particulièrement important puisqu'il sert de base introductive aux six autres tomes. Il permet de découvrir l'univers d'Harry Potter, de se familiariser avec les personnages, les lieux, les moeurs et tout le vocabulaire de ce monde magique inventé. Ce premier tome ne semble pas soulever de questions sans réponses, mais il n'en est rien : il contribue à installer les noeuds de l'intrigue d'Harry Potter grâce à des indices sur la suite de l'histoire suffisamment bien cachés pour ne pas éveiller les soupçons du lecteur.

Il a été traduit en français, comme les six autres tomes de la série, par Jean-François Ménard. L'illustration de la couverture dans son édition française est de Jean-Claude Götting. La toute première édition française d'Harry Potter à l'école des sorciers de 1998 contient des illustrations en têtes de chapitre dessinées par Emily Walcker totalement inédites qui ont été supprimées par Gallimard dans les éditions suivantes, ce qui fait de l'édition originale un collector absolu et rarissime, ceci d'autant plus qu'à l'instar de son homologue britannique, elle a bénéficié d'un tirage de lancement assez faible (Personne ne connaissait Harry Potter à l'époque). Cette première édition dont le prix atteint aujourd'hui des sommets est évidemment activement recherchée par les collectionneurs français et demeure extrêmement difficile à dénicher (surtout en bon état, car ce petit livre était très fragile). le texte français de la première édition était toutefois allégé de certains paragraphes du texte original. Cette première édition se reconnait au dépôt légal et date d'impression.
Après la mort tragique de Lily et James Potter, Harry est recueilli par sa tante Pétunia, la soeur de Lily et son oncle Vernon. Son oncle et sa tante, possédant une haine féroce envers les parents d'Harry, le maltraitent et laissent leur fils Dudley l'humilier. Harry ne sait rien sur ses parents. On lui a toujours dit qu'ils étaient morts dans un accident de voiture.

Le jour de ses 11 ans, un demi-géant du nom de Rubeus Hagrid vient le chercher pour l'emmener à Poudlard, une école de sorcellerie, où il est attendu pour la rentrée. Hagrid lui révèle qu'il est un sorcier comme ses parents et que ses parents ont en réalité été tués par l'un des plus grands mages noirs du monde de la sorcellerie, Voldemort, surnommé "Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom". Voldemort a cherché à tuer Harry, mais ce dernier a survécu, en gardant une cicatrice en forme d'éclair sur le front. Harry découvre alors qu'il est un héros dans le monde des sorciers, car le sort que Voldemort lui a lancé pour le tuer s'est retourné contre lui et le règne du mage noir s'est arrêté, grâce à lui. Harry, surnommé le survivant, est adulé par la communauté des sorciers.

Harry entre donc à l'école de sorciers, Poudlard, où le professeur Albus Dumbledore est directeur. Après sélection par le Choixpeau magique, il entre dans la maison des Gryffondor et se fait de très bons amis : Ron et Hermione, avec qui il passe des moments heureux. Harry entre rapidement dans l'équipe de Quidditch de sa maison, un sport collectif très populaire chez les sorciers se pratiquant sur des balais volants.

Mais Harry découvre bientôt l'existence d'un complot à l'intérieur de Poudlard.
Chapitre 1 : le survivant

Le premier novembre 1981, les Dursley mènent une vie paisible au 4, Privet Drive, quand un mystérieux personnage, Albus Dumbledore, dépose leur neveu Harry, alors âgé d'un an, devant leur porte. Sa mère Lily Potter est la soeur de Pétunia Dursley, mais Pétunia refuse d'entendre parler d'elle, même par son mari Vernon Dursley. Les parents de Harry sont morts la veille, assassinés par un personnage effrayant dont on ne doit pas prononcer le nom, mais Harry a survécu à l'attaque. Il est donc appelé par le monde de la sorcellerie « Harry Potter, le survivant ».

