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Hélène Bourguignon est professeur de lettres à Sciences-po, et ce jour-là, elle a choisi une nouvelle de Brautigan. Elle choisit des nouvelles courtes n'excédant pas cinq pages. le texte est dans ses mains, elle s'apprête à commencer son cours lorsqu'elle entend quelqu'un jouer de la guitare et chanter :

Quelqu'un chante… If you're going to San Francisco/Be sure to wear some flowers in your hair… La surprise lui fait monter les larmes aux yeux.

Les souvenirs remontent, les drames de sa vie, la mort des gens qui la chantaient en 1967, notamment Xavier son premier mari qu'elle épousé très jeune, amoureuse de l'amour, puis le deuxième qui a vraiment compté : Laurent…

Elle, si bien organisée, qui arrive toujours en avance, en salle de cours, perd soudain le contrôle de son cours. Elle tente de faire le lien entre 67, et l'année où a été écrite la nouvelle (1939), la date du suicide de Brautigan, et donc cela conduit à une réflexion sur le temps : « La seule chose que tu possèdes c'est le présent » dixit toujours Marc Aurèle

Elle leur montre ainsi qu'il faut toujours resituer dans le temps, les propos d'un auteur, et à compter en générations pour avoir des repères : trois générations les séparent de 1939…

Quand elle rentre chez elle, les souvenirs des êtres disparus refont surface. Elle regrette de s'être emballée à cause de la chanson, et d'avoir trop insisté sur le suicide de l'auteur…Et fait le bilan de sa vie.

Elle habite Paris, qu'elle arpente à pieds, alors que ses racines sont à la campagne : son frère a pris les rênes de la ferme familiale, et les relations dans cette famille sont loin d'être simples, alors il y va rarement, s'est même débrouillée pour ne pas assister à l'enterrement de son père.

Elle a une fille Lou, enceinte et une petite-fille Juliette, dont elle s'occupe assez. Elle va régulièrement faire des longueurs en piscine avec son amie Laetitia.

On va suivre son cours sur une nouvelle de Dino Buzatti « Esclave » puis, elle enchaîne avec Anton Tchekhov, Yasmina Reza

Depuis la mort de Laurent, sa vie de femme est entre parenthèse, et elle est devenue une forteresse dire à conquérir pour un éventuel prétendant.

J'aurais adoré l'avoir comme prof ! j'ai envie de découvrir les nouvelles de Richard Brautigan, auteur que je n'ai jamais lu…

Ce livre m'a beaucoup plu, Pascale Roze m'a fait voyager dans Paris, en Bourgogne en Corse, mai surtout dans l'univers des auteurs que sa « belle Hélène » aime tant. L'écriture est belle, tous les thèmes sont bien traités.

J'ai découvert Pascale Roze en 1996 avec « le chasseur Zéro » (pour lequel elle a reçu le prix Goncourt), un livre envoûtant, que j'ai dévoré littéralement, englouti sans le lâcher une seule seconde avant d'arriver à la fin et donc adoré. Je m'étais promis de lire d'autres romans de l'auteure et le temps asse, hélas, et il y a temps de romans et d'auteurs à découvrir.

J'ai beaucoup aimé « La belle Hélène » que j'ai dévoré avec le même appétit que « Chasseur Zéro » et retrouvé l'auteure avec un immense plaisir…

Un grand merci à NetGalley et aux éditions Stock qui ont bien voulu me faire confiance avec ce roman qui n'a qu'un seul inconvénient : il est trop court ! j'aurais aimé qu'il dure encore et encore.

