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sur 855 notes
Retrouver Aurel Timescu pour le second volume de ses aventures consulaires a été un véritable plaisir.

En fait, c'est surtout la plume de Jean-Christophe Rufin qui me régale, son style tout en douceur, plein d'humour et toujours très au fait des pratiques de ces gens qui représentent la France à l'étranger, comme il en a fait l'expérience lui-même en tant qu'ambassadeur au Sénégal.
Après le Suspendu de Conakry, en Guinée, c'est au Mozambique qu'a été nommé cet anti-héros extraordinaire, originaire de Roumanie où il a subi la dictature de Ceaucescu.
Ce musicien de talent, capable de passer du classique au jazz, sur son piano, se retrouve à Maputo, la capitale, adjoint d'un Consul général qui, pour une fois, tente de lui faire confiance.
Mais Aurel sait parfaitement endormir son monde, ne rien faire, jusqu'au moment où une cause le motive subitement. Lui, le solitaire, vaguement marié à une femme vivant à Paris, est très sensible au charme féminin même s'il se trouble facilement en présence de certaines femmes…
Voilà que dans la Résidence dos Camaroes où il avait logé à son arrivé au Mozambique, le propriétaire, Roger Béliot, un homme très désagréable, est retrouvé ligoté, noyé dans sa piscine. Or, sa première femme, Françoise, venait d'arriver de France pour exiger sa part d'héritage. C'est la coupable idéale aussitôt emprisonnée.
C'est pour elle, parce qu'il ne supporte pas l'injustice, qu'Aurel va tout faire. Enquêter alors qu'il n'est pas policier, il sait faire, endormir la vigilance du Consul, Didier Mortereau, il s'y emploie, mais les obstacles sont de taille dans un pays où la lutte contre les braconniers tueurs d'éléphants pour s'approprier leurs défenses, fait croire en son efficacité.
Aurel rencontre Fatoumata, la seconde femme de Béliot puis Lucrécia (19 ans), la troisième, qui attend un enfant, celle qui vivait avec la victime. Avec sang-froid, détermination, imagination, Aurel Timescu est impressionnant.
Il n'oublie jamais son verre de Tokay, voire plus, mais s'offre le luxe de remuer l'Ambassadeur de France, Jocelyn du Pellepoix de la Neuville, excusez du peu !

Modeste, efficace, toujours vêtu de son pardessus en tweed malgré la forte chaleur, Aurel Timescu m'a encore étonné, amusé et captivé jusqu'au bout de ce roman policier hors normes, qui est suivi, cette année par une troisième aventure que j'espère aussi délicieuse : le Flambeur de la Caspienne.


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Aurel Timescu, d'origine roumaine, consul-adjoint à l'ambassade de France est depuis six mois en poste à Maputo, la capitale du Mozambique, en Afrique Australe.

Lors de son arrivée sur place, n'ayant pas eu d'autre choix, il avait dû vivre une quinzaine de jours à la résidence dos Camaroes, hôtel tenu par Béliot, un vieux blanc qui l'avait achetée pour presque rien juste après la décolonisation du Mozambique en 1975. Celui-ci cultivait la haine autour de lui et quasiment plus personne ne s'aventurait chez lui. Aussi, quand il est retrouvé noyé dans sa piscine, personne n'est surpris.
L'enquête va se diriger, semble-t-il arbitrairement vers l'une des trois femmes qui gravitaient autour de lui, celle d'origine française. N'oublions pas que notre diplomate Aurel, déjà à l'action dans le suspendu de Conakry qui se déroulait en Guinée, adore enquêter, notamment quand il pressent une injustice. Alors, bien que simple adjoint, il va tout faire pour tenter de découvrir la vérité.
J'ai retrouvé avec plaisir ce personnage héros ou plutôt anti-héros, si singulier, si décalé, si mal fagoté, marqué par son passé vécu sous Ceausescu mais tellement sympathique.
Jean-Christophe Rufin, de par son attachement à l'Afrique, crée une atmosphère et un climat très réalistes et très réussis. La corruption, les pressions, le passé historique du Mozambique expliquant la présence de multiples nationalités, l'écologie aussi qui a un rôle important, tous ces sujets abordés m'ont intéressée et l'humour manié avec subtilité par l'auteur m'a charmée.
Néanmoins, cette deuxième aventure m'a beaucoup moins séduite que la première. Il n'y avait sans doute plus l'effet surprise de découverte du personnage Aurel, auquel j'ai trouvé également moins d'épaisseur, cette fois-ci. L'intrigue m'a parue beaucoup plus légère et l'issue assez facile à deviner. Les autres personnages manquent aussi, à mon avis, de consistance.

