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EAN : 978B00C01OP76
Audiolib (30/11/-1)
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3.15/5   2068 notes
Résumé :
Bienvenue à Pagford, petite bourgade en apparence idyllique. Un notable meurt. Sa place est à prendre...
Comédie de mœurs, tragédie teintée d'humour noir, satire féroce de nos hypocrisies sociales et intimes, ce premier roman pour adultes révèle sous un jour inattendu un écrivain prodige.

A été adapté par la BBC , sous son titre original "The Casual Vacancy"
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Critiques, Analyses et Avis (552) Voir plus Ajouter une critique
3,15

sur 2068 notes
Bon, de suite sachez qu'il m'a fallu DEUX LONGS MOIS pour le finir (et pourtant je lis vite d'habitude) mais j'ai eu énormément de mal à accrocher

Le roman a pour cadre un petit village conservateur d'Angleterre où l'un des conseiller municipaux, Barry Fairbrother décède d'un anévrisme cérébral. Ce décès va libérer une place à la table du Conseil, et deux camps vont s'affronter pour gagner. D'un côté, nous avons les pro-Fairbrother, se battant pour la conservation d'un quartier pauvre (Les Champs) et de la clinique de désintoxication (Bellchapel) au sein du giron de la ville. de l'autre, les Anti-Fairbrother qui ne veulent pas que leur ville soit associée à la misère du monde et souhaite que la clinique soit fermée et le quartier défavorisé abandonné à la ville à côté.

Venons en maintenant au ressenti : TROP DE PERSONNAGES TUENT LES PERSONNAGES !!
Il y a dans ce roman tellement de personnages que l'on ne sait plus trop qui est qui (et le temps de s'en souvenir, on passe à un autre). J'avoue qu'à certains moments j'en arrivais à avoir mal à la tête à essayer de me souvenir qui était machin, avec qui il était marié, qui était ses enfants....grrrrr

Le récit pendant près des 3/4 du livre stagne et n'avance pas... les personnages sont centrés sur eux-même et n'ont que très peu d'interaction avec les autres. Par contre, le dernier quart, là ça bouge avec des rebondissements, des volte-face, des non-dits, des malheurs, des secrets dévoilés.

Bon, à chaud je dirais que le livre ne m'a pas emballé. Mais après réflexion (et digestion ), ce livre n'est pas si mauvais. Je comprends pourquoi l'auteure a mis tant de temps à "animer" ses personnages : elle souhaitait plonger le lecteur dans la même atmosphère que cette ville morne, statique, conservatrice, refusant le changement.

Si je devais comparer ce livre avec un autre, sans hésitation, je dirais Les Misérables de Victor Hugo. Nous avons en 500 pages la décadence d'une ville et de sa population qui nous est relatée. Une société peinte non pas en rose mais de manière assez crue, abordant des thèmes durs comme la drogue, le viol, la pédophilie, la mal-être de la jeunesse, l'absence de point de repère, l'incompétence des services sociaux...

Il est vraiment dommage que ce livre n'ait pas connu un meilleur accueil (ce qui se comprend, beaucoup de lecteurs s'attendaient à lire du J.K. Rowling soft).
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Pas mécontente d'avoir tourné la dernière page! C'est long, c'est noir et contrairement à ce qu'annonce la quatrième de couverture, pas drôle du tout. On est loin d'un Jonathan Coe ou d'un David Lodge.
Les protagonistes, notables d'une petite bourgade du sud ouest de l'Angleterre sont très rapidement présentés et il m'a fallu au moins deux cents pages pour commencer à les identifier, d'autant que, diminutifs et surnoms viennent corser l'affaire.
Impossible d'éprouver une quelconque forme d'empathie pour ces esprits étriqués, centrés sur leur propre intérêt. C'est tout juste si les plus faibles d'entre eux, ceux qui mettront le feu aux poudres en attisant les vils instincts des candidats à la succession, suscitent un sentiment de compassion.
L'action s'accélère aux trois quarts du livre, mais il est trop tard pour que la magie opère : on a juste hâte que cela se termine pour passer à autre chose.
Lien : http://kittylamouette.blogsp..
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Je m'étais engagée à lire ce roman et en refermant le livre après en avoir terminé la lecture, ma première pensée a été : ça, c'est fait ! Que de soupirs avant d'en arriver à bout ! La deuxième pensée qui m'est venue à l'esprit était une question : « Qu'est- ce que j'aime trouver dans un roman ? réponse : le suspens, l'humour, l'émotion, mais encore me sentir pleine de compassion à l'égard des personnages, avoir envie de savoir ce que chacun va devenir, sentir venir la fin de l'histoire…
Tout ce qu'il n'y a pas dans le livre de JK Rolling ! Une des raisons pour lesquelles Je m'étais portée volontaire pour le lire était la quatrième de couverture : tragédie teintée d'humour noir, or je pense qu'il vaut mieux retirer le mot humour pour laisser le mot noir, car ce roman, je l'ai trouvé insipide au tout le long et noir sur la fin.
Les personnages sont pathétiques, les uns stupides, les autres rapaces, pervers, méchants… Je n'ai ressenti de compassion que pour Terri et sa famille qui avaient des circonstances atténuantes. On a vraiment l'impression de séjourner dans un panier de crabes ! Bonjour l'ambiance !
Cette fois JK Rolling ne m'a pas captivée comme elle l'avait fait pour Harry Potter !

