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Critique de Walex
Deux histoires, deux styles et deux approches différentes, et pourtant, le même scénariste en à l'origine.
Le premier récit (« L'homme qui rit », donnant le titre à l'album) propose une relecture de la première rencontre entre le Batman et son ennemi juré, comme on aurait pu l'attendre, sans décevoir ni trop surprendre, entre enquête et rafales de mitraillettes.
Si j'ai pu apprécier la lecture de la première histoire, la seconde, « Cibles mouvantes », m'a franchement surprise. le Batman n'y tient qu'un rôle plutôt secondaire, et tout le principe consiste à suivre les inspecteurs de Gotham city face à une nouvelle menace du Joker. Les auteurs nous plongent dans le monde des représentants de la loi, vite débordés et dépassés par les événements, et nous font découvrir leurs investigations, leurs relations, et leurs pertes… en ajoutant à cela un style graphique à la fois épuré et particulièrement réaliste ainsi que des plans quasi-cinématographiques, on obtient un rendu vraiment très immersif. S'il n'y avait pas eu une trop grande ressemblance entre l'un ou l'autre personnage, cela aurait été juste parfait.
Le premier récit (« L'homme qui rit », donnant le titre à l'album) propose une relecture de la première rencontre entre le Batman et son ennemi juré, comme on aurait pu l'attendre, sans décevoir ni trop surprendre, entre enquête et rafales de mitraillettes.
Si j'ai pu apprécier la lecture de la première histoire, la seconde, « Cibles mouvantes », m'a franchement surprise. le Batman n'y tient qu'un rôle plutôt secondaire, et tout le principe consiste à suivre les inspecteurs de Gotham city face à une nouvelle menace du Joker. Les auteurs nous plongent dans le monde des représentants de la loi, vite débordés et dépassés par les événements, et nous font découvrir leurs investigations, leurs relations, et leurs pertes… en ajoutant à cela un style graphique à la fois épuré et particulièrement réaliste ainsi que des plans quasi-cinématographiques, on obtient un rendu vraiment très immersif. S'il n'y avait pas eu une trop grande ressemblance entre l'un ou l'autre personnage, cela aurait été juste parfait.