#LabelleHélène #NetGalleyFrance
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
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Hélène Bourguignon (quel nom !), la soixantaine bien entamée, anime un atelier d'écriture à Sciences Po, même si ses cours ont plutôt l'air de consister en des lectures de nouvelles très brèves d'auteurs comme Brautigan, Buzzati, Tchekhov, Musil, Reza. Seule à présent, géographiquement loin de sa mère et apparemment pas très proche de sa fille, Hélène revient sur les différents hommes de sa vie puis fait une rencontre qui permet à l'espoir de renaître. Nourrie de stoïcisme, elle nous fait également partager sa philosophie de la vie et critique la pensée simpliste de notre temps. ● Même si la littérature y occupe une grande place, le roman semble paradoxalement aboutir à un refus d'une trop grande intellectualisation de la vie et trouve son aboutissement dans une morale godardienne de l'exaltation de la simplicité de l'existence (il n'y a rien d'autre à faire que vivre) qui n'est jamais aussi bien célébrée que sur les îles de la Méditerranée : Capri pour Jean-Luc Godard, la Corse pour Pascale Roze : baisser la garde, accepter la vie, ne pas avoir peur de la sensualité. (Ce n’est sans doute pas un hasard si la page de couverture rappelle furieusement le dernier plan du Mépris.) ● C'est un roman plein de qualités qui ne m'a pas donné un grand plaisir de lecture, loin de là. Si la singularité du ton se perçoit dès les premières lignes et intrigue le lecteur, force est de constater que ce dernier ne sera pas accompagné par l'auteure, qui ne se donne jamais la peine d'expliquer qui sont les personnages qu'elle introduit, de séparer les dialogues de la narration, de mettre des guillemets aux citations… Tout cela engendre une perte de repères et un flou qui sont trop évidents pour ne pas avoir été voulus. Mais ces procédés n'ont pas fonctionné avec moi.
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"L'étude d'un texte est une chose sérieuse. L'étude d'un texte apprend l'attention à ce que l'on a devant les yeux, que ce soit dans le texte ou dans le monde réel, est à la fois donné et caché. S'exercer à l'attention des indices dans un texte, c'est apprendre à s'exercer au sens caché du monde qui nous entoure." (p. 109)

Toute première lecture que je fais de Pascale Roze avec ce texte d'hommage à l'étude des textes littéraires. La narratrice,la soixantaine... veuve deux fois, vit seule; elle est professeur de littérature à Sciences Po;
elle tente d'intéresser et de sensibiliser ses étudiants à la Littérature : Buzzati, Musil, Reza, Richard Brautigan, etc.
Elle narre sa vie, son quotidien,ses amours, ses métiers d'enseignante et de lectrice de manuscrits à la lumière de la Littérature, des écrivains !

" le donné et le caché, elle savait les débusquer dans un texte. Elle croyait fermement que s'y exercer dans un texte aidait à le faire dans la vie. " (p. 110)

Une lecture plaisante... où la littérature est en très belle place, un des éléments précieux de culture et d'apprentissage de l'existence...Esprit d'analyse, esprit critique, sens de l'observation, de la compréhension de la valeur du langage et du choix des mots ...plus le plaisir de retrouver
de jolies descriptions d'une ville corse , de caractère... où je me suis promenée longuement : Sartène !!

"Elle fera des recommandations à l'étudiante. L'envie de lire est fragile et s'évapore comme l'arc-en-ciel." (p. 50)

Un moment chaleureux comme une rencontre amicale où on partage l'amour des mots, qui dit aussi très fort, l'Amour de la vie !
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Hélène, un portrait en quatre nouvelles

Dans La belle HélènePascale Roze raconte un atelier d'écriture à Sciences-Po. L'occasion de nous présenter quatre merveilleuses nouvelles, mais aussi de nous démontrer le pouvoir de la littérature. Mission accomplie!