Un agréable moment de détente toutefois, mais sans plus. Rien à voir, je dirais, avec les autres bouquins de Rufin, que j'adore !
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Le travail dans les ambassades ne se résumerait donc pas à participer à des soirées guindées en smoking, à s'empiffrer de petits fours, à siffler le meilleur champagne et à flatter la beauté des jeunes épouses de vieux potentats locaux. Les pubs Ferrero qui ont participé à mon éducation étaient donc mensongères !
La principale activité d'Aurel Timescu est d'alléger sa charge consulaire. Un régime sec, mais arrosé de vin blanc frais pour supporter la chaleur. Affecté à Maputo, capitale du Mozambique, le diplomate fuit le travail et préserve jalousement son ennui.
Un ressortissant français flotte dans la piscine de son hôtel, sans matelas gonflable, sans cocktail, sans crème solaire. Il est un peu mort… et pas d'hydrocution. L'homme n'avait pas bonne réputation, son établissement était aussi fréquenté qu'une colonie de vacances au mois de novembre. Trois femmes ont partagé la vie de l'hôtelier et l'une d'entre elles concentre rapidement les soupçons.
L'encéphalogramme d'Aurel bipe à la perspective d'une enquête. Des alluvions de sa jeunesse réprimée en Roumanie à l'époque communiste suggèrent son allergie à l'injustice.
Aurel n'a pas de méthode. C'est un Sherlok désordonné, un réformé de l'approche scientifique, qui ne suit que les intuitions peuplant ses rêves alcoolisés.
Trop occupée à retrouver un stock d'ivoire évaporé, sa hiérarchie laisse Aurel « zéler » et mener son enquête.
L'affaire est plus sérieuse que le roman.
J'ai la sensation que les aventures de ce consul fictif sont des respirations dans l'oeuvre de Jean Christophe Rufin, des récréations entre deux histoires plus charpentées. J'ai ressenti le plaisir d'écriture de l'auteur et le lecteur est invité à partager ce moment de légèreté. C'est un peu comme s'il avait ouvert ses vieux albums photos de diplomate et troussé une petite intrigue sympathique en détournant quelques vieux souvenirs.
Je regrette seulement que l'histoire reste trop à la surface de ses personnages. On ne risque pas la noyade. Un peu d'épaisseur ne nuirait pas aux intrigues.
Ce deuxième opus est néanmoins aussi divertissant que le premier et je ne serai pas étonné que des producteurs transforment Aurel Timescu en héros de série TV du vendredi soir. Il en a le portrait- robot.
L'avantage avec Jean Christophe Rufin, c'est qu'il n'enferme pas le lecteur dans le biotope de ses introspections. Il nous offre toujours des décors exotiques, des héros décalés, des dialogues amusants. Ces livres ne sentent pas le renfermé et permettent toujours de s'évader dans des pays lointains sans avoir à mettre à jour ses vaccins. C'est pratique et j'ai peur des piqûres.
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C'est grâce à un concours organisé par les espaces culturels Leclerc ( que je remercie vivement au passage ) que j'ai eu le plaisir de lire la " suite " des aventures du Consul adjoint à l'ambassade de France , Aurel Timescu ...Ce diplomate plutôt original , placardisé pour son plus grand plaisir , se trouve à Maputo , la capitale du Mozambique , où il compte bien couler des jours heureux aux frais de la Nation . Hélas pour sa tranquillité , le patron de l'hôtel où il a séjourné quelques jours , est retrouvé mort , flottant dans la piscine . Brillant enquêteur , Aurel va se lancer à la recherche du coupable et s'intéresser de prés aux trois femmes qui gravitent autour de la victime , un homme au passé sulfureux .....
J'ai déjà eu l'occasion d'exprimer mon ressenti quant au " suspendu de Conakry " et ce roman est de la " même veine ".On ne se permettra tout de même pas de contester la qualité d'écriture de monsieur Rufin , c'est un bonheur d'apparente simplicité et d'efficacité, une écriture fluide , claire et précise.
L'intrigue est , elle aussi , bien menée , logique et tourne autour d'un nombre restreint de personnages qui semblent tous ou plutôt toutes , avoir de bonnes raisons de faire " passer le bonhomme de vie à trépas " , un bonhomme peu présent , évidemment , mais suffisamment tout de même pour focaliser toutes les inimitiés sur sa personne .Un mort peu regretté , en somme.
Personnellement , j'ai ressenti une certaine lenteur dans les propos , des lieux peu variés qui entraînent un certain "ronron "parfois ennuyeux . C'est bien construit , certes , mais sans dynamisme .
Quant au personnage d'Aurel , bien entendu , on le connaît depuis le premier opus et , si ses qualités d'enquêteur restent intactes , on ne découvre rien ou pas grand chose de plus de ce qui a été révélé précédemment.
Jean- Christophe Rufin a écrit des romans forts , plébiscités par un public qui attend toujours ses écrits avec impatience .Avec Aurel , on est très loin du " Collier rouge ou d'Immortelle randonnée " , c'est un sympathique divertissement , un bon moment de lecture mais je ne suis pas certain que ce soit vraiment ce qu'attendent les lecteurs de ce formidable auteur . Ce n'est là, évidemment , que mon modeste avis . Je suis heureux , franchement , d'avoir rencontré Aurel , oui , mais je ne suis pas certain de vouloir le suivre dans ses éventuelles nouvelles aventures .Rufin , par contre , oui , il est et reste " dans le fichier " , comme on dit .
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Toujours aussi bien écrite que la précédente, cette enquête d'Aurel le consul est passionnante. Ce héros est on ne peut plus atypique et Rufin a l'excellente idée de lui donner la nationalité roumaine. Un consul de France qui a grandi sous le règne de Ceausescu n'a pas la manière de penser et d'agir qui serait celle d'un clampin lambda de France (consul ou non)... C'est de la littérature policière distrayante et originale, sans violence gratuite. On passe un très bon moment à suivre un héros qui évolue sans arrêt sur le fil du rasoir dans sa quête de vérité et de justice et c'est infiniment dépaysant puisque ça se passe dans des contrées et des pays que l'on ne connaît pas.

