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Critique de BurjBabil
Bon, on ne va pas dire que c'est de la littérature. J'ai sorti ce livre ce week-end pour me fabriquer un gel hydroalcoolique et échapper à la terrible fin que me prédisent les chaînes de messe en continu.
Et là, mince, a pa.
Il y a certes des produits d'entretien divers, des démaquillants au calendula, des lotion vivifiante à l'eau de rose, un masque facial à l'argile et des déodorants plutôt huiles essentielles etc . . . mais pas de vaccin naturel contre ce conarovirus...
Alors, ne vous méprenez pas, l'ensemble est sympa, peut réellement servir et sans prétention excessive. C'est même une sorte d'hommage à une simplicité que certains sur les ondes vantent souvent avant d'aller dîner dans un restaurant branché cuisine moléculaire en voiturette électrique.
Mais l'équivalent numérique existe en accès libre sur . . . la toile.
Pour mémoire, dans la liste des ingrédients indispensables à la confection d'un dentifrice : le charbon noir.
Ce doit être vrai car l'auteure ne se moque pas de ses lecteurs, c'est évident, mais quand même cela paraît bizarre comme ça, de prime abord.
Et là, mince, a pa.
Il y a certes des produits d'entretien divers, des démaquillants au calendula, des lotion vivifiante à l'eau de rose, un masque facial à l'argile et des déodorants plutôt huiles essentielles etc . . . mais pas de vaccin naturel contre ce conarovirus...
Alors, ne vous méprenez pas, l'ensemble est sympa, peut réellement servir et sans prétention excessive. C'est même une sorte d'hommage à une simplicité que certains sur les ondes vantent souvent avant d'aller dîner dans un restaurant branché cuisine moléculaire en voiturette électrique.
Mais l'équivalent numérique existe en accès libre sur . . . la toile.
Pour mémoire, dans la liste des ingrédients indispensables à la confection d'un dentifrice : le charbon noir.
Ce doit être vrai car l'auteure ne se moque pas de ses lecteurs, c'est évident, mais quand même cela paraît bizarre comme ça, de prime abord.
