Lynwood Miller

Connaissez-vous Lynwood Miller, le héros du roman de Sandrine Roy ?
Lynwood est un ancien militaire des forces spéciales américaines au passé mystérieux qui vient s'installer dans les Pyrénées, dans un coin qu'il espère tranquille.
Il a pour voisin Simon un jeune homme plein de mystère lui aussi.
Dans les Pyrénées les hivers sont froids et enneigés et il vaut mieux prévoir des réserves en cas de coupures de courant par exemple.
Et bien Lynwood, lui, en novice, il n'a pas été assez prudent.
Alors qu'il se lance à la recherche de carburant, il se voit contraint de porter secours à une jeune femme.
Est-ce vraiment le hasard qui l'a guidé jusqu'à elle ?
Qui est cette mystérieuse jeune fille ?
Qui semble prêt à tout pour la faire disparaître ?
Aidé de Simon entre autres, Lynwood mène la traque...
Premier opus de la série que consacre l'auteure à son héros, ce Lynwood Miller est bien plus qu'une chasse à l'homme. C'est aussi des amitiés qui se créent, des amours qui naissent.
La rencontre extraordinaire d'hommes et de femmes pas tout à fait ordinaires qui se cherchent et qui cherchent à oublier un passé trouble ou à se reconstruire.
D'ailleurs, au "lu" des dernières pages, où la romancière laisse libre cours à ses fantasmes, on ne se fait pas de soucis pour ses protagonistes qu'on aura plaisir à retrouver dans les épisodes suivants...
Un page-turner sympa. A découvrir...

Eli, une jeune fille dotée de dons de clairvoyance se fait agresser en plein massif pyrénéen le début d'une intrigue déroutante et haletante pour .
Un premier roman aux péripéties pas toujours très crédibles mais assurément très efficace aux personnages hauts en couleurs et savoureux, et dans lequel la montagne, est plus qu'un décor mais un personnage à part entière
Lien : http://www.baz-art.org/archi..

Bonjour à vous Bande de Lecteurs Fous, aujourd'hui avec Alfred nous cloturons nos lectures de Novembre avec LYNDWOOD MILLER de Sandrine Roy aux Éditions Folio Policier.


Au menu une enquête un peu particulière. En ingrédients prendre un soldat des forces spéciales américaines venu prendre une retraite anticipée dans les Pyrénées, associé le à un geek. Ajouter une jeune femme retrouvée séquestré dans un abris de berger. A cela mélanger un soupçon de fantastique savamment dosé. Et pour lier tout ça rajouter une enquête entre la France et Allemagne. Pour par faire le tout un brin d'amour pour rehausser le goût.


Mais dis donc mon Alfred c'est quoi cette recette ? L'auteure nous avait prévenu c'est un "style bien particulier". 

Melange des genres assuré thriller/policier/fantastique. 

Mais désolé cher Sandrine nous avec Alfred, nous avons aimé ton petit mélange.

Les personnages sont attachants, la narration nous embarque et les dialogues sont un pur régale. Bon quelques longueurs ont un peu ralenti notre progression de la lecture. Au final ce qui nous a le plus déstabilisé c'est qu'avec Alfred ce que nous avons aimé c'est l'histoire d'amour parce que pour l'enquête le dénouement nous apparaissait clairement.

Présenté comme un thriller, ce LYNWOOD MILLER le premier roman de Sandrine Roy n'en est pas tout à fait un. Ou alors pas seulement. Avec son personnage d'Eli aux pouvoirs surnaturels, sorte de X-men pour les connaisseurs, l'auteure mêle à l'intrigue policière du fantastique sans trop nous en abreuver. C'est plutôt bien vu et bien dosé. L'écriture est fluide, l'histoire prenante. Après quelques petites incohérences dans les premières pages, lors de la découverte des personnages, on se laisse prendre par le récit et le suspense.
Malheureusement Sandrine Roy n'évite pas quelques clichés (Marchand, le flic « râleur » parce que Français) ni de grosses maladresses comme lorsque la police laisse Lynwood interroger seul un suspect ou encore lorsque Lynwood toujours lui et Simon se rendent sur le terrain à l'étranger pour une interpellation d'un dangereux criminel en compagnie de policiers, ça ne tient pas la route. Expliquons en effet que ni Lynwood ni Simon ne sont policiers.
De même on a du mal à croire aux deux histoires d'amour qu'elle nous sert surtout celle de Simon avec Sasha. Ce n'est pas qu'elles sont mal racontées mais elles vont trop vite. Ce n'est plus du coup de foudre, c'est au laser. Enfin les cinquante dernières pages de la version folio traînent un peu en longueur. Les coupables sont arrêtés depuis longtemps, on attend alors un rebondissement mais il n'y en aura pas.
Pour terminer, il me semble que ce livre aurait tout aussi bien pu s'appeler ÉLI, véritable personnage central du récit, plutôt que Lynwood Miller qui n'a d'intérêt que parce qu'Éli existe.