Résumé :
A Maputo, capitale du Mozambique, aucun client n'ose s'aventurer à l'hôtel dos Camaroes. le patron est un vieux Français odieux, connu pour son goût du whisky. Quand il est retrouvé mort dans sa piscine, la police soupçonne arbitrairement une des trois femmes qui gravitaient autour de lui. Aurel Timescu, consul à l'ambassade de France, décide de s'en mêler. Calamiteux diplomate, il se révèle un redoutable enquêteur lorsqu'il pressent une injustice. Il va plonger dans le climat trouble de ces passions africaines. Et nous faire découvrir un des grands drames écologiques de la planète...
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L'été arrive et, avec lui, mes envies annuelles de légèreté. Ajoutez à cela un gros besoin de me détendre et d'oublier les soucis de boulot : Il n'en fallait pas plus pour que je me décide enfin à lire l'un des romans de RUFIN appartenant à la fameuse série des enquêtes d'Aurel Timescu. Roumain d'origine, il est Consul adjoint à l'Ambassade de France et feignasse attitrée de tous les malheureux fonctionnaires à qui on l'assigne. Fainéant, donc, sauf quand il s'agit d'enquêter officieusement pour rendre la justice - là, fonctionnaire français planqué ou pas, il s'en mêle !


Cette fois, en pleine capitale du Mozambique, un hôtelier vient d'être retrouvé mort dans sa piscine. L'une de ses trois femmes, la française, est jetée en prison. A tort, selon le Consul adjoint qui, avec sa veste de costume trop grande et trop chaude, et son noeud papillon démodé, va interroger chaque acteur du drame jusqu'à faire la lumière… verte, sur cette affaire.


Fidèle à mon grain de folie qui fuit la banalité chronologique, je n'ai pas commencé par le premier de la série : j'ai pris un opus au hasard parmi ceux dont l'histoire me paraissait sympa. Tirage gagnant : j'ai eu la lecture facile et humoristique, qui se lit même en ayant les pensées polluées par le stress ; l'ambiance coloniale estivale allait bien avec la plage alentour, et l'enquête pas trop prise de tête de Timescu, a maintenu mon intérêt sur 260 pages. Un roman de plage pas trop long qui remplit son office de détente. Sans plus - donc idéal pour l'humeur du moment qui ne me permettrait pas d'entrer dans un livre plus exigeant.
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Roger Béliot, propriétaire de l'hôtel miteux Dos Camaroes à Maputo, capitale du Mozambique, est retrouvé mort dans sa piscine. le meurtre ne fait guère de doute.
Françoise, la première épouse de l'hôtelier, venue de France pour faire valoir ses droits, est rapidement accusée et emprisonnée. Aurel Timescu, Consul, adjoint à l'ambassade de France ne croit pas en cette thèse et décide de mener sa propre enquête pour innocenter la dame.