Lien : http://1001ptitgateau.blogsp..
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C'est un bon roman, honnête dans sa construction et sa volonté de renouveler un cliché bien connu : le petit village anglais parfait en apparence, mais rongé par l'ambition, la jalousie, les affaires extra-conjugales, les gens "qu'on ne peut pas décemment fréquenter"...
Un mort (le seul personnage pur et honnête) et "son fantôme" (attention, il n'y a guère de fantastique ici, c'est juste l'illusion d'un fantôme) sert de révélateur à ses guerres internes (parents/enfants, mari/femme, honnêtes gens/ infréquentables) au parfum bien connu.
JK Rowling n'a rien perdu de sa griffe, quand il s'agit de créer des caractères qui semblent émerger de la page, tant ils sont réels ou crédibles, ou d'entraîner le lecteur dans les tourments des dits-personnages, malgré le caractère très prévisible de l'intrigue et du développement de certains anti-héros.
Là où elle déçoit un peu, c'est qu'elle échoue à renouveler le thème qu'elle aborde : elle qui avait si bien réussi à renouveler l'art du roman jeunesse, elle ne parvient guère à trouver un angle d'approche marquant pour son passage chez les adultes. Il en résulte un roman qui ne surprend guère, malgré son agréable aspect de page turner.
Là où elle surprendra peut-être, c'est dans la dureté du langage (tantôt vulgaire, tantôt brutalement incisif) et de certaines scènes (viols, engueulades disproportionnées), dont on se demande, parfois, si elles servent l'intrigue ou si elles ne sont là que pour se démarquer du phénomène Harry Potter.
Un passage au domaine adulte honnête, mais peu marquant.