Hélène Bourguignon a un peu plus de soixante ans, mais n'a rien perdu de son enthousiasme et de son envie de faire partager ses bonheurs de lecture. Toutefois, l'atelier de lecture qu'elle anime au sein de la prestigieuse école parisienne de Sciences Politiques n'a rien d'académique. Foin des cours magistraux et du bourrage de crâne. Elle s'est donnée pour mission de faire aimer les textes, de faire découvrir aux élèves combien ils peuvent accompagner leur vie et même – bonheur suprême – les aider à avancer dans la vie. Il faut dire que sa propre biographie lui donne des armes de persuasion massive: si elle vit désormais seule, elle a été mariée deux fois et est deux fois veuve, mère de Lou et grand-mère de Juliette, soeur de Stéphane qui a lui choisi l'agriculture.
Avec Xavier, un soixante-huitard, elle aura brûlé sa jeunesse avant de le quitter pour un écrivain. Laurent aura été son grand amour, parti trop tôt. À ses côtés, elle aura aussi fait ses premiers pas en littérature, comme nègre puis en publiant un premier roman. Outre son atelier de lecture, elle lit encore des manuscrits pour une maison d'édition. Une passion pour les mots qui l'accompagne désormais au quotidien, nourrie de la philosophie de Sénèque et d'Épictète, de Marc-Aurèle et de Simone Weil.
Pascale Roze a choisi de construire son roman autour de quatre leçons données durant le mois de mai 2018 avec de somptueuses nouvelles – qu'elle nous donne envie de (re)découvrir – signées Robert Musil, Anton Tchékhov, Dino Buzzati, Yasmina Reza et Richard Brautigan. Pour s'approprier ces textes, ses étudiants doivent non seulement les lire, mais les résumer et les commenter. Une façon fort agréable pour le lecteur de se plonger dans ces oeuvres, y compris dans le ressenti quelquefois très différent de ces textes. de mieux comprendre et surtout de découvrir de superbes écritures: «Ma vie est tout à fait à plaindre, pire que celle du chien le plus malheureux» (Vanka, Anton Tchékhov ; «Le vent soufflait sur les éteules aussi doucement que s'il avait eu une soupe d'enfant à refroidir» (Trois femmes, Robert Musil) ; les gens ont besoin d'un peu d'amour, et bon dieu que c'est triste, parfois, de voir toute la merde qu'il leur faut traverser pour en trouver. (La vengeance de la pelouse, Richard Brautigan)
Avouons-le, la plupart de ses étudiants appelés à avoir de hautes fonctions administratives et politiques passent à côté de ces trésors. Mais Hélène se satisfait lorsqu'une seule élève démontre une sensibilité toute particulière. Elle la soutient et l'accompagne alors avec un oeil pétillant vers une vocation théâtrale.
On imagine du reste que c'est ce même oeil qui aura séduit ce juge avec lequel elle fera peut-être un petit bout de route, acceptera une invitation à dîner et découvrira plus tard l'île de beauté.
Hommage à la littérature et plus encore à la lecture et à la relecture, ce roman est aussi une exploration de l'intime, de ces «marqueurs» qui fixent à jamais une émotion, une boîte aux trésors bien précieuse. Cette petite musique qui – petit clin d'oeil à La Belle Hélène d'Offenbach –fleure bon la nostalgie joyeuse.

Lien : https://collectiondelivres.w..
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Pascale Roze, lauréate du Prix Goncourt avec "le chasseur zéro" en 1996 pour son tout premier roman revient régulièrement nous donner de ses nouvelles avec des écrits souvent élégants et intelligents.

Ici, avec La belle Hélène, on aime particulièrement la jolie petite musique de ce roman de Pascale Roze , une petite mélodie assez nostalgique mais léger aussi profond .

Hélène Bourguignon est professeur de cours littéraire à Science Po travaille dans le milieu littéraire sans statut très clair.

Hélène enseigne l'art de lire à ses élèves et elle leur parle notamment Robert Musil, Yazmina Reza, MarcAurèle, Simone Weil, Tchekov Dino Buzzati ou Richard Brautigan, avec plus ou moins de réussite.

Si Hélène a tendance à avoir une vision critique de la pensée d'aujourd'hui devenue non audible car trop complexe, ce n'est pas une réactionnaire.