Je ne connaissais absolument pas cette auteure que j'ai ainsi découverte grâce à son livre gagné en décembre dernier.
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Initialement publié aux éditions Lajouanie, le sous titre dit : « Roman policier... mais pas que ». Et effectivement, une part de fantastique côtoie l'enquête policière, ce qui peut soit attirer de nouveaux lecteurs, soit au contraire rebuter les accros aux polars traditionnels.
J'avoue, je fais plutôt partie de cette seconde catégorie et n'accroche que moyennement au mélange des genres.
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Cependant, ce livre, lu assez rapidement, permet de passer tout de même un bon moment, on s'attache aux personnages (Lynwood Miller, américain exilé dans les montagnes françaises, Eli, jeune femme qu'il sauve d'une mort certaine et dotée de pouvoirs hors du commun, et Simon, consultant en informatique avec qui Lynwood se lie rapidement d'amitié).
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L'enquête est plutôt bien ficelée, mais le style reste assez simple et parfois redondant.
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En résumé, un bon moment, mais je ne chercherai pas à en lire les 2e et 3e tomes...

Une jeune fille dotées de dons de clairvoyance se fait agresser en plein massif pyrénéen. Heureusement un ancien agent des forces spéciales, Lynwood Miller qui passait par mal la secoure et va tenter, avec quelques amis bien intentionnés de comprendre qui et pourquoi ont voulu intenter à ses jours.
Un bon polar, bien ficelée et sans temps mort : pour son premier roman Sandrine Roy s'inspire des romans nord américains à base de services secrets et course poursuite dans la montagne pour un roman policier pas toujours très vraisemblable mais assurément très efficace et dans lequel la montagne, parfaitement bien décrite joue un grand rôle.. Haletant et rafraichissant !!

Sur la première page, Sandrine m'a écrit qu'elle ne sait pas si elle doit me souhaiter bonne lecture ou bon courage, mais elle m'écrit aussi que c'est bien d'essayer…
Genre je dois foutre les chocottes aux écriveurs parce que je suis pas gentil. Ben c'est comme ça. Je dis ce que je veux sur les bouquins que j'achète. Sandrine, croisée au Salon du polar du Lavandou, je l'ai trouvée “vivante”. Pas le genre à prendre la grosse tête de certains ou de certaines. Un sourire permanent, et de l'humour. Donc je me suis dit que lui acheter son roman, ça participerait à sa bonne humeur. Dont acte.
Il y a quelques jours, en te causant du dernier Giebel, je t'ai expliqué mon sentiment sur certains zôteurs. Ceux que je classe dans des catégories, même si je suis pas spécialement fan du classement de la littérature. Comment, en effet, classer des mots et des phrases ? Comment décider de cette hiérarchie quand comme moi, tu n'es qu'un lecteur lambda, même pas très fort en analyse de texte…
Avec tes tripes, aurait dit Bukowski.
Alors je fais ça. Mes tripes, mes émotions, mon envie de tourner les pages. Des trucs complètement personnels et qui finalement n'engagent que moi. Juste un ressenti sur ma dernière lecture.
Dans ce livre, il y a Maurice, celui qui “pousse le bouchon un petit peu trop loin”… Maurice, c'est le chien de Simon.
Simon, c'est le pote de Lynwood.
Lynwood, c'est un ancien soldat qui tombe amoureux d'Éli.
Éli, c'est une fille étonnante, et c'est par elle que l'histoire commence.
Tu te souviens de Dean Koontz, ou d'Anne Rice et de ses histoires de vampires ? Tu te souviens de ces auteurs qui partaient dans des directions que les autres ne voulaient pas explorer, par peur du ridicule peut-être, ou simplement parce qu'ils ne savaient pas jusqu'où aller…
Sandrine entre dans cette catégorie. Celle de ceux qui décident de te raconter une histoire sans se soucier réellement de tes références et de la réalité telle qu'on te donne à la découvrir au journal de 20 heures. Et c'est bien.
La suite :
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