Chapitre 2 : Une vitre disparaît

Dix ans plus tard, chez les Dursley, Harry est négligé par son oncle et sa tante. Lors de l'anniversaire de Dudley, la famille Dursley se rend au zoo en compagnie de Piers Polkiss, l'ami de Dudley ; Harry fait partie de la sortie. Dudley, qui veut voir un serpent bouger, demande à son père de taper contre la vitre du vivarium, mais sans succès. Il reporte alors son attention sur d'autres reptiles mais, pendant ce temps, Harry parle au serpent ; et celui-ci se comporte comme s'il comprenait les paroles de Harry. Dudley bouscule alors Harry, le fait tomber a terre et s'appuie contre la vitre, tout satisfait de voir le serpent bouger. Harry devenu furieux, la vitre disparaît mystérieusement, laissant le serpent s'échapper, et Dudley et Piers sont pris de panique. Suite à l'incident, Vernon décide d'enfermer Harry dans son placard, situé sous les escaliers.

Chapitre 3 : Les lettres de nulle part

Un matin, en allant prendre le courrier, Harry découvre une lettre qui lui est destinée. Mais son oncle la lui confisque et semble très inquiet. le lendemain, la lettre arrive à nouveau mais en dix exemplaires, et il en arrive de plus en plus chaque jour. Pour échapper à ces lettres et de peur que Harry ne réussisse à en attraper une, la famille, sur la décision de l'oncle Vernon, part se réfugier dans un hôtel, l'Hôtel du Rail, mais ils y reçoivent la lettre une fois de plus. Ils partent alors se réfugier dans une cabane située au sommet d'un rocher, à bonne distance de la côte.

Chapitre 4 : le gardien des clés

Cette nuit-là, Harry Potter, couché sur le plancher de la cabane car les Dursley n'ont pas pris la peine de lui faire un lit, attend avec impatience que la montre de Dudley sonne minuit, car dès minuit, il allait avoir onze ans. Mais un demi-géant du nom de Rubeus Hagrid vient perturber le silence de la cabane. Il se présente comme étant le gardien des clés et des lieux à l'école de sorcellerie de Poudlard. Il est par contre choqué de savoir que Harry ne connait pas cet endroit et qu'il croit ses parents morts dans un accident de voiture. Harry apprend alors comment ses parents ont été tué par le plus grand mage noir de tous les temps, Lord Voldemort (Que l'on connaitra plus tard sous le nom de Tom Elvis Jedusor), et il est (finalement) autorisé à lire sa lettre qui l'informe qu'il est inscrit à Poudlard depuis sa naissance.

Chapitre 5 : le chemin de Traverse

Hagrid, le géant, emmène Harry acheter ses fournitures scolaires sur le Chemin de Traverse à Londres, une sorte d'univers parallèle auquel on accède par la magie. À la banque des sorciers de Gringotts, Harry apprend que ses parents lui ont laissé beaucoup d'argent avant de mourir. Tandis qu'il prend l'argent, Hagrid récupère dans une chambre forte un objet entouré de papier mais sérieusement gardé. Harry achète son matériel, dont une baguette magique, il apprend qu'elle est faite avec une plume du même phénix que celle qui constitue la baguette de Voldemort.

Chapitre 6 : Rendez-vous sur la voie 9¾

Le premier septembre, dans le train qui le conduit à Poudlard, Harry fait la connaissance de Ron, Hermione et Neville qui entrent comme lui en première année à l'école de sorcellerie. Mais il ne se fait pas que des amis : il doit aussi affronter les moqueries de Drago Malefoy et de ses deux acolytes Goyle et Crabbe. Il apprend aussi qu'à Poudlard il y a quatre maisons et que les élèves y entrent selon leur personnalité. Mais tout le monde se pose la même question : dans quelle maison chacun va-t-il aller ?