(critique élaborée à partir de la version originale)
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D'un côté, Yarvil, ville mère avec son journal, son centre commercial, ses cinémas, ses immeubles, ses cités sociales… de l'autre, le petit bourg de Pagford, niché au pied de l'abbaye, avec ses maisons bourgeoises, ses villas aux jardins bien entretenus, son unique épicerie, son salon de thé, son Conseil paroissial (presque aussi important qu'un gouvernement fédéral)… Entre les deux, la cité sociale des Champs appartenant à Yarvil mais construite sur des terres de Pagford, usurpées par traitrise selon certains, et Bellchapel, la clinique de désintoxication, sise dans l'église désaffectée.
Administrativement, Pagfrod dépend de Yarvil – il n'y a pas de maire à Pagford – mais le bourg jouit d'une certaine indépendance dans divers domaines. Howard Mollison, le président du Conseil paroissial, voudrait se débarrasser une bonne fois pour toutes de la tutelle de la cité des Champs et de la clinique, qu'il voit comme deux abcès purulents sur la face lisse de « sa » ville. Il n'a que faire des parias, des parasites et des drogués qui y pullulent et menacent la tranquillité de Pagford !
Le charismatique Barry Fairbrother est son plus grand opposant au Conseil. Mais voilà qu'il décède d'une rupture d'anévrisme et laisse une place vacante. La petite bourgade paradisiaque va alors révéler son vrai visage.
Dans ce roman, JK Rowling nous dépeint un monde qu'elle connait bien. Même si Pagford n'existe pas, il s'est nourri de ses souvenirs d'enfance et d'un passé encore proche qu'elle ne renie pas. La pauvreté, la misère, elle a fait plus que les côtoyer. Elle les a vraiment vécues. Cela se sent dans le portrait très fin qu'elle dresse des habitants des Champs. Malgré un regard impitoyable sur leurs travers, leurs bassesses et leurs fêlures, on sent aussi beaucoup de tendresse dans ses propos. Pour Krystal notamment.
L'histoire -et le milieu dans lequel elle s'inscrit- n'est pas sans rappeler les films de Ken Loach (Sweet sixteen, Looking for Eric) ou encore « Billy Elliot » ou « Full Monty ». Même ambiance, même fond de crise économique et sociale, même décor. Mais là où « Billy Elliott » ou « Full Monty » laissait espérer une vie meilleure, une possibilité d'échapper à son destin et de se prendre en mains, JK Rowling a choisi de nous montrer le rude côté des choses, d'une vie qui ne se passe pas toujours comme on l'a rêvée.
Manigances, hypocrisies, lâchetés et faux-semblants sont le décor sordide de ce récit. Que ce soit au sein de la ville et de son Conseil ou dans l'intimité des familles. Et chacun d'y reconnaitre un peu de son propre entourage…
Je n'attendais rien de particulier de cette lecture, si ce n'est me rendre compte de la manière dont JK Rowling allait rebondir après le départ d'Harry. J'ai été charmée par cette histoire. On retrouve les descriptions fines et précises qui m'ont tant plu dans la saga Harry Potter et le souci du détail. Sans oublier cette inimitable écriture qui rend chaque fin de chapitre si attrayante qu'on a beau se dire « cette fois, je ferme », on se surprend quand même à tourner la page pour lire « les premiers mots, juste les premiers mots » avant de se laisser entraîner, faibles lecteurs que nous sommes.
Dans ce roman, ce sont surtout les jeunes qui m'ont émue : des adolescents en crise, certes, mais lucides, jetant un regard sans complaisance sur leurs parents et le monde des adultes en général. Des jeunes trop mûrs car malmenés par la vie ; des jeunes qui ne veulent en rien ressembler à leurs parents mais qui sont déjà tellement meurtris qu'on se demande comment ils pourraient en être autrement.
Ce n'est pas un conte de fées que nous propose JK Rowling ici. Rien de magique dans ce récit. Mais la vie ; juste la vie, comme elle est, parfois…



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critiques presse (5)
Bibliobs
15 octobre 2012
Mortelles, les pages. La France avait Marceline Desbordes-Valmore, alias «Notre-Dame-Des-Pleurs», l'Angleterre nous offre J.K. Rowling, une desperate housewife qui se prend pour Dickens.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
LeFigaro
08 octobre 2012
L'auteur favorise l'étude psychologique approfondie de ses héros. [...] Restent une vulgarité dans le ton un peu trop facile et une noirceur un peu trop forcée pour transformer ce coup d'essai en coup de maître. La magie lui fait défaut.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
LesEchos
02 octobre 2012
La maman d'Harry Potter veut montrer […] qu'il y a une vie après Poudlard. Au risque d'en faire trop. L'accumulation des situations sordides, des coups foireux, des ambitions et des lâchetés des uns et des autres, finit par saouler. D'autant qu'on a du mal à se passionner pour l'enjeu […]. Le style cru, violent, procède de cette volonté de s'affranchir du passé.
Lire la critique sur le site : LesEchos
LaPresse
01 octobre 2012
Après une entrée en matière prometteuse [...], les [protagonistes] agissent et interagissent à travers des scènes où l'humour frappe ici et là avec bonheur, mais où la tentative de satire n'est pas concluante. Et si le dernier acte, percutant et ficelé «à la Rowling», rachète bien des longueurs, encore faut-il s'y rendre.
Lire la critique sur le site : LaPresse
LeFigaro
01 octobre 2012
C'est parfois bien vu mais souvent prévisible aussi. Leurs antagonismes servent l'intrigue du roman qui s'essouffle au fil des pages avant de s'emballer dans la toute dernière partie du livre en une sorte de final mélodramatique.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Citations et extraits (136) Voir plus Ajouter une citation
toutes les têtes se retournèrent : le cercueil remontait la travée.
Les hommes qui le portaient étaient dissemblables à un point qui frisait le ridicule : les frères de Barry devaient faire un mètre soixante-dix à tout casser, et Colin Wall, à l'arrière, du haut de son mètre quatre-vingt-dix, menaçait de faire basculer le cercueil - lequel était non pas en bois d'acajou verni, mais en osier.

