J'ai aimé.
Kurt Steiner ou plutôt
André Ruellan était médecin, je crois ? Alors certains passages sont très "corps médical", comme par exemple la réanimation de Paul Clarmont pendant sa
syncope blanche. J'ai aimé, le début, c'est à dire la première partie et toutes les questions que se pose Clarmont à propos de la maladie et de la mort, c'est une obsession qui le tenaille !... Ensuite le déroulement et la tragédie de sa vie ou plutôt de sa mort fait partie de l'écriture de cet "angoisse" et est peut être plus invraisemblable, moins réelle que le début de l'histoire...Ce qui n'empêche pas que j'ai beaucoup aimé. Une première partie dans le réel, les troubles obsessionnels et la seconde dans l'irréel...
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