Chapitre 7 : le choixpeau magique

Les élèves arrivent à Poudlard. Pour savoir dans quelle maison les apprentis sorciers vont faire leurs études, ils doivent chacun leur tour coiffer le choixpeau magique : quand on le pose sur la tête du novice, il annonce la maison à laquelle celui-ci est destiné. Harry est envoyé à Gryffondor pour rejoindre « les courageux, les plus hardis et les plus forts », avec Ron et Hermione. Il est content d'avoir résisté au choixpeau qui voulait l'envoyer à Serpentard — à l'instar de Drago —, la maison par où sont passés de nombreux sorciers qui ont mal tourné, comme Voldemort.

Chapitre 8 : le maître des Potions

Lors de cette première semaine de cours, Harry découvre ses professeurs et surtout l'hostilité que semble lui vouer un certain Severus Rogue, le professeur de potions. le vendredi, Harry voit un journal, la Gazette du Sorcier, annonçant que la banque des sorciers avait été cambriolée le jour même où lui et Hagrid s'y étaient rendus. Il comprend que le cambriolage visait précisément la chambre forte où Hagrid avait récupéré l'objet mystérieux.

Chapitre 9 : Duel à Minuit

Au premier cours de vol sur balai, Neville, un ami de Harry, reçoit un Rapeltout, une petite boule dont la fumée s'en dégageant devient rouge quand on a oublié quelque chose, envoyé par sa grand-mère. Drago Malefoy s'en empare, ce qui fait éclater entre Malefoy et Harry une bagarre pour récupérer le Rapeltout dans les airs, Harry se montre très doué en vol sur balai. Harry réussit à récupérer l'objet de Neville mais se fait attraper par le professeur Minerva McGonagall qui l'emmène dans le château et lui fait une proposition : être attrapeur pour le match de Quidditch. Malefoy qui espérait que Harry se fasse renvoyer de Poudlard le provoque en duel à minuit, mais ne vient pas. Ceci avait en fait pour but de l'attirer dans un piège. Harry, accompagné d'Hermione et de Ron, se trouve poursuivi par Argus Rusard — le concierge — et se cache dans le couloir interdit. Harry découvre alors où se trouve le petit paquet enveloppé de papier kraft que Hagrid était allé cherché dans la chambre forte n° 713 de la banque Gringotts : il est dans le couloir interdit, protégé par Touffu, le terrible chien à trois têtes.

Chapitre 10 : Halloween

Le jour d'Halloween, Hermione, qui entend une remarque de Ron qui ne lui plaît pas, va se réfugier dans les toilettes, ne sachant pas qu'un Troll est dans l'école. Ron et Harry décident d'aller la chercher. En jetant le sort Wingardium Leviosa, Ron réussit à assommer le Troll avec sa propre massue et à sauver Hermione. Harry remarque alors que Rogue est blessé à la jambe et en déduit qu'il a fait rentrer le troll pour pouvoir passer devant Touffu, le chien à trois têtes.

Chapitre 11 : le match de Quidditch

Après un long entraînement, voici enfin le premier match de Quidditch. Pendant le match, le balai de Harry est soudain détourné par un maléfice inconnu : il emporte Harry de plus en plus haut et cherche à le faire tomber. Dans les tribunes, Hermione aperçoit le professeur Rogue formuler des incantations en regardant fixement Harry. Elle court vers lui mais au passage renverse le professeur Quirrell pour le déstabiliser et envoie une étincelle sur sa robe qui prend feu. le feu s'éteint vite, Harry reprend le contrôle de son balai et Gryffondor gagne le match (on saura plus tard que c'était Quirrell qui voulait faire tomber Harry de son balai et que Rogue cherchait à rétablir la situation). En allant ensuite boire un thé chez Hagrid, Harry, Ron et Hermione apprennent que l'objet que celui-ci était allé chercher à la banque des sorciers « est une affaire entre Albus Dumbledore et Nicolas Flamel ».