Ma parole, mais c'est un panier à pique-nique ! pensa Howard, scandalisé.
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En essayant de se libérer du carcan de la morale, il cherchait à ranimer quelque chose en lui dont il avait la certitude d'avoir été dépossédé, quelque chose qu'il avait perdu en quittant l'enfance. Ce que Fats voulait retrouver, c'était une sorte d'innocence, et la route qu'il avait choisi d'emprunter pour reconquérir celle-ci le conduisait à embrasser tout ce dont on lui avait appris à se méfier, tout ce qui était "mal" et qui pourtant, aujourd'hui, semblait à Fats le seul moyen véritable de parvenir à l'authenticité, à une sorte de pureté. Curieux cette façon qu'avaient si souvent les choses d'être l'inverse de ce qu'elles semblaient, et l'inverse de ce que tout le monde disait ; Fats en venait à soupçonner qu'il suffisait de prendre chaque idée reçue et de la mettre cul par dessus tête pour obtenir la vérité. Il voulait s'enfoncer dans le labyrinthe du monde et lutter à bras-le-corps avec les bizarreries qui se terraient dans ses ténèbres ; il voulait faire voler en éclats la piété, dévoiler les hypocrisies ; il voulait briser les tabous et presser leur cœur sanguinolent pour en tirer le nectar de la sagesse ; il voulait atteindre à un état de grâce amorale, et renaître à rebours, sur les fonts baptismaux de l'ignorance et de la simplicité.
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Les tirants de registre de l’orgue grincèrent, et le silence se fit dans l’église, à peine troublé par le bruissement des derniers retardataires. Toutes les têtes se retournèrent : le cercueil remontait la travée.
Les hommes qui le portaient étaient dissemblables à un point qui frisait le ridicule ; les frères de Barry devaient faire un mètre soixante-dix à tout casser, et Colin Wall, à l’arrière, du haut de son mètre quatre-vingt-dix, menaçait de faire basculer le cercueil - lequel était non pas en bois d’acajou verni, mais en osier.
Ma parole, mais c’est un panier à pique-nique ! pensa Howard, scandalisé.
Un air de stupéfaction passa de visage en visage à mesure que le cercueil progressait dans la travée, mais certains parmi la foule étaient déjà au courant. Mary avait dit à Tessa (qui l’avait dit à Parminder) que c’était un choix de Fergus, le fils aîné de Barry : l’osier était un matériau durable, renouvelable, peu agressif pour l’environnement, et Fergus avait une fibre écologique particulièrement prononcée.
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[ En tant que diabétique ].
Elle s'efforçait de ne pas penser au liquide sombre et mystérieux qui s'écoulait dans le petit tube en plastique. Elle avait peur que son sang la trahisse ; qu'il révèle à quel point elle n'avait pas été sage ; que toutes les barres au chocolat et tous les muffins qu'elle avait mangés ressurgissent sous la forme insidieuse de glucose dans son sang. Puis elle se dit avec amertume qu'elle aurait beaucoup moins de mal à garder ses distances avec le chocolat si ça vie était moins stressante. Elle passait l'essentiel de ses journées à essayer d'aider les autres - alors un petit muffin de temps en temps, ce n'était tout de même pas la fin du monde...
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- Vous avez fait tout le trajet jusqu'à l’hôpital ? demanda Shirley, toujours sur le haut-parleur.
- Non, non, répondit Samantha en pensée, à mi-chemin, vu qu'on commençait à s'emmerder sévère, on a demandé à l'ambulance de s'arrêter pour nous laisser descendre.
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