Étrange détective que ce Consul qui ne consent à s'investir dans son travail que lorsqu'il faut réparer une injustice, sans pour autant accepter que ses chefs s'en mêlent... Si le final est digne d'un Agatha Christie, notre héros ne met pas en oeuvre les capacités de raisonnement d'un Hercule Poirot, d'une Miss Marple ou d'un Sherlock Holmes. Il fait confiance à son intuition, sublimée par la pratique du piano et les petits vins blancs...
L'intrigue, qui mêle les trois femmes de Béliot, sa première et se seconde épouse et sa très jeune maîtresse enceinte, mais aussi quelques louches personnages, est plutôt ténue. L'auteur ne nous donne pas beaucoup de clés pour trouver la solution de l'énigme
L'intérêt du roman est ailleurs.
Dans l'écriture, d'abord. J'avais pu apprécier celle de l'auteur dans "Rouge Brésil", "Le collier rouge" ou "Immortelle randonnée, Compostelle malgré moi". Je l'ai retrouvé dans ce petit polar. J.C. Rufin sait manier la langue, le style et le vocabulaire, sans tomber dans l'excès et en restant très accessible au lecteur.
Dans la critique acidulée du corps diplomatique, ensuite. L'auteur sait de quoi il parle, puisqu'il fut ambassadeur de France au Sénégal. On peut donc légitimement penser que sa description des travers des diplomates est fondée. Elle aurait pu être vitriolée, mais il y a mis suffisamment d'humour pour qu'elle paraisse seulement acidulée.
Je doute que ce roman se fasse une grande place dans l'histoire du polar, mais sa lecture est plaisante. Un bon moment de lecture dépaysante et instructive.


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Jean-Christophe Rufin a le don de nous faire voyager en compagnie d'Aurel, le consul adjoint, dans une Afrique qui n'est ni touristique, ni marquée par les guerres ou les catastrophes naturelles. Après la Guinée Conakry pour le tome 1, Les trois femmes du Consul nous emmène à la suite d'Aurel Timescu à Maputo, la capitale du Mozambique. Aurel, qui essaie toujours d'en faire le moins possible, est cette fois tombé sur un Consul jeune et très optimiste, qui ne se laisse pas rebuter par les catastrophes semées par son adjoint. Lorsqu'un des rares Français installé de longue date à Maputo est retrouvé mort dans la piscine de son hôtel et que son ex-épouse française est accusée du meurtre, Aurel se sent prêt à mener l'enquête pour l'innocenter. Mais il devra aussi décourager le Consul qui veut s'en mêler et ainsi obtenir un poste plus prestigieux.
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Le suspendu de Conakry ne m'avait pas totalement convaincu. Rufin s'essayait gentiment au roman policier, avec facilité, et en utilisant ses souvenirs de diplomate en Afrique. Les trois femmes du Consul suit cette voie. Mais bizarrement, j'ai trouvé ce deuxième épisode plus réussi.
L'enquête menée par le consul-adjoint Aurel Timescu est toujours aussi peu développée. La situation au Mozambique, où se déroule l'action, est juste évoquée par bribes. Celle des expatriés européens claquemurés dans leurs fantasmes coloniaux l'est un peu plus. Mais surtout ce qui fait le sel de ce roman, c'est la personnalité d'Aurel Timescu. Rufin centre plus son livre autour de la figure un peu lunaire de ce fonctionnaire, qui est un stratège dans l'art de fuir le travail et de décourager tout chef de service à lui en donner. Toujours vêtu comme s'il était à Bucarest, même dans la moiteur de Maputo, il a fait de son domicile son antre : fenêtres cloîtrées, meubles brinquebalants, désordre délibéré, et un vieux piano qui lui permet de revisiter ses classiques. Un goût de la musique qui ne le quitte pas, même hors de chez lui, car il est alors capable de pianoter une partition sur une simple table pour le simple plaisir d'en trouver l'écho dans sa tête.
Il s'accommode mal de son jeune chef de section qui veut le voir progresser, jusqu'au où jour un vieux résident français est retrouvé mort noyé dans la piscine de son hôtel. le vieil homme a été tué. Il était peu apprécié et sa situation personnelle était des plus complexe : une ex-épouse française, présente sur les lieux et que la police embastille illico, une épouse mozambicaine, fille de chef local et amante de l'ex-chef de la police, et une toute jeune amante, qui attend de lui un enfant. Aurel fonce à la prison proposer le soutien diplomatique de la France à l'ancienne épouse, qui lui paraît innocente. de là démarre une intrigue, qui finalement n'est pas franchement importante, Rufin en expédiant sa résolution en un simple chapitre final.
L'ensemble est rythmé par les facéties d'Aurel, ses pensées peu orthodoxes, et la grande qualité d'écriture de Rufin. le roman est court et se lit avec plaisir à grande vitesse. Agréable tout cela...
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À Maputo, capitale du Mozambique, le vieux Béliot est trouvé noyé dans sa piscine. Sa première épouse, Françoise est arrêtée.
Aurel propose à son supérieur de rendre visite à la Française en prison. Mortereau est ravi, enfin, son subordonné semble s'intéresser à quelque chose.
Il ignore qu'Aurel n'aime rien tant que les enquêtes policières, qu'il préfère effectuer en solitaire.
J'ai regretté de ne pas en apprendre plus sur le Mozambique. Mais c'est un roman policier léger comme tout qui se lit facilement et rapidement.


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