Chapitre 12 : le Miroir du Riséd

Harry, Ron et Hermione recherchent dans la bibliothèque des informations sur Nicolas Flamel. Harry reçoit une cape d'invisibilité pour Noël. Pour échapper à Rogue et à Rusard, Harry rentre dans une pièce dont la porte est entrouverte. Il y découvre un miroir étrange, sur lequel il est écrit : « Riséd elrue ocnot edsi amega siv notsap ert nomen ej », qui lu à l'envers fait « je ne montre pas ton visage mais de ton coeur le désir ». Il fait un pas en avant et voit son reflet avec un groupe de gens derrière lui (sa famille). Harry revient plusieurs fois car il veut en savoir plus sur lui-même. Ron est de mauvaise humeur et Harry lui promet de lui montrer le miroir qu'il a vu. Ron voit son reflet avec l'équipe de Poudlard (Ron est capitaine). Ils reviennent plusieurs fois jusqu'à ce qu'on enlève le miroir. Car Dumbledore, qui les a surpris, a expliqué à Harry que ce miroir ne montre que notre désir le plus profond et le plus cher et qu'il a rendu certains sorciers fous. Dumbledore prend la décision de le changer de place à travers le château afin que Harry ne sache plus où il se trouve.

Chapitre 13 : Nicolas Flamel

Grâce à Hermione, les trois amis retrouvent qui est Nicolas Flamel : « c'est le seul alchimiste qui ait réussi à fabriquer la pierre philosophale », qui a la propriété de transformer n'importe quel métal en or pur et qui produit l'élixir de longue vie qui rend immortel. Ils comprennent maintenant que l'objet si précieux caché dans le couloir interdit est la pierre philosophale. Après la victoire du match de quidditch contre la maison de Poufsouffle, Harry surprend une conversation entre les professeurs Rogue et Quirrell, de laquelle il déduit que Rogue cherche l'aide de Quirrell pour aller voler la pierre.

Chapitre 14 : Norbert le dragon

Harry apprend que Hagrid élève un dragon dans sa cabane bien qu'il sache qu'il est interdit d'avoir ou d'élever un dragon à Poudlard. Mais le dragon grandit et la catastrophe est imminente. Harry réussit, avec Ron et Hermione, à convaincre Hagrid d'envoyer le dragon en Roumanie, où le frère de Ron a un élevage. Après tout ça, Hagrid explique à Harry, Ron et Hermione que la pierre philosophale est gardée au passage interdit par Touffu et par les sortilèges des professeurs. Un soir à minuit, alors que Ron est à l'infirmerie, Harry et Hermione emmènent Norbert le dragon au sommet de l'une des tours de l'école pour que les amis du frère de Ron, qui arrivent sur leurs balais, l'emportent. Mais en repartant vers leurs dortoirs, Harry et Hermione se rendent compte qu'ils ont oublié la Cape d'Invisibilité qui les camouflait en haut de la tour. Et comble de l'horreur, ils rencontrent Rusard sur leur passage. Il les emmène dans le bureau du professeur McGonagall. Harry découvre alors que Neville à également été attrapé pour avoir cru à l'histoire du dragon. Drago Malefoy est aussi pris.

Chapitre 15 : La forêt interdite

Harry, Drago, Neville et Hermione reçoivent une retenue et enlèvent respéctivement 150 points à Gryffondor et 20 à Serpentard car ils étaient dehors après le couvre-feu. Gryffondor est alors relégué à la dernière place du classement pour la Coupe des Quatre Maisons. Alors que les examens approchent, Harry soupçonne Quirrell d'avoir été à nouveau menacé par Rogue et de lui avoir cédé. le lendemain de cette découverte, Harry, Neville, Hermione et Drago apprennent en quoi doit consister leur retenue : ils doivent aller dans la forêt interdite avec Hagrid pour retrouver une licorne blessée. C'est Harry et Drago qui la retrouvent, mais elle est morte ; penchée sur elle, une créature encapuchonnée est en train de boire son sang. Harry éprouve alors une douleur insupportable à sa cicatrice. Cette créature n'est autre que Lord Voldemort, qui ne peut alors survivre qu'en buvant du sang de licorne. Un centaure répondant au nom de Firenze vient au secours d'Harry et chasse Voldemort.