Une femme, entre deux âges, dont le mari est mort, mais qui n'a pas perdu son grain de folie son sens de la dérision et de la délicatesse .

Notre Hélène a certes perdu quelques illusions en route, mais elle conserve pas mal de dérision et de profondeur de vue et cela rend ce personnage profondément attachant.

Ode à la littérature et à la phiilsophie , "La belle hélène", qui navigue allégrement entre présent et souvenirs du passé, possède une grâce et une mélancolie qui touchent vraiment au coeur !
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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« Mais moi, Hélène Bourguignon, je vous dis que les auteurs cachent les choses dans l'espoir que quelques singuliers lecteurs les découvriront. »

Ce roman, à travers son personnage mi-grave mi-pétillant d'Hélène, nous parle essentiellement du rôle révélateur que peut avoir la littérature sur nos vies. Plusieurs exemples viendront illustrer cet aspect, à travers de courtes nouvelles qu'elle propose comme base de travail à ses élèves de Sciences Po.

Du coup le lecteur du roman, peut, comme moi, avoir envie de lire celles-ci : en ce qui me concerne je me suis précipité sur la première d'entre elle, « Actualités Cotton Mather, 1792 » de Richard Brautigan. Pourtant le récit déplie suffisamment chaque nouvelle pour pouvoir s'en former une idée précise mais j'ai trouvé un peu frustrant de ne pas avoir le texte à disposition !

Notre professeure (sous contrat à l'année) vit également de ses travaux de lecture et de ré-écriture pour des maisons d'édition. Occasionnellement elle a aussi encadré des ateliers d'écriture. Elle vit désormais seule depuis que son compagnon est décédé et se trouve à l'âge charnière du milieu de la soixantaine. Petit à petit nous en saurons beaucoup sur sa vie, ses amours et ses deuils. Elle semble avoir renoncé à partager sa vie avec un autre homme, mais qui sait ?

Le personnage d'Hélène m'a paru attachant et je ne me suis donc pas ennuyé en sa compagnie. le ton est assez allègre même s'il n'est toutefois pas comparable à l'opéra d'Offenbach auquel son titre peut faire penser.

Je remercie les éditions Stock et NetGalley pour m'avoir donné accès à l'édition numérique de ce bon roman.
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Hélène, une femme d'âge mûr, est professeure de lettres pour des élèves de Sciences-po. Elle va tâcher d'enseigner le pouvoir des mots et à quel point ces derniers peuvent enrichir le quotidien de tout un chacun dans la vie de tous les jours. Au travers des récits de Buzzati, de Tchekhov et de Reza, elle inculquera à ses élèves son amour pour la lecture.

Je ressors totalement conquise de ce court roman mais empli d'une profondeur et d'une sensibilité rare. J'ai suivi avec intérêt les cours de cette femme et constaté l'évolution interne qu'elle subira, sa transformation personnelle et ses accomplissements.

Je suis séduite par le postulat de départ de l'auteure, par cet axiome qu'elle mettra en exergue. La lecture enrichit indubitablement les personnes, et le fait de transposer au quotidien les situations littéraires auxquelles seront confrontés ses élèves est à mon avis une totale réussite. Pascale Roze m'a tout simplement donné envie de redécouvrir ces grands auteurs classiques et de lire leurs nouvelles, mentionnées pendant toute l'année scolaire par Hélène.

Outre le fait que je me suis presque sentie privilégiée de pouvoir assister en tant que spectatrice aux cours qu'elle donne, j'ai également fortement apprécié de voir une évolution dans sa vie personnelle. Au travers des mots, Hélène se raconte, s'affirme, apprend à lâcher prise. Il y a une réelle évolution psychologique de ce personnage remarquablement dépeint. C'est fait avec une sensibilité inouïe et une justesse rare.

Pascale Roze réussit à mélanger littérature et situations du quotidien avec brio. Au travers de son personnage principal, Hélène, l'auteure réussit le tour de force de faire ressortir une morale à chaque texte étudié. C'est vraiment intéressant.

La plume de l'auteure est tout en douceur. On sent que Pascale Roze a cet amour des mots, et cela transparaît tout au fil des pages. Elle les choisit avec justesse, finesse. le tout est d'une grande fluidité, et malgré le ton intimiste du roman, c'est un récit qui touche son lecteur et qui le fait devenir le confident d'Hélène et de ses doutes, ses peurs.

Un roman où le pouvoir de la littérature qui enrichit a toute sa place. C'est abordé avec une infinie sensibilité et beaucoup de justesse, au travers d'un personnage féminin qui se livre littéralement à son lecteur et qui réussira à se libérer grâce aux mots. À découvrir sans hésiter.
Lien : https://mavoixauchapitre.hom..
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Hélène Bourguignon est professeur de lettres à Sciences Po. Elle enseigne avec passion et patience les auteurs qu'elle aime et dans lesquels elle puise aussi sa force.

A plus de soixante ans sa vie est habitée par les fantômes notamment de son mari, Laurent, qu'elle a accompagné dans la maladie. Mais aussi par d'autres vie que la sienne : sa fille, sa petite-fille, ses élèves et peut-être une possible histoire d'amour même si elle dit ne plus vouloir faire l'amour.

Au cours de ce récit, Hélène remonte le temps, égrène ses souvenirs, fouille les textes littéraires qui donnent un éclairage particulier sur les événements de sa vie.

Il n'y a pas de grandiloquence dans ce texte où tout semble doux et feutré et qui est habité par une tendre mélancolie.

On s'attache à cette femme qui ne renonce pas, qui ose espérer et croire en la possibilité d'une nouvelle vie. On entre dans ses pensées et dans son intimité, non pas comme un lecteur-voyeur mais comme un ami bienveillant qui chemine à son côté dans les rues de Paris ou sur les routes de Corse.

Pascale Roze, que je découvre ici, signe un roman plein d'humanité et de luminosité et rend un bel hommage à la littérature à travers le personnage d'Hélène.
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#Chronique : La belle Hélène de Pasacle Roze - Éditions Stock

Grosse déception pour ce roman pourtant prometteur !
Je n'ai pas du tout aimé La belle Hélène, je vous explique les raisons sur mon blog
→ http://www.leslecturesdelily.com/2020/03/la-belle-helene-ecrit-par-pascale-roze.html#more

Bonne lecture !
Lien : http://www.leslecturesdelily..
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« Elle fera des recommandations à l'étudiante. L'envie de lire est fragile et s'évapore comme l'arc- en-ciel. »
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« La lecture enrichit la vie comme la vie enrichit la lecture, c'est à cet art de lire qu'Hélène Bourguignon exerce ses étudiants de Sciences-po. Lire pour découvrir les expériences fondamentales à travers Buzzati, Tchékov, Reza.Chaque cours est un défi recommencé, d'une semaine à l'autre il se passe toujours quelque chose. Un souvenir, une émotion, une réaction et tout déraille dans la vie si organisée d'Hélène Bourguignon. »
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J'ai trouvé cette lecture passionnante. J'ai adoré me trouver dans la tête remplie d'arborescences littéraires d'une femme abîmée par la vie mais éclairée par l'enseignement. Un gout prononcé pour la littérature qui m'a permis de découvrir des auteurs que je ne connaissais pas et des analyses littéraires. Mais j'ai aussi pu découvrir Hélène, femme forte, ébréchée par la vie dont on entre-aperçois le passé et par les souvenirs d'une vie magnifique. Un amour transmissible de l'enseignement de manière inconditionnelle ce qui me parle beaucoup au vu de mes études. C'était une belle lecture que je recommande en particulier aux fans d'éducation et de littérature, aux fans de fragments de souvenirs mêlés dans un récit actuel. 🕊
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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