Chapitre 16 : Sous la trappe

Harry comprend que Rogue essaie de trouver la pierre philosophale pour redonner la vie à Voldemort. Si Rogue a réussi à convaincre Quirrell, il va probablement essayer d'aller chercher la pierre le soir même. Harry apprend justement que Dumbledore a été éloigné de Poudlard par ruse ; il décide donc d'aller prendre la pierre lui-même. Avec Ron et Hermione, ils parviennent à franchir les protections des professeurs Chourave, Flitwick, McGonagall, Quirrell et Rogue mais c'est seul qu'Harry parvient à la dernière pièce, où se trouve la pierre.

Chapitre 17 : L'homme aux deux visages

Après avoir franchi toutes les épreuves, Harry se retrouve nez à nez avec Quirrell. Celui-ci lui raconte toute la vérité : c'est lui qui avait fait entrer le troll dans l'école et tenté de tuer Harry lors du match de Quidditch. Harry est terrifié lorsque Quirrell déroule le fameux et mystérieux turban violet qu'il porte toujours : le couvre-chef dissimulait le visage de Voldemort, formé à l'arrière du crâne de Quirrell ; le mage noir parasitait le corps du professeur pour se rapprocher de la pierre philosophale cachée dans l'école. À travers Quirrell, Voldemort demande à Harry de lui donner la pierre, et ce dernier la sent apparaître dans sa poche à ce moment-là : il a pu la trouver car il ne souhaitait pas s'en servir pour devenir immortel. Harry se rend compte que Quirrell ne pouvait le toucher sans souffrir de terribles brûlures. Dumbledore, qui a été averti par Ron et Hermione, sauve Harry in extremis de Voldemort et fait détruire la Pierre. À la fin de l'année, grâce aux exploits d'Harry, de Ron, d'Hermione et des 10 points gagné par Neville Londubat « pour le courage de se battre contre ses amis », les Gryffondor gagnent la coupe des quatre maisons. Quand il rentre enfin chez les Dursley (qui ne savent pas qu'Harry n'a pas le droit de pratiquer la magie en dehors de l'école), Harry dit tout haut : « Je vais bien m'amuser avec Dudley cet été ! ».
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Accio critique du tome 1 !

Cette série est juste magique. J.K. Rowling nous offre des livres pour tous les âges, tous les goûts (policier, fantasy, humour...) en nous plongeant dans l'aventure fantastique du jeune Harry Potter.
Harry est un jeune garçon gardé chez son oncle et sa tante (très peu bienveillants envers lui en passant) du fait que ses parents sont morts dans un accident de voiture quand il était âgé de un an.

Le jour de son onzième anniversaire, un géant va bouleverser la vie de l'adolescent. En effet, il se présente comme étant Hagrid, garde-chasse d'une étrange école, nommée Poudlard. Étrange école, car cette école est une école de magie. Et Hagrid apprend à Harry qu'il est un sorcier. D'abord décontenancé, Harry voit enfin la vérité face à lui, et des événements incompréhensibles de sa vie s'éclairent enfin.

J'ai bien aimé ce passage où Vernon, si autoritaire auparavant, doit se faire tout petit face à la fureur d'Hagrid et ce, devant les yeux amusés de Harry.

Harry se rend ensuite à Poudlard où il suit ses cours de magie avec ses amis Ron et Hermione. Il se révèle être un excellent joueur de Quidditch, le sport favoris des sorciers. Chose particulière, le professeur de potions, Severus Rogue, semble avoir une dent contre lui.

Malgré son côté ténébreux, Rogue est mon personnage préféré de la série pour
Pendant cette année scolaire se trame un étrange complot. En compagnie de Ron et Hermione, Harry va enquêter et enter de percer ce mystère à jour.

Malgré cette superbe lecture, je reste très très déçu par les films qui ne retracent pas exactement la même histoire (parfois, les meilleurs passages sont enlevés), avec quelques acteurs que je n'ai pas trop aimé. Bref, les films ont vraiment été une déception pour moi.

Sinon, à lire, relire et re-relire !
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Avec plus de 100 000 lecteurs rien que sur ce site, une moyenne de 4,39 sur 20401 notes et plus de 1500 critiques est-il vraiment nécessaire que je donne mon avis sur ce premier tome de la fameuse saga de fantasy jeunesse ?

La réponse est non et si je n'avais pas fait cette lecture dans le cadre d'une lecture commune avec le très sympathique FrancoMikey qui a la gentillesse de prendre le temps de répondre à mes pavés en MP malgré son emploi du temps chargé j'avoue que je me serais abstenue de donner mon avis ici.

En effet, à moins d'avoir vécu au fin fond d'une grotte ces 20 dernières années (et encore) aucun d'entre vous n'a pu passer totalement à côté de la saga. Entre les romans, les films et les innombrables produits dérivés, Harry Potter est rien de moins que la 3e franchise la plus rentable de tous les temps à en croire Wikipédia.

Ma découverte de la série a été assez classique en ce qui me concerne. J'ai tout simplement emprunté le premier tome au CDI quand j'étais en 6e, la magie avait dès les premières pages opérée. La plume de J.K Rowling est fluide, agréable et accessible sans être simpliste pour autant ce que je trouve toujours fort agréable. L'univers est déjà pour un premier tome d'une densité rare et fourmille de très bonnes idées en passant des chocogrenouilles, au choixpeau, à la rue de traverse et ses incroyables boutiques ou encore aux règles du quidditch, le sport préféré de nos sorciers favoris. D'un chapitre à l'autre on ne peut que s'émerveiller de l'univers que nous présente pas à pas l'auteure qui arrive à nous emporter avec elle dans son imagination débordante.

Harry Potter m'a plu à ma toute première lecture parce qu'il parle aussi je pense à tout collégien. Non seulement lors de ma lecture j'avais le même âge que Harry mais en plus le cadre de l'école et tout ce qui l'accompagne (la rentrée, les cours, les nouveaux profs, les amitiés qui ne nouent) est forcément plus qu'évocateurs quand on rentre au collège. Changement de cap, de rythme, nouvelles rencontres et amitiés, autant d'expériences que l'on partage en commun avec le personnage principal de l'histoire. Un personnage très attachant et sympathique que l'on prend plaisir à suivre dans sa première année à Poudlard en compagnie de Ron et d'Hermione.

Cette saga est devenue au fil des ans une saga doudou. En cas de petit moral, de panne de lecture, ou juste l'envie d'une valeur sûre, je sais que je peux les yeux fermé ouvrir un tome d'HP qui sera la garantie de passer un agréable moment de détente immersif avec une lecture que j'associe par ailleurs à beaucoup de souvenir très positif.

Chaque lecteur à son tome préféré, certains apprécient les derniers, plus dense et plus sombre que les premiers. Ce n'est personnellement pas mon cas, ma préférence va à ce premier tome car justement c'est le tout premier. le plus jeunesse, le plus court et rapide à lire de la saga et je dirais sans doute le plus magique car tout y est nouveau.

Ce premier tome introductif d'une saga de plusieurs milliers de pages constitue aussi l'un de mes premiers pas dans la fantasy, dans la lecture de manière plus générale. Il fait partie de ces lectures qui m'ont donné envie de lire, d'ouvrir d'autres romans pour voir ce qui s'y cachait et je ne lirais peut-être pas autant aujourd'hui, voire peut-être pas du tout si je n'avais pas lu ce premier tome d' Harry Potter.
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Thème : Harry Potter, tome 1 : Harry Potter à l'école des sorciers de J. K. RowlingCréer un quiz sur ce livre

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